«Alors, j’ai accouché de mon bébé enfin et je ne veux pas mettre de photos de mon bébé sur Internet, mais j’aimerais quand même que les gens puissent s’imaginer à quel point elle est cute alors voici une imitation des faces de mon bébé quand elle dort… la dernière c’est quand elle veut boire!», lançait Virginie Fortin, visiblement heureuse.
L’un de nos couples chouchous, composé de Marie-Josée Taillefer et René Simard, sont de nouveaux grands-parents.
Rappelons que leur fille Rosalie Taillefer-Simard attendait un enfant et bien voilà que la jeune femme a récemment donné la vie pour la toute première fois.
Il s’agit d’une petite cocotte qui a vu le jour le 15 septembre dernier et qui se prénomme Adélie, une belle nouvelle que nous apprenions sur la page Instagram de la maman.
«Notre petite cocotte Adélie est née le 15 septembre à 22h55!!! On l’aime tellement déjà! Un gros merci à toute l’équipe de l’hôpital de la Cité-de-la-Santé.😊👶🏻 On est maintenant chez nous.🏠 Toute la famille va bien.☺️L’accouchement, c’est toute une aventure!😱🤣», nous dévoile avec amour Rosalie.
René et Marie-Josée sont déjà les grands-parents de deux autres petites filles, puisque leur fils Olivier est papa pour la deuxième fois depuis août, selon ce que rapporte le magazine 7 Jours.
Toutes nos félicitations à la famille Taillefer-Simard!
La pétillante et dynamique Guylaine Tanguay et son mari Karl ont toutes les raisons de célébrer la vie.
Rappelons que l’une des trois filles du couple attendait son premier enfant, soit un petit garçon!
Bonne nouvelle, puisque la star du country par excellence nous confirmait, par le biais de son équipe, être nouvellement grand-maman depuis le début août.
Les grands-parents sont d’ailleurs comblés et heureux de l’arrivée du petit Eliott.
Un rôle que Guylaine attendait avec impatience… comme elle le mentionnait récemment à l’émission Sucré Salé. Elle compte notamment en profiter et mettre des X sur certaines dates de son calendrier chargé pour s’occuper de son petit fils.
«Ça, pour moi, c’est important de donner du temps à cet enfant-là, puis d’y faire vivre toutes sortes d’affaires le fun comme on a fait avec nos filles. Ça, pour moi, c’est une priorité, la famille!», lançait avec amour Guylaine en compagnie de Mélanie Maynard.
Quoi de plus cool que d’avoir Guylaine Tanguay comme grand-maman?
Bonne nouvelle, puisque la star du country par excellence nous confirmait, par le biais de son équipe, être nouvellement grand-maman depuis le début août.
Les grands-parents sont d’ailleurs comblés et heureux de l’arrivée du petit Eliott.
Un rôle que Guylaine attendait avec impatience… comme elle le mentionnait récemment à l’émission Sucré Salé. Elle compte notamment en profiter et mettre des X sur certaines dates de son calendrier chargé pour s’occuper de son petit fils.
«Ça, pour moi, c’est important de donner du temps à cet enfant-là, puis d’y faire vivre toutes sortes d’affaires le fun comme on a fait avec nos filles. Ça, pour moi, c’est une priorité, la famille!», lançait avec amour Guylaine en compagnie de Mélanie Maynard.
Quoi de plus cool que d’avoir Guylaine Tanguay comme grand-maman?
«Souper de fête pour ma maman chérie 77 ans à son restaurant préféré au monde @auvieuxduluthrestaurants bonne fête maman 😘 t’es belle en plus … 😇😁», lançait-il en marge d’une magnifique photo.
Personne ne doute des bienfaits de l’allaitement maternel. Cependant, toutes les mamans ne peuvent ou ne veulent pas se tourner vers cette option. Le biberon permet aussi aux mères de prendre une pause, d’impliquer papa, de confier l’enfant à une autre personne ou de procéder à la transition sein-biberon.
C’est pourquoi la start-up Emulait a développé un biberon qui ressemble à un sein, afin de reproduire le plus possible l’allaitement maternel.
Pour y arriver, la société, aidée pardes spécialistes de la lactation et de l’alimentation des nourrissons, a scanné 1000 mamelons afin de créer son prototype. Le tout a demandé plus de 6 ans de recherches.
Le but: obtenir un biberon reproduisant au maximum la texture d’un sein.
L’embout est fait de et la « bouteille » imite l’apparence et la sensation d’un sein, entre autre par son élasticité.
L’écoulement du lait a lui aussi été étudié et c’est ainsi que la tétine spéciale a été créée.
L’entreprise a fabriqué des accessoires pour bébé imitant cinq formes principales de mamelons, en cinq couleurs de peau différentes.
On peut pré-commander ces biberons sur le site web emulait.com. Il seront sur le marché le 8 mars prochain.
L’ensemble de départ coûte dans les 55$.
D’après le cofondateur de l’entreprise Ben Zeev, 42 000 personnes sont déjà intéressées par ce produit.
Pour calmer bébé Jackson, 2 mois, un poupon de l’Angleterre, oubliez les comptines pour enfants classiques.
Pour trouver l’apaisement, ce poupon exige « Get Low »!
Sa maman, Melissa Buckley, a démontré comment la chanson à succès calme son fils dans une vidéo partagée sur les réseaux sociaux. Dans le clip, on peut entendre la maman de 27 ans demander à Alexa de jouer « Get Low » pendant que son fils pleure dans ses bras.
À la seconde où la chanson a commencé et que sa mère s’est mise à bouger sur le rythme de la chanson, les pleurs de Jackson ont complètement cessé.
« Vous pouvez dire que j’ai un peu trop écouté cette chanson pendant ma grossesse … », a dit la jeune mère.
« Get Low »est un incontournable de la maison de Buckley. Elle a raconté ceci à TODAY.com « Je l’ai beaucoup écouté dans la seconde moitié de ma grossesse parce que j’essayais de le faire baisser, puis je l’ai écouté plusieurs fois par jour pendant probablement trois , quatre semaines de suite ».
Pendant sa grossesse, le père de Jackson, Zach, dansait souvent dans la cuisine sur la musique de Lil Jon, une tradition qu’ils perpétuent maintenant que leur fils est né.
Maintenant, « Get Low » joue au moins une ou deux fois par jour pour aider à apaiser le nourrisson.
La maman a découvert que son fils était fan du hit de Lil Jon par hasard. Elle dit qu’il pleurait beaucoup et qu’elle ne savait pas quoi faire, alors elle a décidé de jouer la chanson qui était une constante tout au long de sa grossesse. Lorsqu’elle a remarqué qu’il s’était endormi à la fin de la chanson, elle s’est dit qu’elle avait trouvé la solution à ce genre de situation.
Sa vidéo Instagram du moment a déjà amassé plus de 8 millions de vues, avec près de 12 millions de vues supplémentaires sur TikTok.
Buckley et Jackson ont même reçu l’attention de nul autre que Lil Jon, qui a non seulement commenté le message, mais a également partagé la vidéo sur sa propre histoire Instagram. Dans les commentaires, il a posté un emoji riant à côté du simple message « Wowwwww ».
Lil Jon était en bonne compagnie dans la section des commentaires de la publication, avec des centaines de parents partageant leurs propres histoires sur les airs inattendus qui ont aidé à apaiser leurs propres enfants au fil des ans.
« La chanson préférée de mon bébé est First Class de Jack Harlow », a écrit un parent. « En 2022, nous l’avons écouté 892 fois au total selon Spotify. Elle est dans le top 0,5% des fans de Jack Harlow. Elle a eu accès à des produits exclusifs.
D’autres parents ont affirmé que leur bébé avait aussi une chanson préférée qui les calmait.
«La mienne était la chanson thème de Law & Order SVU. J’ai eu mes deux bébés avec celle-là.
« Old Town Road fonctionne à chaque fois. Mon fils a 10 mois. Je ne l’ai jamais écouté pendant ma grossesse, mais il criait dans la voiture à 4 mois et ça s’est mis en marche aléatoire et ça l’a endormi ».
La jeune maman apprécie la camaraderie entre les parents qui commentent. Elle a mentionné le fait qu’il peut être difficile de gérer l’étape « nouveau-né » dans la vie de parent.
« C’est vraiment dur, les nuits blanches et tout ça », explique-t-elle. « C’est agréable de s’amuser un peu et de rire avec tout le monde aussi ».
D’ailleurs, il est possible d’écouter son nouveau spectacle, 60 minutes de matériel inédit qui a été capté à la fin de l’été devant public par sa conjointe, Chloé Robichaud. Pour le louer, c’est juste ici !
Il est cinq heures et demie le matin. Il y a quelques jours à peine, les rayons du soleil commençaient à éclairer ma chambre à cette heure hâtive. Or, en ce début de mois d’octobre, il fait encore noir comme l’ébène. Seule la veilleuse de ma fille, blottie contre moi, me permet de voir qu’elle dort encore profondément.
Moi, je suis bien réveillée. En me couchant hier soir, j’avais hâte de me réveiller. Même si le test acheté au Dollarama que j’avais fait il y a deux jours était négatif, un doute (ou était-ce l’espoir?) avait persisté. Je l’avais pourtant regardé de tous les angles possibles, sous la lumière sévère de ma salle de bain. La deuxième ligne n’était pas apparue. Je n’étais pas surprise, je ne m’attendais pas à en voir une non plus. À peine deux cycles, espacés de plus de quarante jours, avaient frappé mon corps depuis mon petit deuxième. Je n’avais alors aucune idée de ma date d’ovulation.
Le lendemain, en me rendant à la pharmacie pour acheter des suces (comment font-elles pour disparaître si rapidement et définitivement dans mon petit appartement?), je n’ai pas pu m’empêcher d’acheter un Clearblue digital. Ce test-là, il ne ment pas. Lire les mots « Pas enceinte », ça ne laisse pas de doute, juste un petit goût amer.
Je me lève donc à pas feutrés et j’exécute les quelques enjambées qui me mènent à la salle de bain. Je fais le test sans attendre. D’habitude, ça prend une bonne minute ou deux pour apparaître, donc je dépose le test en me faisant croire que je ne vais pas le fixer anxieusement jusqu’à ce que la vérité s’expose à moi.
Ça n’a pris que quelques secondes. Dix, peut-être douze, je n’ai pas eu le temps de compter.
« Enceinte »
QUOI? Je vois des points noirs. Je suis surprise comme jamais je ne l’ai été aux tests positifs de mes grossesses précédentes. Je pensais que je m’étais fait des idées, que les petits maux de cœur matinaux que j’avais vécus les derniers jours étaient tout droit sortis de mon imagination. Je m’assois sur le couvercle de la toilette. « Je suis enceinte », que je me répète.
Cette nouvelle chamboule mon quotidien pas mal plus que lors de mes grossesses antérieures. Cette fois, il y a une PANDÉMIE. Je serai en retrait préventif. En conséquence, tous mes collègues apprendront immédiatement ma grossesse. Je ne verrai plus mes élèves. Je ferai encore plus attention lors de mes sorties obligées. Je demanderai à mon chum qui travaille à l’urgence d’un hôpital de recommencer à prendre sa douche immédiatement en arrivant de la job. En plus, si tout va bien, c’est ma dernière grossesse, c’est ça le plan. Ouf, je suis étourdie. Ça fait beaucoup d’informations pour mon petit cœur. Je ne pensais pas que cette grossesse arriverait aussi rapidement!
Je respire, je souris.
Je suis vraiment contente.
Je suis vraiment chanceuse de vivre ça.
Ce sera une grossesse particulière, c’est certain. Il faudra que j’accepte, encore un peu plus, de ne pas tout contrôler (ce n’est pas ma force). Sauf que je sais que ce sera beau. Surtout, dans quelques mois, je rencontrerai un nouvel humain. Et je vais l’aimer.
Je l’aime déjà.
Vous avez une histoire à partager? Écrivez-nous au info@tplmag.com
Cet article est probablement comme mille autres articles qui ont été écrits. Je ne vais pas révolutionner le monde de la maternité aujourd’hui. Sauf que chaque fois que je lis un article qui exprime un sentiment que je ressens, ça me fait du bien, donc voilà. Mes enfants sont retournés à la garderie. C’est juste ça.
Un mélange d’émotions m’envahit. J’ai été 14 mois à la maison avec mon plus jeune. Ma grande, qui déjà n’allait à la garderie que 3 jours par semaine (son désir à elle), nous a joints à temps plein pendant le confinement.
Même si être maman à temps plein est, selon moi, un travail parmi les plus épuisants physiquement et mentalement (je suis prof et je suis plus épuisée quand je suis maman à la maison qu’à l’école à temps plein, ce n’est pas peu dire), j’étais bien. Vraiment, vraiment bien. Je me sentais à ma place, avec mes enfants. Par moments, ça m’a fait remettre en question des grandes décisions de la vie.
Est-ce que je veux retourner au travail juste parce que c’est la chose « normale » et « commune » à faire?
Est-ce que je veux retourner au travail juste parce que je suis très féministe et que je veux, inconsciemment, être une femme qui accomplit et réussit tout?
J’ai réfléchi longuement, tout en restant dans l’indécision. Au bout du compte, plus la date de mon retour au travail approchait, plus une partie de moi était heureuse de retourner dans le monde de l’enseignement au secondaire. J’avais envie de retrouver mes collègues, mes élèves, mon environnement professionnel.
En même temps, je n’avais pas envie de laisser mes enfants toute la semaine à la garderie. J’aurais aimé retourner travailler 4 jours par semaine. Ce serait peut-être possible, d’ailleurs! Une petite voix en moi me disait que j’avais besoin du sentiment d’accomplissement professionnel que mon travail me procure. J’ai besoin d’avoir autre chose que mes enfants dans ma vie, même s’ils en sont évidemment une immense part (la plus grande).
Finalement, je suis retournée travailler avec l’esprit et le coeur en paix. Le fait que j’adore la garderie en milieu familial que mes enfants fréquentent aide beaucoup.
Or, les premières journées de la rentrée sont des pédagogiques. J’étais donc à mon bureau toute la journée et je pensais souvent à mon garçon qui vivait une adaptation à la garderie, un monde complètement nouveau pour lui. Lui et ma fille me manquaient. Les questions sont revenues. Je me demandais si j’étais à ma place.
Puis, les jours ont passé. Chaque jour que mon garçon passait à la garderie était mieux que le précédent. Les enfants étaient heureux à leur retour, le soir. Ça m’a beaucoup rassurée.
Enfin, j’ai rencontré mes nouveaux élèves. J’ai enseigné. Ma passion s’est enflammée, comme si elle s’était un peu dissipée quand j’étais en congé de maternité, seulement pour revenir en force à mon retour.
Maintenant, 2 semaines après la rentrée, je me sens sur mon x. Je profite de chaque moment passé en famille, mais aussi de mes beaux moments d’enseignement.
Je suis aussi heureuse d’avoir un travail avec un horaire family friendly qui me permet d’être à la maison quand mes enfants le sont.
Comment avez-vous vécu votre retour au travail après votre congé parental?