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Marcel Aubut déniche un emploi

Marcel Aubut est de retour dans l’actualité, quelques mois après que des allégations de harcèlement sexuel l’aient propulsé hors de son siège de président du Comité olympique canadien.

Aubut a en effet déniché un contrat de lobbyiste-conseil auprès du Chantier Davie Canada, situé à Lévis, rapporte notamment La Presse.

Plusieurs sources avancent que la contribution première d’Aubut sera de tenter de dénouer une impasse qui subsiste entre la Davie et la Société des traversiers du Québec, qui ne s’entendent pas au sujet des coûts de construction de deux traversiers.

Aubut avait quitté la sphère publique à l’automne en raison de nombreuses allégations d’inconduite sexuelle. Aucune accusation n’avait toutefois été portée.

Marcel Aubut a été avocat puis membre d’un groupe de propriétaire des Nordiques de Québec avant de s’enrôler au sein du Comité olympique canadien.

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Eric Lindros attaque Marcel Aubut

Ce ne serait donc pas les citoyens de Québec, la météo ou l’instabilité du dollar canadien qui aurait mené Eric Lindros à demander un échange presque immédiatement après sa sélection par les Nordiques de Québec, en 1991.

Il semble que Lindros ne pouvait en fait pas blairer Marcel Aubut, alors président et copropriétaire de l’équipe.

Alors que le numéro 88 sera intronisé au Temple de la renommée du hockey, l’occasion était belle pour les journalistes de revenir sur cette fameuse transaction.

« Ce qui a été révélé récemment a permis de voir les vrais visages. La décision était fondée sur des personnes. Ce n’était pas contre une ville, une province ou une culture. C’était en lien avec un propriétaire », lance Eric Lindros en conférence de presse téléphonique.

Rappelons que Marcel Aubut s’est vu forcer de démissionner de la présidence du Comité olympique canadien récemment après que plusieurs femmes aient rapporté des comportements inacceptables de harcèlement sexuel de la part d’Aubut, ce que le principal intéressé n’a finalement pas nié.

L’excuse semble faire l’affaire de Lindros, maintenant âgé de 43 ans. On peut cependant se demander comment un jeune de 18 ans pouvait déjà être au courant de toutes ces histoires à l’époque. On ne peut également pas oublier l’importance de ses parents, Bonnie et Carl, qui n’avaient pas de bons mots pour la ville et la province de Québec.

Chose certaine, tout se sera bien terminé pour les Nordiques à l’époque. L’organisation avait pu utiliser Lindros pour conclure une spectaculaire transaction à son avantage avec les Flyers de Philadelphie.

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Harcèlement sexuel : Marcel Aubut s’excuse et se retire

Depuis que Marcel Aubut s’est vu accusé par plusieurs femmes de harcèlement sexuel, l’avocat quitte sa fonction de président du Comité olympique canadien.

De plus, il s’est excusé via un communiqué pour ses gestes.

«Je profite de l’occasion pour m’excuser sincèrement auprès des gens que mon comportement aurait offusqués. Je suis conscient que, parfois, mon attitude a pu être perçue comme discutable auprès de certaines personnes de la gent féminine et avoir entraîné un sentiment de malaise. Je le réalise. Et je vais m’ajuster.»

Malgré tout, après une séance du conseil d’administration de BCF, bureau d’avocats où travaille Marcel Aubut, la décision a été prise de continuer à œuvrer avec lui. L’avocat «a formulé l’engagement solennel de changer son comportement à l’égard des autres et en particulier à l’égard des femmes», a confirmé la firme via un communiqué. «Il s’est engagé à travailler avec l’aide de professionnels réputés choisis par BCF pour l’assister dans sa démarche. Il a l’appui de BCF».

À ce jour, le COC a reçu une plainte formelle et l’avocate Amélia Salehabadi-Fouques a aussi porté plainte au Barreau. Les services policiers n’ont été avisés d’aucune plainte officielle pour le moment.

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Harcèlement sexuel: Marcel Aubut aurait fait une troisième victime

Mercredi (30 octobre), nous apprenions via le Globe and Mail qu’une accusation de harcèlement sexuel était à l’origine du retrait temporaire de l’avocat Marcel Aubut de son poste de président du COC. Ce matin, nous apprenons qu’une ancienne adjointe exécutive d’un cabinet d’avocat dans lequel a déjà travaillé Me Aubut affirme aussi avoir été victime de harcèlement et d’attouchements.

La dame a cependant signé une entente comprenant une clause de confidentialité pour laquelle elle a reçu 10,000$, son identité ne pouvant donc être dévoilée. La dame s’est néanmoins confiée au bureau d’enquête du Journal de Montréal et a raconté ce qu’elle aurait subi.

«Avec le temps, il commençait à être de plus en plus à l’aise avec ses gestes. Les mains descendaient un peu plus bas chaque fois», dit-elle.

«Quand j’allais porter des dossiers à son bureau, il avait toujours les mains autour de ma taille, très proche de mes fesses. Il fallait toujours qu’il me touche à l’épaule, qu’il me touche quelque part», a-t-elle souligné.

Pour elle, le moment où elle a réalisé qu’elle nous pouvait plus vivre une telle situation est quand il lui aurait demandé de lui apporter des dossiers dans sa salle de conférence. En arrivant,  la femme dit qu’il était en sous-vêtement. Cet incident aurait mené à son arrêt de travail.

Étant persuadée que cette attitude ne lui était pas réservée, elle dit : «Je suis en état de choc, mais je dois vous avouer que je suis surprise que ça ait mis autant de temps à sortir, parce que je suis convaincue que je ne suis pas la seule».

    

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Harcèlement sexuel: Marcel Aubut aurait fait plus d’une victime

Le Globe and Mail nous apprenait hier qu’une femme avait porté plainte contre Marcel Aubut pour harcèlement sexuel.  C’est maintenant au Journal de Montréal de révéler qu’il y aurait eu une deuxième victime.

Amelia Salehabadi-Fouques, qui enseignait alors à l’Université de Montréal en droit du sport, souhaitait s’impliquer au sein du Comité olympique canadien. Elle rencontre donc Marcel Aubut à la Queue de Cheval de Montréal. Elle dit s’être rapidement rendu compte que ce souper n’en serait pas un professionnel, alors qu’Aubut avait organisé un cadre plutôt détendu au bar de l’établissement.

Il aurait d’abord tenté un rapprochement physique qui aurait déplu à la dame.

«Et là, il m’embrasse sans que je le veuille parce qu’il me fait boire beaucoup, avec la langue, et tout… ça m’a dégoûtée», a-t-elle expliqué, ajoutant qu’elle s’est sentie violée devant les gens présents dans l’établissement.

Il y aurait eu deux autres incidents du genre par la suite. La première lors d’une rencontre d’affaires entre l’avocat et l’enseignante en droit à Québec. Aubut n’avait pas réservé de chambre d’hôtel à son nom et lui aurait dit :

«Quand est-ce que je vais venir dans ta chambre? J’ai demandé des clés pour ta chambre.» La dame se serait alors embarrée dans sa chambre.

Finalement,  le dernier évènement raconté par la mère de trois enfants est celui où elle était à la Coupe du monde féminine U-20 accompagnée de son fils de 15 ans. Aubut lui a demandé sans discrétion pourquoi est-ce qu’ils n’avaient toujours pas couché ensemble.

Aucune accusation officielle n’a été déposée jusqu’à maintenant par Amelia Salehabadi-Fouques.