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Les nouvelles mamans devraient rester plus longtemps à l’hôpital

Il serait possible que les médecins revoient le nombre de jours avant le congé de la nouvelle maman et de son bébé, apprenons-nous dans Le Parisien.

C’est qu’une plus longue période à l’hôpital ou à la maison de naissance permettrait le suivi nécessaire au traitement de la jaunisse, laquelle est de nouveau en hausse chez les poupons.

La jaunisse, ou ictère, n’est pas dangereuse en soi. En fait, 80 % des bébés en sont atteints. Elle se reconnaît par une coloration jaune de la peau, laquelle est due à un taux trop élevé de bilirubine.

Elle se soigne en peu de temps et facilement, mais certains cas peuvent se solder par une atteinte du système nerveux. Il ne s’agit donc pas d’un cri d’alarme, mais d’un moyen de prévention.

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Chute du nombre de naissances prématurées

Le nombre de naissances prématurées a chuté après des années d’augmentation, nous apprend USA Today.

Selon une analyse américaine, le taux est passé de 12,8 % en 2006 à 12,3 % en 2008, et ce, après une hausse continue durant 30 ans.

Le nombre de grossesses de 34 à 36 semaines a en effet diminué et cela pourrait être dû en partie à l’état de santé des mamans d’aujourd’hui.

Les facteurs de risque sont intimement liés à la santé de la future mère, comme la haute pression sanguine, tous les types de diabète et les anomalies utérines.

Ces données sont très encourageantes, car la naissance prématurée peut entraîner de nombreux problèmes de santé chez le bébé. Parmi ceux-ci, nous comptons une déficience intellectuelle et des pertes auditives ou visuelles.

De plus, la naissance prématurée demeure la première cause de mortalité chez les bébés.

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Les mamans qui allaitent ne dorment pas plus ou moins que les autres

On croyait pourtant le contraire, car les enfants allaités sont reconnus pour se réveiller plus souvent et dormir moins.

Cela ne veut pas nécessairement dire que les mères qui allaitent ont un moins bon sommeil que celles qui donnent le biberon, nous apprend Pediatrics.

On peut en effet y lire les conclusions d’une récente étude sur le sujet intitulée Infant Feeding Methods and Maternal Sleep and Daytime Functioning.

Pour permettre ce constat, on a demandé à 80 mères de tenir un journal quotidien sur leur sommeil. Elles étaient également toutes munies d’un dispositif pouvant quantifier leur temps de sommeil la nuit.

Il n’y avait aucune différence objective ou subjective du temps de sommeil et de la qualité de ce dernier entre les mères qui allaitent, qui donnent le biberon ou qui combinent les deux.

De plus, il n’y avait pas plus de différences en ce qui concerne le temps de repos durant la journée et la fatigue.

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Les enfants susceptibles de mieux réussir si maman est restée un an avec eux

Selon une étude échelonnée sur 50 ans, le congé de maternité aurait une influence sur la réussite et le comportement des enfants en milieu scolaire, rapporte Mail Online

L’impact en serait encore plus grand si la mère a interrompu cette première année de vie pour travailler à temps plein.

Une différence marquée a aussi été notée selon les conditions socio-économiques et si l’enfant grandit dans une famille monoparentale ou non.

Ainsi, les enfants de la classe moyenne et ceux vivant avec leurs deux parents seraient plus affectés par ce retour prématuré au travail que les enfants de la classe ouvrière et ceux de familles monoparentales.

Les enfants issus de la classe supérieure et de la classe moyenne en souffriraient plus, car les avantages que représente une mère au travail ne surpassent pas les effets négatifs qui accompagnent la diminution de l’attention et de la supervision maternelles.

Ces résultats proviennent de l’analyse de 69 études conjointes réalisées depuis les années 60, tous milieux socio-économiques confondus et toutes les mères ayant réintégré le marché du travail avant les trois ans de leurs enfants.

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L’éducation des mamans actuelles, qu’en est-il?

Réalisée sur Internet entre juillet et août 2010, cette recherche lancée par l’Institut des Mamans a rejoint 5 000 mères.

Les priorités en matière d’éducation ont beaucoup changé de la deuxième partie du XXe siècle jusqu’à nos jours.

Par exemple, si le modèle familial était basé sur l’autorité, l’enfant est devenu un être à part entière, dont l’épanouissement est maintenant très important.

Ce n’est donc pas surprenant que les mamans actuelles croient à 73 % que la communication, l’affection et la valorisation sont prioritaires dans l’éducation de leur enfant.

La moitié estime être fière des relations sociales de leur progéniture. De plus, les répondantes, de manière générale, préconisent la politesse et la réussite scolaire.

Les préoccupations des mères modernes seraient, du moins jusqu’à trois ans, le sommeil, la sociabilité, la maîtrise des émotions, l’éveil et la propreté.

Finalement, 44 % des participantes considèrent qu’il est facile d’éduquer un enfant, même que 13 % d’entre elles croient que cela est très facile. Cela demeure difficile, toutefois, pour la majorité de celles ayant des enfants de 3 à 4 ans.

D’autre part, près de la moitié d’entre elles respectent la règle des cinq fruits et légumes par jour. 12 % utilisent des produits biologiques et la plupart de celles-ci ont des enfants âgés de 12 à 24 mois.

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Pour mieux détecter la dépression post-partum

L’Académie américaine de pédiatrie (APP) a annoncé que les pédiatres influeraient beaucoup sur la qualité de vie des enfants en détectant la dépression chez la mère.

Le seul fait de demander à la mère, lors de la visite pour son enfant, si elle vit des épisodes de tristesse, de découragement et si elle fait des activités serait une bonne piste.

Le taux de dépression post-partum est évalué entre 5 et 25 %. Celui de dépression majeure durant la première année de vie de l’enfant est pour sa part estimé entre 1 et 6,8 %.

Un comité américain s’est donc penché sur le sujet et il a fait paraître ses données dans la revue Pediatrics.

Nous apprenons ainsi que chaque année aux États-Unis, 400 000 enfants commencent leur vie auprès d’une mère dépressive. Cela peut entraîner des négligences, l’arrêt de l’allaitement, des dysfonctions familiales et des soins médicaux inadéquats.

Par ailleurs, le syndrome du post-partum, qui affecte 80 % des femmes, devrait être détecté rapidement. Habituellement, les symptômes sont des crises de larmes, de l’anxiété et des sautes d’humeur.

Écouter la nouvelle maman et l’aider à démystifier ce qu’il lui arrive suffisent généralement à régler ce type de dépression mineure.

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Une banque de lait maternel en vue au Québec

Une organisation québécoise travaille en ce moment à prévoir les coûts, les risques et les bienfaits d’une banque de lait humain, comme nous l’apprenons dans The Gazette.

Ce service, qui vise à fournir du lait maternel aux mamans ne pouvant allaiter, est déjà pratique courante en Europe. L’Association européenne des banques de lait comprend 155 centres dispersés dans 23 pays. Dix y sont également en préparation.

Leur arrivée s’est donc faite beaucoup plus lente de l’autre côté de l’Atlantique. L’unique banque de lait maternel attestée à ce jour est située à Vancouver. Des procédures ont cours pour qu’une deuxième au pays ouvre ses portes à Toronto.

Héma-Québec, qui gère déjà la banque de sang de la province, a donc commandé une étude de faisabilité de 66 000 $ afin d’emboîter le pas et d’aider les mères québécoises ne produisant pas suffisamment de lait ou qui éprouvent d’autres problèmes liés à l’allaitement.

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Une inquiétude des mamans : la peau de bébé

Il semble que la sensibilité de la peau de leur nouveau-né soit au cœur des préoccupations de bien des mères. D’après cette étude réalisée à la demande de Procter & Gamble, plus de la moitié des Canadiennes sont concernées par cette question.

Pour arriver à ce constat, 451 femmes ont répondu à un questionnaire. Âgées de 18 à 49 ans, elles étaient enceintes, mères d’enfants de 0 à 4 ans ou les deux.

Dans le même sens, pas moins de quatre sur dix d’entre elles considèrent que leur poupon a la peau sensible.

Ce n’est donc pas un hasard si les couches, les lingettes et les produits dits sans risque pour la peau de bébé représentent la plus grande dépense des nouveaux parents.

Il semble par ailleurs qu’ils constituent le cadeau le plus apprécié lors des réceptions-cadeaux pour bébé, comme nous l’apprend CNW.

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Les mères choisissent le prénom du bébé

Ce sont les mamans qui ont le premier choix sur le prénom de leurs enfants, nous apprend une récente étude britannique.

En effet, pas moins de 40 % des mères ont eu le dernier mot quant au prénom du nouveau-né. L’étude a été menée auprès de 3 000 couples.

De plus, cette recherche a démontré que le tiers des couples aurait une dispute sur le sujet et que le quart ne trouverait un accord qu’à la naissance du bébé.

Par ailleurs, les parents se baseraient sur une liste d’une douzaine de prénoms en moyenne avant de prendre une décision définitive.

D’autres données ont aussi été relevées dans le cadre de cette étude. Il semble donc que 40 % des participants demandaient conseil à leurs parents et que le tiers recherchait avant tout un prénom original.

Finalement, 37 % des répondants avaient nommé leur enfant comme un membre de leur famille et le cinquième comme un ami ou un collègue.

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Les nouvelles mamans n’ont pas un sommeil réparateur

Contrairement à la croyance populaire, les nouvelles mamans ne manquent pas d’heures de sommeil. Une nouvelle étude rapportée par l’American Journal of Obstétrics & Gynecology mentionne que les nouvelles mères cumulent en moyenne 7,2 heures de sommeil par nuit. Seulement, la qualité de ce sommeil laisse à désirer, ce qui entraîne la fatigue.
 
Pendant les quatre premiers mois qui suivent la naissance de leur enfant, les mamans ont un sommeil fragmenté. Une période de sommeil se compose de cycles de 90 minutes chacun. Celles qui découvrent la maternité n’arrivent pas à terminer les cycles. Il est aussi peu probable qu’elles puissent y remédier avec une sieste en après-midi, à moins qu’elles aient un bébé qui fait des siestes de deux heures. Dans ce cas, elles pourraient dormir au moins un cycle complet.
 
Après avoir suivi un groupe de 74 nouvelles mères, les chercheurs constatent que leur profil de sommeil est similaire à celui des personnes souffrant de l’apnée du sommeil. Elles ont assez d’heures de sommeil, mais il n’est pas réparateur.
 
Selon les experts, il faut donc revoir la façon de faire pour y remédier. La fatigue peut contribuer à l’apparition de dépression post-partum, à un mauvais rendement et à une mauvaise concentration par exemple.
 
On suggère notamment de prolonger le congé de maternité afin de permettre aux femmes de prendre soin d’elles convenablement.