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Reese Witherspoon veut un Big Little Lies 2

Fans d’une suite potentielle à la série Big Little Lies, Reese Witherspoon est dans votre camp.

En entrevue avec E! News, la blonde actrice de 41 ans a confirmé avoir du mal à lâcher le morceau de ce superbe projet que s’est avéré la minisérie réalisée par Jean-Marc Vallée pour le compte de HBO. De plus, il semble que Nicole Kidman soit enthousiaste à l’idée.

« Oui, Nicole et moi en avons parlé il y a juste trois jours. Nous parlons à Liane Moriarty, qui a écrit le livre, sur comment nous pourrions faire avancer ces personnages. Qu’arriverait-il? On a définitivement laissé les choses ouvertes, alors il y a une possibilité ici », lance Reese Witherspoon.

Ces propos vont de pair avec l’auteure du matériel source de Big Little Lies, Liane Moriarty, qui affirmait récemment  ne pas vouloir écrire un second livre, mais vouloir collaborer avec les producteurs chez HBO pour développer une suite, rapporte BANG Media International.

Le Québécois Jean-Marc Vallée, cependant, n’était pas chaud à l’idée, mais souhaiterait plutôt retrouver Reese Witherspoon et Nicole Kidman pour un autre projet.

« Passons à autre chose et faisons autre chose! S’il y a une opportunité de se réunir avec Reese et Nicole (…) Big Little Lies 2? Non. La fin est faite pour que les gens en discutent. Imaginez ce que vous voulez (…) pourquoi gâcher cela? », avait déclaré Vallée.

Une nouvelle? : scoop@buminteractif.com

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Claude Legault : « Ma carrière ne se résume pas à ma paire de fesses »

Avec un peu de recul, on peut se rendre compte de la qualité de l’entrevue accordée par Claude Legault au journaliste et critique Marc Cassivi pour le compte de La Presse, il y a quelques jours.

Claude Legault y aborde certains grands thèmes de sa carrière, de ses années difficiles à la « polémique » de son salaire pour la campagne de publicité de la CSST, en passant par les dangers de la surexposition au Québec.

La star de 19-2 revient également sur son statut de sex-symbol, un statut arrivé sur le tard avec Minuit, le soir, et qui se poursuit encore.

« Je n’ai jamais été à l’aise avec cette étiquette-là. Et les gens peuvent être très violents sur les réseaux sociaux à propos de ça. « Bon ! Encore une série où il va nous montrer sa gra*ne pis son c*l! » Ma carrière ne se résume pas à ma paire de fesses ! Mais j’ai fait des entrevues où on me parlait que de ça. Du «tout nu», je vais en faire moins en vieillissant », confie notamment Legault à Cassivi.

Après une pause pour se recentrer et retrouver ses repères, Claude Legault semble avoir affirmé ses priorités et propose un retour professionnel (notamment avec Fatale-Station) qui fait plaisir à ses admirateurs et (nombreuses) admiratrices.

Découvrez ici en intégralité l’entrevue de Claude Legault menée par Marc Cassivi, via La Presse.

Une nouvelle? : scoop@buminteractif.com

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Info, sexe et mensonges : loin du compte

La première d’Info, sexe et mensonges dévoilée vendredi (23 septembre) et largement rediffusée sur Artv au cours du week-end dernier laisse planer beaucoup d’incertitudes quant à ce nouveau projet.

Marc Labrèche, probablement le plus talentueux et populaire artiste québécois de la télévision, n’a pas semblé à l’aise avec une facture et des textes qui demanderont encore beaucoup de travail et de peaufinage.

En excluant la normale nervosité et la guigne de la première, certaines lacunes apparaissent évidentes.

D’abord, pour une émission du genre, dont le concept a déjà été éprouvé aux États-Unis par des maîtres comme Jon Stewart, Stephen Colbert et John Oliver, il faudra plus de rythme.

Bien qu’Info, sexe et mensonges se positionne comme son propre concept et non comme une « version » de Last Week Tonight ou du Daily Show, l’influence est évidente et directe. Il faudra donc plus de nouvelles, plus d’analyses, plus d’extraits vidéo et écrits pour appuyer les points de l’animateur, et plus de blagues percutantes.

Info, sexe et mensonges, de par sa direction, sa niche et son diffuseur, doit s’adresser à un public averti et déjà féru d’actualité. Par conséquent, on ne peut se contenter de ramener les vieux clichés de la gauche et les blagues de base sur des éléments déjà bien connus au Québec.

Il faudra également s’assurer de toucher des sujets qui sont bel et bien toujours d’actualité lors de la diffusion, et les auteurs, producteurs et membres de l’équipe (du décor aux textes) devront s’assurer de pouvoir utiliser à bon escient l’immense talent de Marc Labrèche.

Ce dernier gagnerait par ailleurs à ne pas utiliser trop souvent le 360 degrés de son plateau, et à profiter davantage d’une caméra fixe, de face.

Cela dit, il ne s’agit que de la première et, soyons honnête, lorsque Marc Labrèche se présente sur un plateau et ouvre la bouche, le produit offert est automatiquement supérieur à plusieurs autres déjà bien rodés présentés à la télévision.

Info, sexe et mensonges est présentée chaque vendredi, à 21H, sur les ondes d’Artv.

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Jutra : TLMEP rajoute au malaise collectif

Le plateau de Tout le monde en parle a semblé dévier du sujet principal à plusieurs reprises lorsqu’il s’est attardé à l’affaire Claude Jutra, lors de son édition du dimanche 21 février.

Le défunt cinéaste maintenant accusé de pédophilie n’aura pas véritablement été au coeur du débat, alors que la soirée s’est davantage construite autour des excuses de Marc Béland et du procès des intentions de l’auteur Yves Lever.

Les excuses de Béland auront été trop longues et franchement hors propos, alors que les spectateurs s’attendaient à entendre davantage parler de Claude Jutra et de la suite des choses que des états d’âme d’un comédien et metteur en scène. Marc Béland a tout de même reconnu avoir vu « un jeune homme de son âge (20 ans)» alors qu’il habitait chez Claude Jutra, mais ne pas avoir saisi l’ampleur de ce qui se passait.

Mais c’est lorsque l’auteur de la biographie sur Claude Jutra, livre qui a tout déclenché le processus dans l’affaire Jutra, s’est retrouvé sur la sellette comme à son propre procès que les spectateurs ont semblé éprouver unanimement le plus grand malaise de la soirée. Twitter s’est notamment rapidement enflammé contre les attaques dirigées vers Yves Lever.

Encore une fois, de manière consciente ou non, le plateau de Tout le monde en parle aura dévié du sujet principal, un peu comme Louis Morissette précédemment concernant le blackface.

Guy A. Lepage aura au moins redressé brièvement la barque en lisant une lettre de « Jean », la première présumée victime ayant livré son témoignage et confirmé les penchants pédophiles de Claude Jutra à La Presse, un moment touchant… et dans le bon sujet. 

Car, le sujet demeure celui des horreurs vécues par les victimes et de la manière dont nous pourrions collectivement éviter le pire ou protéger les victimes de pédophilie à l’avenir.

On semble pourtant marcher sur des oeufs dans la colonie artistique montréalaise, et on semble préférer rappeler l’importance du cinéaste et de son oeuvre plutôt que les gestes infâmes qui lui sont reprochés. 

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Le film de Jean-Marc Vallée sur Janis Joplin en danger?

Un obstacle à la réalisation du film biographique sur la vie de Janis Joplin se dresse devant le réalisateur Jean-Marc Vallée et son équipe.

C’est que selon The Hollywood Reporter, une requête en arrêt a été déposée par Silver Reel et LKL, qui estiment que le producteur Ron Terry est en brèche de contrat en n’ayant pas respecté leur option.

Une option qui aurait coûté aux demandeurs la coquette somme de 117 000$, en 2014, ce qui leur aurait prétendument assuré les droits exclusifs du scénario Get It While You Can en vue de la réalisation du film.

Une clause de l’entente entre Silver Reel, LKL et Ron Terry prévoyait cependant une consolidation de prêts de 1,7 million de dollars liée à Chesterton Capital qui se serait avérée « illégale et usurière » selon les demandeurs.

Affirmant que Chesterton et les parties en cause « tiennent le scénario en otage », Silver Reel et LKL demandent maintenant l’arrêt de la production du film. L’option des deux parties se terminait à la fin du mois de mars.

Le projet du réalisateur québécois doit mettre en vedette Amy Adams dans le rôle de Janis Joplin.

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Le film de Jean-Marc Vallée sur Janis Joplin en danger?

Un obstacle à la réalisation du film biographique sur la vie de Janis Joplin se dresse devant le réalisateur Jean-Marc Vallée et son équipe.

C’est que selon The Hollywood Reporter, une requête en arrêt a été déposée par Silver Reel et LKL, qui estiment que le producteur Ron Terry est en brèche de contrat en n’ayant pas respecté leur option.

Une option qui aurait coûté aux demandeurs la coquette somme de 117 000$, en 2014, ce qui leur aurait prétendument assuré les droits exclusifs du scénario Get It While You Can en vue de la réalisation du film.

Une clause de l’entente entre Silver Reel, LKL et Ron Terry prévoyait cependant une consolidation de prêts de 1,7 million de dollars liée à Chesterton Capital qui se serait avérée « illégale et usurière » selon les demandeurs.

Affirmant que Chesterton et les parties en cause « tiennent le scénario en otage », Silver Reel et LKL demandent maintenant l’arrêt de la production du film. L’option des deux parties se terminait à la fin du mois de mars.

Le projet du réalisateur québécois doit mettre en vedette Amy Adams dans le rôle de Janis Joplin.

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Marc Labrèche succède à Antoine Bertrand comme porte-parole des RVCQ

Les Rendez-vous du cinéma québécois, ou RVCQ, frappent un grand coup avec l’annonce de l’embauche de Marc Labrèche à titre de porte-parole de l’événement.

Succédant à Antoine Bertrand dans ces fonctions et publiant illico une hilarante vidéo sur le web pour célébrer sa nomination et faire la promotion de l’événement, Marc Labrèche se fait également défenseur du septième art québécois.

« J’ai toujours beaucoup aimé les RVCQ. C’est un festival pertinent, sympathique, bien organisé, pas prétentieux et populaire dans le bon sens du terme. C’est un rendez-vous intime et chaleureux qui permet aux créateurs d’aller à la rencontre du public. »

« Les RVCQ offrent aussi souvent une nouvelle vie à des films qui n’ont pas eu une longue carrière en salle. Le cinéma québécois est en grande santé sur le plan créatif, et c’est très inspirant et emballant, mais c’est vrai que ça ne se traduit pas toujours par des résultats au box-office. »

« C’est sûr qu’on peut se questionner sur la façon dont les projets sont choisis. On a un système de financement qui n’est pas parfait, mais qui a tout de même ses avantages. Cela dit, je me demande parfois si on n’aurait pas avantage à mettre à contribution des réalisateurs et des scénaristes pour évaluer les projets de films soumis plutôt que de laisser cela à des théoriciens du cinéma. Cela laisserait peut-être plus de place à l’audace », lance notamment Labrèche, des propos rapportés par le Journal de Québec.

Marc Labrèche est lui même en tournage de L’autre côté de novembre ces temps-ci, mais s’avère plus occupé par la tournée de Les Aiguilles et l’opium, de Robert Lepage.

Découvrez le clip promo pour les RVCQ, réalisé par Emanuel Hoss-Desmarais.

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Amy Adams confirmée dans le rôle de Janis Joplin

Après plusieurs semaines de rumeurs et négociations, Digital Spy rapportait tôt ce matin (24 novembre) qu’Amy Adams est maintenant confirmée dans le rôle de Janis Joplin.

La nouvelle abonde dans le même sens que celle proposée par EmpireOnline, qui rapporte également l’embauche officielle du réalisateur Jean-Marc Vallée pour piloter le projet.

Ce que plusieurs fans souhaitaient semble donc s’être matérialisé, c’est-à-dire de voir la rousse et explosive Amy Adams dans le rôle convoité, le tout sous les ordres d’un réalisateur visionnaire de la trempe de Jean-Marc Vallée.

Intitulé Get It While You Can, le projet promet de revenir sur la vie de Janis Joplin d’une manière éclairée et sans trop de censure, la chanteuse ayant eu une vie d’excès et de démesure avant de quitter la scène et ce monde beaucoup trop tôt.

Jean-Marc Vallée ajoute donc un nouveau projet à sa longue liste, lui qui vient de terminer Wild et qui tourne en ce moment le drame Demolition avec Jake Gyllenhaal et Naomi Watts.

Le tournage de Get It While You Can devrait s’entamer au milieu de l’année 2015.

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Amy Adams confirmée dans le rôle de Janis Joplin

Après plusieurs semaines de rumeurs et négociations, Digital Spy rapportait tôt ce matin (24 novembre) qu’Amy Adams est maintenant confirmée dans le rôle de Janis Joplin.

La nouvelle abonde dans le même sens que celle proposée par EmpireOnline, qui rapporte également l’embauche officielle du réalisateur Jean-Marc Vallée pour piloter le projet.

Ce que plusieurs fans souhaitaient semble donc s’être matérialisé, c’est-à-dire de voir la rousse et explosive Amy Adams dans le rôle convoité, le tout sous les ordres d’un réalisateur visionnaire de la trempe de Jean-Marc Vallée.

Intitulé Get It While You Can, le projet promet de revenir sur la vie de Janis Joplin d’une manière éclairée et sans trop de censure, la chanteuse ayant eu une vie d’excès et de démesure avant de quitter la scène et ce monde beaucoup trop tôt.

Jean-Marc Vallée ajoute donc un nouveau projet à sa longue liste, lui qui vient de terminer Wild et qui tourne en ce moment le drame Demolition avec Jake Gyllenhaal et Naomi Watts.

Le tournage de Get It While You Can devrait s’entamer au milieu de l’année 2015.

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Reese Witherspoon n’aime pas être perçue comme adorable et parfaite

Reese Witherspoon n’aime pas les étiquettes, et encore moins celle de la petite fille adorable que tout le monde aime, selon ce que rapporte BANG Media International.

La star de Sweet Home Alabama croit que cette perception de la jeune femme parfaite nuit à ses possibilités comme actrice.

« Je me suis assise à des millions de réunions dans lesquelles on disait : “On ne veut pas que Reese dise des gros mots. On ne veut pas que Reese ait des relations sexuelles, on ne veut pas qu’elle consomme de la drogue. Je n’ai pas ressenti de contraintes jusqu’à il y a environ trois ans. J’ai réalisé que je n’étais pas cela, que j’étais une personne complexe avec plusieurs aspects à ma personnalité” », explique Reese Witherspoon au New York Times.

Cette prise de conscience et cette « case » de casting imposée auront-elles contribué à ce que la star de Legally Blonde se laisser aller à des comportements limites sous l’emprise de l’alcool, comme ce fut le cas au cours des derniers mois?

Si oui, Witherspoon aura assurément réussi à casser son image de jeune femme parfaite et à créer une nouvelle perception.

Reese Witherspoon est en vedette dans Wild et The Good Lie, des réalisateurs Jean-Marc Vallée et Philippe Falardeau.