Catégories
Uncategorized

Manger moins de gras pourrait suffire à faire perdre du poids

www.nlm.nih.gov rapporte les conclusions d’une équipe de chercheurs britanniques qui croient que le simple fait de « couper dans le gras » permettrait une perte de poids.

C’est du moins ce qu’ils affirment dans une étude publiée dans le journal BMJ. Selon eux, il n’y a pas que les régimes qui sont bénéfiques pour perdre quelques kilos. Remplacer des aliments gras par d’autres qui le sont moins, et par conséquent réduire sa consommation de corps gras, peut permettre aux gens qui aimeraient perdre quelques kilos d’y parvenir.

Les chercheurs de l’Université d’East Anglia parlent d’une perte de poids d’environ 3,5 livres, en moyenne, chez les sujets observés.

Pour parvenir à ces conclusions, on a observé les changements chez des sujets qui ont coupé les matières grasses de façon significative, puis on les a comparés à ceux observés chez d’autres qui n’ont rien changé à leur alimentation.

On constate que le simple fait d’abaisser la consommation de gras permet au corps de maigrir, naturellement.

L’étude compilait des résultats obtenus dans 33 essais et contrôles un peu partout dans le monde, notamment en France, aux États-Unis, au Canada et en Nouvelle-Zélande.

Catégories
Uncategorized

Les légumes stimuleraient l’appétit et augmenteraient le plaisir de manger

Les légumes sont les rois incontestés de l’alimentation, de par leurs qualités nutritives et leurs nombreux effets préventifs contre plusieurs maladies. Leurs bienfaits sur la santé sont connus et reconnus partout, et les spécialistes en tous genres nous recommandent constamment d’en manger plus.

Voilà qu’ils auront peut-être un nouvel argument à offrir pour convaincre la population de manger plus de légumes, alors qu’une nouvelle étude parait sur le sujet.

Cette dernière, rapportée par TopSanté, prétend non seulement que les légumes sont bons pour nous, mais qu’ils auraient aussi la faculté de stimuler l’appétit et d’augmenter le plaisir de manger.

Ainsi, seule la vue de légumes dans notre assiette nous rendrait plus enclins à manger et à en éprouver du plaisir. Pourrait-on convaincre les enfants récalcitrants de manger en ajoutant un peu de vert dans leurs assiettes? C’est précisément la question que le site pose.

L’étude, parue dans la revue Public Health Nutrition et effectuée par des chercheurs de l’Université Cornwall, demandait aux répondants de noter différents plats, apprêtés avec ou sans légumes.

Clairement, selon les chercheurs, les repas avec légumes ont reçu de meilleures notes, et les répondants démontraient un plus grand enthousiasme par rapport au fait de manger.

Catégories
Uncategorized

Collations : Comment bien tricher

Il est si plaisant d’ajouter une collation à sa journée. Malheureusement, en cette ère de bonne nutrition et de culpabilité gastronomique, il est fréquent de se sentir coupable lorsqu’on triche son régime au courant de la journée.

La solution réside peut-être dans le choix des collations. « Tricher sainement », est-ce possible? Il semble qu’il y ait de l’espoir pour 80 % des Canadiens qui avouent s’offrir des collations quotidiennement.

D’abord, selon Conseilsnutrition.tv, la clé d’une bonne collation réside dans le taux glucides/protéines, afin d’obtenir le maximum d’énergie tout en soutenant l’organisme longtemps, disons jusqu’au prochain repas.

Du nombre des aliments recommandés, on retrouve les fruits, les noix, les légumes (et jus de légumes), le fromage (un morceau, ou encore du fromage cottage) et certaines barres tendres (vérifier la teneur en sucre).

Si ce ne sont pas là des choix appréciés de tous, sachez qu’en choisissant bien, il est « permis » de savourer non pas une collation dans la journée, mais deux!

Les craquelins de riz sont également recommandés, eux qui ne contiennent que très peu de calories. Les croustilles et autres éléments de machines distributrices sont bien sûr à éviter.

Avoir ses propres collations sous la main évite de craquer facilement pour les nombreux produits néfastes retrouvés partout dans votre environnement.

Catégories
Uncategorized

Trucs pour éviter de manger ses émotions

Le phénomène qui implique de « manger ses émotions », ou stress eating, est de plus en plus répandu.

D’abord parce que le stress est omniprésent dans notre style de vie moderne, tout comme la nourriture, et pas toujours la bonne.

Lanutrition.fr rapporte les propos de Susan Albers, une psychologue américaine qui tente d’aider les femmes (plus touchées par ce phénomène) à contrer les troubles alimentaires liés au stress et aux émotions.

D’abord, elle suggère d’éviter d’embouteiller ses émotions. Il faut les affronter, les avouer et les évacuer. Écrire ce que l’on ressent sur papier s’avère un excellent truc, selon la psychologue.

Ensuite, prenez le temps de cerner les niveaux d’intensité de vos émotions et de réfléchir à comment vous pourriez les ramener à un niveau inférieur. Par exemple, elle suggère d’utiliser une échelle de 0 à 20. Situez votre émotion (exemple : 17/20), puis réfléchissez à comment il serait possible de la ramener à 10.

En terminant, on explique de ne plus essayer de lutter contre les émotions ressenties et de laisser aller vos pensées comme elles arrivent. En combattant, on emprunte une voie qui mène inévitablement à la perte de contrôle… et peut-être au pot de crème glacée!

Catégories
Uncategorized

Retrouver le plaisir de manger le soir

Depuis que la guerre aux kilos est entamée dans notre société, nombreux sont les comportements désormais « interdits » par la communauté scientifique et médicale.

Ainsi, en suivant les indications des nutritionnistes et autres spécialistes, les sacrifices sont nombreux. L’un de ceux-là est de ne plus manger le soir.

En fait, il s’agirait plutôt d’un mythe, affirme www.conseilsnutrition.tv. De l’espoir pour les amoureux des collations nocturnes?

D’abord, il faut comprendre que le problème n’est pas vraiment le fait de manger après que le soleil se soit couché. Si la nourriture ingérée s’inscrit dans votre apport calorique quotidien normal, voilà qui ne causerait pas de problème.

Il faut donc être attentif aux signaux du corps et éviter de manger lorsqu’on n’a pas vraiment faim. Grignoter durant de longues heures devant la télévision demeure donc un ennemi du tour de taille.

Également, un problème qui peut survenir la nuit, c’est de manger lorsqu’on est épuisé et affamé. Dans ces conditions, il est facile de craquer pour de « mauvais » aliments, plus gras et moins nutritifs.

Si vous êtes friands des repas en soirée, il suffit donc de choisir les bons aliments et de surveiller vos calories durant le jour, afin de « garder de la place » dans votre apport quotidien.

Catégories
Uncategorized

Quoi manger avant, pendant et après l’exercice

Beaucoup d’informations circulent concernant l’exercice physique et le type de nutrition à observer. Aussi, lorsqu’on décide de se mettre en forme, il peut devenir difficile de savoir quoi manger et quand le faire.

Voici donc quelques conseils pour adapter vos repas et boissons en fonction du moment de la journée et de la période d’exercice.

Selon conseilsnutrition.tv, on suggère que les glucides sont primordiaux avant de commencer l’activité physique, puisqu’ils sont les carburants du muscle. Ainsi, les fruits séchés, les barres tendres et les bananes sont de bons choix.

Durant l’activité, on recommande de boire de l’eau simplement, pour ne pas ingérer des calories que nous tentons de perdre. Si l’activité dépasse 60 minutes, on peut commencer à penser à consommer une boisson sportive (Gatorade, Powerade).

Après l’activité, il est de mise de redonner des glycogènes à l’organisme et de s’hydrater. L’idée est de combiner glucides et protéines. Donc, un yogourt avec une pomme serait un exemple parfait de collation.

On vante également les mérites du lait au chocolat, qui contient le bon ratio de glucides et de protéines (3 glucides pour 1 protéine).

Catégories
Uncategorized

Quoi manger et quoi éviter durant la grossesse

D’abord, on y explique qu’un régime équilibré et bon pour maman et bébé consiste en une grande quantité de fruits, de légumes, de féculents, que l’on retrouve dans les pâtes ou le pain, ainsi que dans de grains. De plus, on recommande de manger des aliments riches en protéines ainsi que des produits laitiers, comme le lait, le yogourt et le fromage.

Bien que normalement, un tel régime suffise à fournir tous les nutriments dont votre corps a besoin, avec un bébé, il peut être nécessaire d’ajouter des suppléments alimentaires à votre diète. 400 milligrammes d’acide folique par jour durant le premier trimestre sont suggérés. Des suppléments de vitamines D et de fer peuvent aussi améliorer votre apport en nutriments.

Toutefois, les femmes enceintes devraient éviter de consommer des fromages en croûtes ou avec des veines bleues, qui pourraient contenir la listeria. Les viandes saignantes et les oeufs non cuits, qui peuvent transmettre la salmonellose, sont également à éviter.

Vous ne devriez pas manger de foie, de pâté de foie, de poisson et de crustacés, de caféine ni d’alcool.

Rappelons que les femmes enceintes qui mangeraient des noix, qui sont riches en protéines, réduiraient les risques de développement de l’asthme chez l’enfant.

Catégories
Uncategorized

Les héros de vos enfants les aideraient à mieux manger

En fait, les chercheurs croient que si cette stratégie fonctionne pour les vendeurs de malbouffe, elle pourrait fonctionner dans la promotion d’une saine alimentation.

« Les nutritionnistes et les planificateurs de repas scolaires pourraient renverser la situation des mauvaises habitudes d’alimentation des enfants en adoptant la même stratégie », explique l’auteur principal de la recherche, Brian Wansink.

Durant l’étude, dont les résultats ont été publiés dans le journal Archives of Pediatrics and Adolescent Medicine, des enfants ont dû choisir entre des pommes avec un autocollant du personnage Elmo de Sesame Street et des biscuits sans autocollant. Le personnage a attiré plus d’enfants, qui ont donc choisi de manger une pomme.

« Nous avons tendance à associer les mascottes et les personnages à la malbouffe, mais ils peuvent aussi être utilisés pour susciter l’excitation pour les aliments bons pour la santé. C’est une puissante leçon pour les compagnies de malbouffe, les activistes alimentaires et les personnes impliquées dans le service d’alimentation des écoles », poursuit M. Wansink.

Rappelons que les enfants qui grandissent en consommant régulièrement de la malbouffe seraient moins intelligents que leurs pairs qui ont une alimentation mieux équilibrée.

Catégories
Uncategorized

Manger moins prolongerait la vie

Manger 40 % moins de nourriture pourrait prolonger notre vie de 20 ans, c’est ce que déclarent des scientifiques dans le journal The Independent.
 
Ils cherchaient la façon dont la génétique et le style de vie pouvaient être modifiés afin de compenser les effets du vieillissement et ainsi ajouter des années de vie.
 
Leurs études sur des rats montrent qu’en réduisant la consommation de nourriture de 40 %, on ajoute 30 % de vie, ce qui représente 20 ans de vie humaine.
 
Même chez les mouches à fruits, on a réussi à prolonger la vie en modifiant leur régime alimentaire.
 
Les chercheurs auraient donc trouvé une façon de contrer le vieillissement en découvrant le gène impliqué dans celui-ci.
 
Par une mutation génétique du gène unique, ils ont ainsi pu prolonger la vie d’organismes et réduire les effets de la mutation qui cause la maladie d’Alzheimer également.
 
Catégories
Uncategorized

Manger trop vite augmente les risques de diabète

Selon une étude lituanienne, les gens qui mangent trop vite leurs repas seraient 2,5 fois plus susceptibles de développer le diabète de type 2.
 
Ces résultats, présentés lors de l’International Congress of Endocrinology, ne peuvent toutefois donner aucune explication sur le lien entre la vitesse à laquelle les gens engloutissent leurs repas et le diabète.
 
Par contre, nous savons que des études précédentes ont mentionné que les gens qui mangent vite consomment aussi plus de nourriture, car leur système digestif n’a pas le temps d’envoyer le signal de satiété au cerveau. Ils sont donc plus exposés au risque de surpoids et d’obésité. Deux facteurs de risque du diabète.
 
702 personnes ont participé à cette recherche, dont 234 avaient le diabète de type 2. Elles devaient répondre à un questionnaire détaillé sur leur indice de masse corporelle, leur mode de vie et la vitesse à laquelle elles mangeaient leurs repas.
 
Les chercheurs ont constaté un risque accru de diabète lorsque les gens engloutissaient leurs repas plus rapidement que les autres.
 
En moyenne, il faut une bonne vingtaine de minutes pour que le cerveau reçoive le signal de satiété. Donc, prenez le temps de mastiquer et de savourer vos aliments.