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Anémie : Comment contrer un problème grandissant

Il appert que les carences en fer sont un problème commun de nos jours, selon ce que rapporte notamment Top Santé, qui fait état de statistiques en hausse concernant l’anémie en France.

Des chiffres semblables sont avancés au Québec, le manque de fer étant l’un des problèmes nutritionnels les plus observables au sein de la population en ce moment.

Un phénomène d’autant plus préoccupant qu’il toucherait fortement les enfants, les jeunes femmes et les femmes enceintes.

Pourtant, il existe plusieurs façons d’assurer des apports en fer adéquats. Pour commencer, il faut se tourner vers les viandes rouges. Oui, ces mêmes viandes qui n’ont pas bonne presse depuis quelques années. Il faut penser modération, mais sans s’abstenir des plaisirs de la viande, si vous êtes un amateur.

Après tout, les viandes rouges sont importantes pour les apports de forme héminique, contrairement aux légumes verts, qui se chargent plutôt de la forme non héminique.

Un bon rapport viande rouge et légumes verts est donc un excellent début. D’ailleurs, les mélanger dans une même assiette permet un impact optimal sur la santé!

Pour maximiser d’autant plus l’impact du fer ingéré, on suggère en terminant d’être vigilant à la consommation de café, de vin, de thé et de jus, qui peuvent faire baisser les apports en fer, si absorbés en même temps.

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Le manque de sommeil affecterait plus les femmes que les hommes

Voici une étude sur le sommeil qui risque d’en faire réagir plus d’une, puisqu’elle semble à première vue un brin sexiste, mais attendez la suite…

Selon des chercheurs de l’Université Duke, les femmes auraient moins bon caractère que les hommes lorsqu’elles manquent de sommeil, alors que l’homme semble ne pas subir autant d’inconvénients en santé lorsqu’il dort peu.

Une plus grande susceptibilité, donc, ainsi qu’une vulnérabilité physique et psychologique sont observables chez la gent féminine lorsqu’elle n’a pas ses heures de sommeil règlementaires, rapporte Top Santé.

« Nous avons découvert que les femmes avaient plus de dépression, étaient plus colériques et irascibles le matin après le réveil », explique d’abord le Dr Breus, en tête de l’étude.

Mais attention, cela pourrait avoir un lien avec l’utilisation que les femmes font de leur cerveau durant le jour.

« Plus vous utilisez votre intellect pendant la journée, plus vous avez besoin de vous reposer la nuit. Les femmes ont tendance à être multitâches et elles mobilisent davantage leurs fonctions cérébrales que les hommes », ajoute le spécialiste.

L’étude, qui semblait d’abord préjudiciable aux femmes, se retourne finalement contre les hommes!

On suggère aux femmes irritables et qui manquent de sommeil de tenter l’expérience des siestes, d’une durée de 25 à 90 minutes maximum, pour un effet optimal.

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Le manque de sommeil mènerait à de mauvaises habitudes alimentaires

Les gens qui dorment trop peu ont plus de risques de se tourner vers la malbouffe que les autres, croient des chercheurs qui publient une étude sur le sujet.

Ainsi, les gens aux prises avec des troubles de sommeil, ou qui en manque, seraient plus enclins à se ravitailler dans les restaurants de fast-food et même commander de plus grosses portions!

Ce sont des chercheurs suédois qui arrivent à de telles conclusions, à la suite des tests et analyses effectués sur 16 sujets masculins de poids « normal ».

On a d’abord vérifié les habitudes et les envies de ces sujets après des nuits de sommeil réparatrices de huit heures, en moyenne, avant de répéter le stratagème à la suite de nuits blanches.

Étrangement, les participants ont automatiquement choisi des portions plus grandes que d’habitude, eux qui avaient préalablement reçu un petit déjeuner en plus.

On croit donc que le manque de sommeil crée un besoin calorique plus élevé chez l’homme, ce qui peut également mener tout droit à l’obésité.

Les résultats de ces recherches ont été publiés dans le journal Psychoneuroendocrinology.

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Le Myanmar victime de sa nouvelle popularité

On parlait depuis l’automne dernier de cette ascension touristique du côté du Myanmar, et il semble que la réalité ait dépassé les prévisions les plus optimistes.

En effet, rapporte CNN, le Myanmar jouit en ce moment d’une popularité sans précédent auprès des touristes du monde entier, notamment à la suite du passage du président américain Barack Obama, à un point tel que les installations ne sont pas suffisantes pour accueillir tout ce beau monde.

Les hôtels de la région affichent complet, au plus grand bonheur des tenanciers, mais on conseille vivement aux voyageurs de ne pas attendre d’avoir mis le pied au Myanmar pour boucler une réservation.

Par ailleurs, on ne croit pas que le problème pourrait se régler rapidement, puisque la demande croissante écrase les prévisions en matière de nouvelles constructions.

Le Myanmar voit de plus en plus de gens débarquer sur son territoire, des hausses de 25 % chaque année depuis 2009. On note une hausse incroyable de 54 % en termes d’arrivées d’étrangers au Myanmar pour l’année 2012!

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La spiritualité oubliée lors des soins palliatifs

Une étude américaine parle d’un problème étonnant en matière de soins palliatifs, celui du manque flagrant de spiritualité dans les soins accordés aux patients en fin de vie.

C’est ce que rapporte www.nlm.nih.gov, alors que des chercheurs bostonnais pensent que la situation pourrait être corrigée et améliorée.

Contrairement à ce que l’on pourrait penser, l’aspect spirituel ne serait pas une priorité dans les centres de soins palliatifs.

« J’ai été très surpris de constater que ce n’était qu’un problème de formation des employés qui explique ce phénomène », explique Dre Tracy Balboni, une radio-oncologiste de l’institut Dana-Farber de Boston.

Malgré des directives précises qui encouragent pourtant une attention particulière à l’aspect spirituel des gens en fin de vie, l’étude constate que seulement le quart des patients reçoivent ce genre d’attention.

Dre Balboni ajoute : « Il fut un temps où les praticiens et infirmiers (ères) auraient dit que ce n’était pas leur travail, mais les esprits sont maintenant beaucoup plus ouverts, et nous sommes prêts pour ce genre de travail auprès des patients ».

Il faut souligner qu’en cette ère moderne où les tabous ne semblent plus vraiment exister, la foi semble en être devenu un.

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Du sommeil de qualité pour contrer l’obésité

Santelog.com rapporte une étude de l’Académie de Nutrition et de Diététique, qui affirme pouvoir faire une corrélation entre le manque de sommeil et la prise de poids substantielle.

Ainsi, lorsque vient le temps de construire un plan de match pour perdre des kilos en trop, il faudrait inclure le sommeil dans sa stratégie. Il est facile (et normal) de se concentrer sur son régime alimentaire et sur les exercices physiques, mais si on n’en dort plus la nuit, les effets seront plus limités, toujours selon l’étude.

Plusieurs recherches ont déjà démontré certaines corrélations entre le manque de sommeil partiel (moins de six heures par nuit), et il semble qu’elles avaient raison.

De fait, les gens dorment de moins en moins et gagnent du poids, un facteur souvent oublié par les praticiens et nutritionnistes, souligne la professeure Sharon Nickol-Richardsons, de l’Université de Pennsylvanie.

Son équipe a étudié d’autres recherches publiées entre 1996 et 2011 afin de faire la corrélation entre la privation de sommeil et son effet sur l’organisme.

Les chercheurs concluent qu’en plus de nuire au métabolisme, le manque de sommeil augmente l’appétit, ou l’impression d’avoir faim, deux facteurs qui ne favorisent en rien la perte ou la régulation de poids.

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Le manque de sommeil affecte notre système immunitaire

Un autre effet néfaste du manque de sommeil sur la santé est qu’il affecte grandement le système immunitaire.
 
Cela explique en partie pourquoi certaines personnes développent des maladies liées au manque de sommeil, comme l’obésité, le diabète ou l’hypertension.
 
En examinant le taux de globules blancs de 15 jeunes hommes en santé ayant en moyenne 24 ans, on constate qu’après un mode de veille de 29 heures, les globules blancs nommés granulocytes sont plus importants en nombre.
 
« Les granulocytes ont immédiatement réagi à la perte de sommeil et ont directement reflété la réponse au stress de l’organisme », mentionne la professeure Katrin Ackermann dans la revue Sleep.
 
En fait, les mécanismes moléculaires demeurent encore flous, mais les chercheurs savent bien que cela joue un rôle dans le développement de certaines maladies métaboliques liées au manque de sommeil, ce dernier engendrant un système immunitaire moins performant.

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Un manque de sommeil accroît les risques d’AVC

Une nouvelle étude de l’Université d’Alabama à Birmingham mentionne que même en l’absence d’autres facteurs de risques des accidents vasculaires cérébraux (AVC) comme l’obésité, les risques sont accrus avec des nuits trop courtes, même que cela pourrait être précurseur de certains symptômes d’AVC.
 
Au début de l’étude qui a duré trois ans, les 6000 personnes recrutées n’avaient aucun antécédent d’AVC ou même de symptômes. Elles avaient un âge moyen, un poids normal et dormaient moins de six heures par nuit.
 
Après avoir enregistré les premiers symptômes d’AVC, les données démographiques, les facteurs de risques et autres symptômes ainsi que divers comportements de santé, les chercheurs constatent un lien étroit entre le manque de sommeil et le risque élevé d’AVC.
 
Ce sont les résultats qui ont été présentés lors du congrès Sleep tout récemment. D’autres études seront maintenant faites pour approfondir le sujet.
 
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Le manque de sommeil affecte les performances

Non seulement le manque de sommeil est nocif pour la santé, mais selon l’Institut national de veille sanitaire (INVS) en France, cela affectera grandement vos performances.
 
Les troubles de sommeil touchaient quatre personnes sur dix parmi les participants de cette recherche.
 
Ces troubles affectaient surtout les femmes, les personnes âgées de 55 à 65 ans et les sédentaires.
 
Le manque de sommeil finit par affecter nos performances en tout, que ce soit au travail ou dans nos autres tâches quotidiennes. Les gens qui dorment le moins relèvent des capacités physiques moindres, une difficulté à demeurer une heure dans les transports, à rester debout longtemps ou à porter de lourdes charges.
 
La plupart des mauvais dormeurs ont aussi des difficultés de concentration. Ils ont du mal à demeurer attentifs aux gens qui les entourent, à être ponctuels, à se remémorer les noms, les numéros de téléphone ou encore les rendez-vous.
 
Il a déjà été démontré que le manque de sommeil peut aussi causer des dommages au cerveau et exposer à un risque accru de diabète de type 2.

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Plus de sommeil pour vaincre le rhume et la grippe

Il est déjà connu que le manque de sommeil affecte la santé globale, mais il rend aussi plus vulnérable aux virus de la grippe et du rhume.
 
« Les gens qui dorment moins de sept heures ont environ trois fois plus de chances de contracter un rhume que ceux qui dorment huit heures et plus », indique Sheldon Cohen de la Carnegie Mellon University à Pittsburgh.
 
153 personnes âgées de 21 à 55 ans ont été interrogées tous les jours pendant deux semaines. On les questionnait sur leur nombre d’heures de sommeil.
 
Ensuite, ces personnes ont été mises en quarantaine, et on leur a injecté des doses nasales contenant le virus de la grippe.
 
Après analyse, 88 % des personnes ont été infectées, mais elles ne sont pas toutes tombées malades.
 
43 % ont démontré des signes d’infection comme la congestion nasale, la toux et les maux de gorge, et celles-ci se retrouvaient beaucoup plus chez les personnes qui avaient une moins bonne qualité de sommeil, rapportent les Archives of the Internal Medicine.