Catégories
Uncategorized

Manquer d’oxygène durant l’accouchement augmente le risque d’hyperactivité

L’étude menée aux États-Unis a porté sur près de 82 000 enfants de cinq ans, dont certains avaient manqué d’oxygène à cause de différents facteurs.

Parmi ceux-ci, la prééclampsie augmentait le risque d’hyperactivité chez les enfants de 34 %, l’asphyxie à la naissance était associée à un risque 26 % plus élevé, et le syndrome de détresse respiratoire néonatal augmentait le risque de 47 %.

Ce risque plus élevé était le même, peu importe le groupe ethnique auquel appartenait l’enfant, ainsi qu’après un ajustement relié à l’âge gestationnel à la naissance et à d’autres facteurs.

« Nos données pourraient avoir des implications cliniques importantes », a expliqué l’auteur de l’étude, le Dr Darios Getahun, tel que cité par PsychCentral. « Elles pourraient par exemple aider les médecins à identifier les nouveau-nés à risque, qui pourraient ainsi faire l’objet d’une surveillance, et poser un diagnostic plus tôt, lorsque le traitement est le plus efficace. »

Catégories
Uncategorized

Prévenir les effets du manque d’oxygène

Une étude parue dans l’American Journal of Obstetrics and Gynecology donnera beaucoup d’espoir quant aux bébés qui souffrent d’un manque d’oxygène à la naissance.

Précisément, le taux sanguin élevé d’une protéine (la protéine acide fibrillaire gliale) dans les cellules du système nerveux central pourrait aider les médecins à reconnaître si un nouveau-né souffre de lésions cérébrales dues à un manque d’oxygène.

Mentionnons que les cellules du système nerveux central ici ciblées sont celles qui sont essentielles à la structure cérébrale. La mesure de la protéine en question pourrait soutenir un traitement de refroidissement corporel visant à prévenir les dommages permanents au cerveau.

Durant 1 an, on a suivi 23 bébés nés entre la 36e et la 41e semaine de grossesse qui avaient reçu un diagnostic de manque d’oxygène au cerveau. Ces poupons ont été comparés à d’autres qui étaient nés à la même étape de la grossesse, mais qui n’avaient pas subi de lésion cérébrale.

Catégories
Uncategorized

Manque d’oxygène et mémoire

Des chercheurs ont tenté de définir les répercussions d’un manque d’oxygène à la naissance. Précisément, ils ont voulu comprendre ce qu’il advient lorsque l’hippocampe subit des dommages majeurs en début de vie.

Rappelons que l’hippocampe est l’une des deux parties du cerveau. Chacune est placée dans la face médiane du lobe temporal.

La mémoire épisodique, qui consiste à se souvenir d’événements précis (par exemple, ce que vous avez fait hier), est connue pour être sensible aux dommages de l’hippocampe.

Il semble, selon ces chercheurs, que la mémoire d’un enfant pourra se développer normalement, même si ce dernier manque d’oxygène à la naissance et durant ses premiers jours de vie. L’information est valable même s’il présente des dommages à la partie du cerveau dont il est ici question.

Cette découverte soutient la théorie selon laquelle la mémoire se construit à partir de différentes aires cérébrales. Les résultats complets sont présentés dans Cortex.

Catégories
Uncategorized

Manque d’oxygène et mémoire

Des chercheurs ont tenté de définir les répercussions d’un manque d’oxygène à la naissance. Précisément, ils ont voulu comprendre ce qu’il advient lorsque l’hippocampe subit des dommages majeurs en début de vie.

Rappelons que l’hippocampe est l’une des deux parties du cerveau. Chacune est placée dans la face médiane du lobe temporal.

La mémoire épisodique, qui consiste à se souvenir d’événements précis (par exemple, ce que vous avez fait hier), est connue pour être sensible aux dommages de l’hippocampe.

Il semble, selon ces chercheurs, que la mémoire d’un enfant pourra se développer normalement, même si ce dernier manque d’oxygène à la naissance et durant ses premiers jours de vie. L’information est valable même s’il présente des dommages à la partie du cerveau dont il est ici question.

Cette découverte soutient la théorie selon laquelle la mémoire se construit à partir de différentes aires cérébrales. Les résultats complets sont présentés dans Cortex.