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Elizabeth Hurley en campagne de sensibilisation contre le cancer du sein

Elizabeth Hurley part en croisade contre le cancer du sein et urge les femmes à subir un test de dépistage le plus tôt possible.

La toujours très séduisante actrice de 49 ans presse ses compatriotes féminines de ne pas attendre et de subir une mammographie, assurant que le processus permet de sauver des vies.

Hurley a notamment perdu sa grand-mère en 1992en raison de cette terrible maladie, rapporte BANG Media International.

« J’intimide pratiquement mes amies et les membres de ma famille pour qu’elles procèdent à une inspection de leurs seins chaque mois et subissent une mammographie annuelle passé 40 ans. J’en ai même donné (des mammographies) pour des anniversaires », explique avec humour la star, qui prend toutefois le sujet très au sérieux.

À la suite du décès de sa grand-mère, Elizabeth Hurley avait lancé une vaste campagne de sensibilisation en collaboration avec Evelyn Lauder, pour laquelle elle fut la muse pendant des années.

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La mammographie diminue le cancer du sein de 28 %

« La mammographie préventive sauve des vies, surtout grâce à des diagnostics de cancer du sein détecté tôt, et donc d’un traitement plus efficace », plaide Dr Lars Vatten, chercheur et professeur en épidémiologie, informe Medlineplus.

Les spécialistes ont toujours été au cœur d’un débat sur l’âge idéal pour commencer la mammographie, ainsi que la période optimale entre les visites.

En 2009, la U.S. Preventive Services Task Force, une firme privée d’experts, mentionnait qu’entre 50 et 74 ans, l’examen était requis aux 2 ans. Chez les femmes de 40 à 49 ans, ils s’en remettaient à l’avis du médecin.

Pourtant, la Société américaine du cancer et d’autres organismes médicaux continuent de recommander aux femmes qui présentent des risques modérés de commencer un examen annuel à 40 ans.

Les experts de la Norvège ont découvert qu’annuellement, il y a 1175 femmes passant régulièrement des tests de mammographie qui décèdent des suites du cancer. Chez celles qui ne font pas de visite, ce sont plus de 9000 qui meurent annuellement.

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La mammographie démontre certaines lacunes

Les campagnes de prévention du cancer du sein et de sensibilisation à l’importance de la mammographie chez les femmes abondent depuis quelques années, et le test de dépistage gagne en popularité.

Sans complètement discréditer l’affaire, une nouvelle étude américaine place cependant un bémol et estime que la mammographie démontre certaines lacunes, rapporte par Top Santé. Selon les chercheurs de Harvard qui dirigent cette nouvelle étude, les médecins surestiment le pouvoir de la mammographie, qui ne serait pas aussi précise qu’on voudrait le croire.

Les chercheurs croient plutôt que la mammographie permet de réduire les risques de mortalité due au cancer du sein d’environ 20 %, sans plus. La diminution du risque augmente toutefois à mesure que l’âge d’une femme progresse, dépassant les 30 % après 60 ans.

« Il y a eu récemment beaucoup de confusion autour du dépistage du cancer du sein, et nous avons souhaité mettre tout cela à plat, à l’attention des médecins. Au cours de nos recherches, nous nous sommes rendu compte que les bénéfices des mammographies sont plus petits qu’on le pensait, et que leurs dangers, comme des radiographies à répétition ou des biopsies pour des tumeurs qui s’avèrent non cancéreuses, sont vraiment sous-estimés », précise la Dre Nancy Keating.

L’étude conclut également que certaines femmes seront diagnostiquées et traitées pour une tumeur qui ne serait jamais devenue maligne ou mortelle, une donnée étonnante qui fait réfléchir.

Les conclusions de l’étude de Harvard ont été publiées dans le Journal of the American Medical Association.

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La mammographie annuelle ne réduit pas le risque de décès

Réalisée par le département d’épidémiologiste de l’Université de Toronto, la recherche menée sur près de 90 000 femmes canadiennes remet en cause la mammographie annuelle pour les femmes âgées de 40 à 59 ans.

L’étude publiée plus tôt cette semaine dans le British Medical Journal relance le débat sur les bénéfices de la mammographie, et les risques qu’elle occasionne.

L’étude fait valoir que la mammographie détecte trop souvent des petits cancers qui ne seraient jamais devenus dangereux. Environ la moitié de tous les cancers trouvés par mammographie — non détectés à la palpation — relève de cette catégorie.

Les chercheurs ont calculé que 22 % des cancers trouvés par les mammographies relevaient d’un surdiagnostic. Cela signifie que pour chaque groupe de 424 femmes qui ont passé l’examen, une a été traitée inutilement pour un cancer.

À la lumière de leurs résultats, les chercheurs concluent que « la raison d’être du dépistage par mammographie doit être réévaluée de toute urgence par les responsables politiques ».

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Mammographie à 30 ans

Un article publié sur le site de Mail Online nous apprend qu’au Royaume-Uni seulement, il y aurait plus de 500 000 femmes à risque de cancer du sein en raison de leur historique familial.

Alors qu’en ce moment, les tests en dessous de 50 ans sont réservés pour les recherches ou pour certains rares cas, les spécialistes responsables de l’étude mentionnent l’importance d’implanter cette routine pour toutes les femmes présentant un risque modéré à élevé, et ce, dès l’âge de 30 ans.

Cette nouvelle façon de faire permettrait ainsi une détection hâtive d’anomalies et un traitement rapide si nécessaire. Ils font mention de l’actrice Angelina Jolie, qui a récemment subi une double mastectomie (ablation des seins) par mesure préventive. Ils expliquent que, dans son cas, il s’agissait d’une mutation génétique qui augmentait ses chances de cancer à 85 %.

Malheureusement, ce ne sont pas toutes les femmes qui ont l’occasion de se faire tester et suivre malgré l’historique familial.

À ce sujet, le professeur Gareth Evans, qui était à la tête du projet, explique qu’au moment de la recherche, ils ont découvert 47 cas de cancer, alors que ces femmes ne présentaient pas de symptômes.

Cependant, ils sont toujours en attente des résultats à long terme afin de pouvoir vraiment juger de la pertinence de ce test à un jeune âge.

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Une mammographie avant 30 ans peut être dangereuse

Le BMJ.com rapporte que les femmes porteuses des gènes BRCA1 ou BRCA2, qui sont déjà plus susceptibles d’avoir un cancer du sein, voient leurs risques augmenter de 40 % si elles subissent une mammographie avant d’avoir 30 ans.

Avant l’âge de 20 ans, ces risques sont accrus de 62 %.

Les rayons des examens comme les mammographies sont déjà considérés comme cancérigènes pour la population en général, mais en étant porteuses d’un des gènes mentionnés, les femmes deviennent encore plus vulnérables.

Pour 100 femmes porteuses d’un des gènes à 30 ans, 9 auront un cancer du sein avant d’avoir 40 ans. Et on ajoute 5 autres malades si ces femmes subissent une mammographie avant 30 ans.

Voici donc un autre argument afin de limiter les examens de type mammographie chez les jeunes femmes.

Chez les plus de 30 ans, on ne note aucun lien significatif, mais les résultats de cette étude doivent être approfondis, car l’échantillon était restreint pour la présente recherche.

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Une mammographie plus tôt

Une recherche publiée dans le journal Cancer, réalisée par le Massachusetts General Hospital, suggère que les mammographies soient pratiquées sur les femmes dès l’âge de 25 ans.

La mammographie est une radiographie à très faible dose des tissus du sein. Les clichés mammaires fournissent des images détaillées du sein sous différents angles.

Selon les conclusions de cette étude, pratiquer la mammographie plus tôt pourrait prévenir des mutations génétiques qui peuvent se conclure en cancer. Se faisant, les chercheurs croient qu’ils pourraient sauver plus de vies.

Chez les femmes de 40 ans et moins ayant le cancer du sein, une femme sur 10 doit ce cancer à une mutation génétique.

L’étude révèle également que si elles passaient une mammographie annuelle à compter de l’âge de 25 ans, les femmes gagneraient de 1,3 à 1,8 an d’espérance de vie.

On estime qu’en 2011, il y aura 23 600 nouveaux cas de cancer du sein chez la femme au Canada. Il s’agit du type de cancer le plus fréquemment diagnostiqué chez la femme au Canada.

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L’efficacité de la mammographie confirmée

La mammographie réduit considérablement le taux de mortalité du cancer du sein. Dans les dernières années, ce type d’examen ne faisait plus l’unanimité et était même remis en question par certains médecins.
 
La plus vaste étude sur le cancer du sein effectuée à ce jour confirme maintenant l’efficacité des mammographies.
 
Selon ce que rapporte la revue Radiology, ce dépistage systématique réduit de 30 % le taux de mortalité lié à la maladie.
 
Cette étude s’est déroulée sur 29 ans et comptait 130 000 Suédoises de 40 à 74 ans.
 
Durant les sept premières années, la moitié des participantes ont eu des mammographies tous les deux ou trois ans, alors que l’autre moitié n’a reçu que les soins médicaux courants.
 
En conclusion, il y a eu 30 % moins de décès avec les mammographies et cette différence a persisté durant toutes les années de l’étude.

Le rapport affirme également que les méthodes de dépistage et les traitements se sont beaucoup améliorés dans les dernières années.

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Le dépistage du cancer du sein inefficace?

Le dépistage du cancer du sein aurait peu d’effets, selon une étude de l’Université de Copenhague rapportée dans le British Medical Journal.
 
Une équipe de chercheurs affirme du moins que le programme de dépistage qui existe au Danemark ne servirait à rien.
 
Pourtant, on déclarait en 2005 que le dépistage avait permis de réduire les décès reliés au cancer du sein de 25 %.
 
Les auteurs de l’étude ont comparé des régions du pays où il existait ce programme de dépistage à des régions où il n’existait pas. Ils ont constaté que depuis une dizaine d’années, le taux de mortalité baisse de façon régulière dans les deux zones. Il y aurait même un peu moins de décès dans les zones qui n’offrent pas le dépistage du cancer du sein.
 
Les progrès enregistrés au niveau chirurgical et aussi au niveau des traitements de chimiothérapie expliqueraient le fait que le taux de mortalité des suites d’un cancer du sein ait reculé dans les dernières années. Ce ne serait pas à cause du fait qu’il y a de plus en plus de mammographies qui sont effectuées.
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Un échantillon de salive pour détecter le cancer du sein

Le Dr Steven Narod et son équipe travaillent en ce moment à développer un test qui permettrait de détecter le cancer du sein à partir d’un simple échantillon de 10 milligrammes de salive.

2 000 sujets ont déjà accepté de se soumettre aux essais cliniques de ce test afin d’en vérifier l’efficacité.

Si les résultats sont concluants, cette première canadienne pourrait grandement faciliter la détection du gène défectueux responsable du cancer du sein, puisque les participantes pourraient éviter l’attente d’un rendez-vous auprès d’un médecin et simplement envoyer par la poste leur échantillon.