Catégories
Uncategorized

Les troubles bipolaires causés par un gène?

Une équipe de chercheurs de l’Université d’Edinbourgh, en Écosse, croient que le gène GRIK4 pourrait expliquer les troubles bipolaires.

Selon eux, les sujets, dont un fragment d’ADN manque à ce gène, ont moins de risque de développer cette maladie, contrairement aux gens dont le gène est intact.

En 2006, l’équipe du Dr Benjamin Pickard avait identifié le gène GRIK4 comme étant responsable de la schizophrénie. Leurs recherches plus poussées ont, cette fois-ci, démontré le lien entre ce gène et le risque de maniaco-dépression.

356 maniaco-dépressifs et 286 autres sujets ont participé à cette étude.

Catégories
Uncategorized

Découverte en matière de troubles bipolaires

Des chercheurs québécois et américains ont percé à jour les mécanismes du lithium sur le cerveau des personnes aux prises avec des troubles bipolaires. Cette découverte laisse présager de nouveaux traitements contre ce trouble psychologique.

L’étude, coréalisée par le Dr Martin J. Beaulieu, du Centre de recherche Université Laval Robert-Giffard (CRULRG) à Québec, et le Dr Marc G. Caron, de l’Université Duke à Durham en Caroline du Nord, a permis d’identifier un mécanisme cellulaire qui pourrait enfin expliquer le mode d’action du lithium sur le comportement. De plus, les chercheurs ont découvert un lien entre le lithium et la sérotonine, un neurotransmetteur modulé par les antidépresseurs.

« C’est véritablement une percée majeure que celle du Dr Beaulieu. Ces nouvelles technologies mèneront à de nouvelles formes de traitement de cette maladie, qui touche 1 % de la population québécoise et canadienne », a souligné le Dr Michel Maziade, directeur scientifique du CRULRG.

 

Catégories
Uncategorized

Nouveau traitement possible pour les maniacodépressifs

Un timbre de scopolamine, dont l’usage premier est le soulagement du mal des transports, pourrait atténuer les symptômes du trouble de l’humeur de la maniacodépression.

Selon le docteur Husseini Manji, de l’Institut national de santé mentale, les patients qui souffrent de troubles bipolaires ne sont pas suffisamment soulagés par la médication actuelle.

C’est par hasard que les effets de la scopolamine ont été découverts dans le traitement de la maniacodépression. Selon Wayne Drevets, contrairement à des antidépresseurs qui prennent plusieurs semaines avant de faire effet, la scopolamine sous forme injectable semble améliorer l’humeur dès les premières heures suivant son administration.

Toujours selon Drevets, l’effet de se sentir moins déprimé aurait duré plusieurs semaines chez les individus ayant participé à l’étude.