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Manger gras ne ferait pas grossir

Voici des résultats bien surprenants qui remettent en question une vieille croyance. L’apport alimentaire en lipides, à lui seul, ne ferait pas prendre du poids. C’est la conclusion à laquelle parviennent une série d’études scientifiques, selon NutriNews.
 
Après avoir analysé l’évolution annuelle du poids et de la consommation de lipides de près de 90 000 personnes âgées en moyenne de 53 ans, on n’établit aucun lien clair entre la consommation de gras et la prise de poids.
 
En fait, durant l’étude, l’apport énergétique quotidien de ces personnes en lipides (acides gras saturés, mono-insaturés et polyinsaturés) représentait 34 %. Sur un an, on a noté une prise de poids de 100 à 800 grammes.
 
Toutefois, après avoir tenu compte des autres composantes de l’alimentation et du mode de vie de chaque personne, les chercheurs ne peuvent établir une relation qui mettrait en évidence un lien entre une alimentation grasse et une prise de poids.
 
Ce ne sont donc pas seulement les gras les grands responsables du surpoids. Ainsi, imposer des régimes stricts et faibles en gras pourrait ne pas avoir les effets escomptés.
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Un sourire lui fera manger ses légumes

Une récente recherche parue dans Obesity nous apprend que les parents sourient lorsqu’ils mangent un aliment qu’ils souhaitent que leur enfant mange lui aussi. Il semble que les enfants mangent en effet certains aliments sous l’influence d’émotions.

Pour en venir à cette conclusion, on a montré des photos de personnes arborant différentes émotions à des enfants qui mangeaient un de leurs aliments préférés. Il semble que les enfants en venaient à moins l’aimer si la personne sur la photo avait un visage dégoûté.
 
De plus, lorsque la personne avait un visage enjoué en mangeant un aliment que l’enfant ne connaissait pas, celui-ci était plus porté à vouloir l’essayer.
 
Une précédente étude datant de 2008 avait démontré que les parents pouvaient augmenter la quantité de fruits et de légumes que leur enfant mangeait s’ils en mangeaient eux aussi. De plus, si une personnalité connue que l’enfant aime dit ne pas aimer tel ou tel légume, il semble que l’enfant l’aimera moins.

On recommande finalement d’encourager les enfants à manger certains aliments en leur disant que c’est très bon, de ne pas en bannir et de les faire participer dans la cuisine dès le plus jeune âge.

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Calmez-vous votre enfant en le nourrissant?

Le réflexe de donner de la nourriture à un enfant pour le calmer semble si courant que l’on mené une étude sur le sujet. En effet, on peut lire sur Nutrinews hebdo qu’une expérience en laboratoire a été réalisée sur des enfants de trois à cinq ans.

Or, les résultats de cette étude ont prouvé qu’il s’agit là d’une très mauvaise façon de régler des problèmes émotionnels. Au contraire, elle ferait naître chez l’enfant de bien mauvaises habitudes alimentaires.

En effet, l’enfant aura tendance, une fois adulte, à grignoter même lorsqu’il n’aura pas faim. De plus, il risque de connaître des problèmes de consommation alimentaire. Dès qu’il vivra une anxiété, il sera porté à manger pour se détendre.

C’est que le plus souvent, on donne un morceau de gâteau ou des sucreries – bref, quelque chose que nous trouvons réconfortant – à l’enfant pour qu’il se calme. Ce dernier aura donc tendance à associer ce type de nourriture au réconfort et à une solution à des problèmes émotionnels.

Il est donc recommandé d’éviter de genre de comportement et de plutôt chercher à régler l’excitation d’un enfant d’une autre manière, en lui proposant une activité relaxante par exemple.

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Manger diminuerait la mauvaise humeur

Dans une situation de stress, de nombreuses personnes mangent plus et pour cause, la nourriture permettrait de diminuer la mauvaise humeur.
 
Selon une recherche parue dans le Genius Beauty, le tiers des employés se tournerait vers la nourriture en période de stress afin de lutter contre des sentiments désagréables.
 
Certaines personnes consomment également une collation afin de refaire le plein d’énergie pour les aider à passer à travers une journée épuisante.
 
L’étude révèle aussi que le stress ferait adopter une alimentation malsaine, puisque 80 % des salariés avouent que dans une telle situation, ils mangent plus de malbouffe, d’aliments sucrés ou autres produits malsains pour la santé.
 
25 % des 3 000 répondants affirment que la nourriture les aide à se calmer après qu’ils se soient disputés avec leur partenaire. Pas étonnant donc que manger soit considéré comme une source de réconfort.
On estime qu’une personne pense à la nourriture en moyenne pendant 1 h 40 par jour au total.
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Un bébé peut-il manger tout seul?

Des chercheurs de l’Université de Glasgow, en Écosse, se sont penchés sur l’aptitude qu’ont des bébés de six à huit mois à se nourrir eux-mêmes.

Sur les 602 enfants à l’étude, la plupart pouvaient prendre des aliments avec leurs doigts.

Selon cette étude parue dans Maternal & Child Nutrition, très peu d’entre eux, soit 6 %, ont connu des problèmes de nutrition en s’alimentant ainsi.

Les chercheurs de l’étude recommandent donc de varier la nourriture en petits morceaux et les purées données à la cuillère. Ils conseillent malgré tout d’encourager l’autonomie chez l’enfant.

Celle-ci pourrait avoir des conséquences très positives. En effet, on a aussi établi dans cette étude que les enfants qui prenaient les aliments avec leurs doigts entre six et huit mois avaient plus de chances de marcher sans soutien à un an. La proportion en était de 54 %, contre 38 % chez les bébés qui ne prenaient pas la nourriture dans leurs mains.

Finalement, si 90 % des enfants mangeaient à l’aide de leurs mains sur une base quotidienne à 8 mois, 35 % des parents leur donnaient encore de la purée à la cuillère.

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Visualiser ce que l’on va manger permet de manger moins ensuite

Un bon moyen de manger moins lors des repas est de visualiser ce que l’on s’apprête à manger, et ce, plusieurs fois, mentionnent des chercheurs américains qui ont voulu connaître les effets de la visualisation sur l’appétit.
 
Par le passé, il avait été démontré que de s’imaginer des odeurs ou des saveurs pouvait stimuler l’appétit. Aujourd’hui, le magazine Science mentionne que la visualisation d’un aliment en particulier stimule le sentiment de satiété.
 
Toutefois, c’est de s’imaginer manger un aliment à répétition qui est la clé de ce phénomène.
 
On a demandé à 51 participants de s’imaginer manger des M&M à 30 reprises et à un deuxième groupe de s’imaginer en manger à trois reprises. Ensuite, on leur a donné un bol rempli de ces friandises. Ceux qui s’étaient vus en manger 30 fois en ont consommé 2,2 grammes, comparativement à 4,2 grammes pour les autres.
 
Donc, s’imaginer manger un aliment précis à plusieurs reprises stimulerait le sentiment de satiété, faisant en sorte que l’on en consomme moins lorsque vient réellement le temps de manger.
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Visualiser ce que l’on va manger permet de manger moins ensuite

Un bon moyen de manger moins lors des repas est de visualiser ce que l’on s’apprête à manger, et ce, plusieurs fois, mentionnent des chercheurs américains qui ont voulu connaître les effets de la visualisation sur l’appétit.
 
Par le passé, il avait été démontré que de s’imaginer des odeurs ou des saveurs pouvait stimuler l’appétit. Aujourd’hui, le magazine Science mentionne que la visualisation d’un aliment en particulier stimule le sentiment de satiété.
 
Toutefois, c’est de s’imaginer manger un aliment à répétition qui est la clé de ce phénomène.
 
On a demandé à 51 participants de s’imaginer manger des M&M à 30 reprises et à un deuxième groupe de s’imaginer en manger à trois reprises. Ensuite, on leur a donné un bol rempli de ces friandises. Ceux qui s’étaient vus en manger 30 fois en ont consommé 2,2 grammes, comparativement à 4,2 grammes pour les autres.
 
Donc, s’imaginer manger un aliment précis à plusieurs reprises stimulerait le sentiment de satiété, faisant en sorte que l’on en consomme moins lorsque vient réellement le temps de manger.
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Manger devant son ordinateur incite au grignotage

Il est néfaste pour la santé de manger devant son ordinateur et c’est pourtant chose courante.
 
Des chercheurs anglais de l’Université de Bristol affirment que cela incite au grignotage durant la journée. Selon le Daily Mail, on a voulu étudier l’influence de la mémoire et de l’attention sur l’appétit.
 
Un premier groupe de personnes a mangé un déjeuner composé de neuf aliments tout en jouant aux cartes sur l’ordinateur. Un deuxième groupe a mangé la même nourriture, mais sans distraction. Ceux qui étaient restés devant leur écran se sentaient moins rassasiés après le déjeuner que le deuxième groupe.
 
Après trente minutes, le premier groupe avait mangé plus de biscuits que ceux qui n’avaient pas eu de distraction au déjeuner. De plus, ceux qui étaient restés devant leur ordinateur ont eu beaucoup plus de mal à se souvenir de l’ordre dans lequel ils avaient consommé les aliments au déjeuner.
 
Cela démontre que les distractions au cours d’un repas peuvent conduire à manger plus dans la journée, ce qui a un impact direct sur l’obésité.
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Moins bien manger une fois adulte en raison des bonnes habitudes?

Des chercheurs du Collège universitaire de Londres ont démontré un lien entre le désir de bien manger des parents et les mauvaises habitudes adoptées par leurs enfants plus tard.

D’après les résultats publiés dans le Journal of American Dietetic Association, le point de départ a été le lien entre la faible pression maternelle et l’amour de la nourriture.

Il semble au contraire que si les parents insistent pour que l’enfant termine son repas, celui-ci court plus de risques de devenir un mangeur compulsif.

De plus, si les parents sont insistants quant aux saines habitudes alimentaires, l’enfant aura tendance à aller dans la direction inverse à l’âge adulte.

Tous ces liens ont été faits sans regard au poids de l’enfant. Cette étude a porté sur 213 mères ayant des enfants âgés de 7 à 9 ans.

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Manger la pelure des fruits et légumes serait bon contre le cancer

La Dre Marilyn Glenville affirme qu’en jetant les pelures des fruits et légumes, on se prive de nombreux nutriments essentiels au maintien d’une bonne santé.
 
Les peaux des fruits et légumes contiennent beaucoup d’antioxydants efficaces contre le cancer notamment. Tous ces aliments sont biosynergiques, c’est-à-dire que les bénéfices nutritionnels de chacune des parties sont renforcés par les autres parties.
 
De plus, les tiges et noyaux seraient également très riches en éléments nutritifs.
 
Par exemple, le Daily Mail rapporte que la peau des kiwis contient beaucoup d’antioxydants reconnus comme étant des anticancers, anti-inflammatoires et antiallergènes.
 
Pour les ananas, c’est le noyau qui est riche en fibres et en vitamine C, tout comme les tiges du brocoli. Pour ce qui est de la pelure de banane, elle est riche en sérotonine qui équilibre l’humeur et est excellente pour protéger les cellules oculaires.
 
La pelure de l’ail contient beaucoup d’antioxydants également. Quant aux agrumes, non seulement leur pelure contient des antioxydants, mais ceux-ci diminuent le mauvais cholestérol.
 
La peau des citrouilles et des courges nous apporte du zinc, des antioxydants et des nutriments pour une peau et des ongles sains. Finalement, la pelure de pomme de terre donne la moitié de l’apport quotidien en fer, zinc, phosphore et vitamine C.
 
Donc, ne jetez plus les pelures, car elles sont extrêmement bénéfiques pour la santé.