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Le paradoxe canadien des médecins spécialistes

Radio-Canada rapporte un paradoxe aussi frustrant qu’étonnant, alors qu’une nouvelle étude révèle qu’un taux élevé de médecins spécialistes canadiens peinent à se trouver un emploi.

Incroyable, quand on pense aux problèmes criants du système de santé actuel, spécialement au Québec. Ce serait donc 7,7 % des nouveaux médecins spécialistes qui affirment avoir du mal à se dénicher un emploi, un chiffre qui grimpe à 16 % sur l’ensemble du territoire canadien.

42 % affirment souhaiter suivre une formation complémentaire afin d’améliorer leurs chances, mais plusieurs se demandent comment les autorités peuvent se permettre de se priver de toutes ces ressources disponibles sur le marché.

C’est le cas de Danielle Fréchette, qui dirige l’étude commandée par le Collège royal des médecins et chirurgiens du Canada.

« Pour nous, un neurochirurgien ou n’importe quel autre médecin spécialiste qui est sans emploi est problématique quand on pense aux listes d’attente des patients. Comment est-ce qu’on peut s’organiser pour répondre à leurs besoins? Il faut penser aux patients et aux listes d’attente que subissent ces patients. Pourquoi est-ce qu’on ne peut pas arrimer la production du système de formation avec les ressources qui sont disponibles et arrimer les ressources avec les besoins de la population? » s’interroge Fréchette, avec une pointe d’impatience bien sentie.

Le Collège royal des médecins et chirurgiens du Canada doit tenir un sommet l’hiver prochain, afin de voir comment cette situation pourrait être améliorée.

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Le travail et l’argent auraient une incidence directe sur l’amour et la procréation

L’argent ne fait pas le bonheur, dit-on, mais il permet assurément d’offrir de meilleures conditions à l’épanouissement d’une relation amoureuse et à la création d’une petite famille, selon une nouvelle étude sur le sujet.

Les conclusions tirées de cette recherche en provenance de l’Université de Virginie, et rapportées par Santé Log, ne pourraient être plus claires : un meilleur travail et de meilleures conditions sociales sont les premières bases d’un épanouissement amoureux.

Présentées devant l’American Sociological Association, les conclusions de l’étude dressent un portrait bien sombre du marché du travail et des conséquences qui y sont liées.

Depuis la crise économique de 2008, les situations précaires et les pertes d’emplois sont beaucoup plus fréquentes, et cette nouvelle ère serait difficile pour plusieurs ménages jugés sur ou sous le seuil de la pauvreté.

Stress, anxiété, incapacité à prévoir un avenir financier stable, troubles de l’humeur, problèmes de confiance, voilà tout autant de symptômes qui se traduisent par des relations moins stables, des mariages explosifs et une baisse de natalité.

« Les Américains de la classe ouvrière ont souvent un emploi précaire, et donc peu de capacités à planifier un avenir familial », résume Sarah Corse, leader des recherches.

Un portrait sombre, mais théoriquement réversible.

quo;argent ne fait pas le bonheur, dit-on, mais il permet assurément d’offrir de meilleures conditions à l’épanouissement d’une relation amoureuse et à la création d’une petite famille, selon une nouvelle étude sur le sujet.

Les conclusions tirées de cette recherche en provenance de l’Université de Virginie, et rapportées par Santé Log, ne pourraient être plus claires : un meilleur travail et de meilleures conditions sociales sont les premières bases d’un épanouissement amoureux.

Présentées devant l’American Sociological Association, les conclusions de l’étude dressent un portrait bien sombre du marché du travail et des conséquences qui y sont liées.

Depuis la crise économique de 2008, les situations précaires et les pertes d’emplois sont beaucoup plus fréquentes, et cette nouvelle ère serait difficile pour plusieurs ménages jugés sur ou sous le seuil de la pauvreté.

Stress, anxiété, incapacité à prévoir un avenir financier stable, troubles de l’humeur, problèmes de confiance, voilà tout autant de symptômes qui se traduisent par des relations moins stables, des mariages explosifs et une baisse de natalité.

« Les Américains de la classe ouvrière ont souvent un emploi précaire, et donc peu de capacités à planifier un avenir familial », résume Sarah Corse, leader des recherches.

Un portrait sombre, mais théoriquement réversible.

Crédit photo : www.freedigitalphotos.net

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La fréquence des relations sexuelles pourrait influencer le salaire

Un chercheur de l’Université Anglia Ruskin et son équipe se sont amusés à analyser les courbes de salaire et celles… des fréquences des rapports sexuels.

Fait étonnant, le Dr Nick Drydakis et ses collègues sont parvenus à démontrer une certaine cause à effet entre le nombre de relations sexuelles recensées hebdomadairement et le salaire moyen de sujets, rapporte le Daily Mail (UK).

Ainsi, après avoir analysé près de 8 000 dossiers de sujets âgés de 26 à 50 ans, les chercheurs ont conclu que ceux qui 4 relations sexuelles et plus par semaine gagnent en moyenne 5 % de plus que les autres.

De plus, ceux qui n’ont aucune vie sexuelle gagneraient en moyenne 3 % de moins que ceux qui ont des activités intimes, même sporadiques.

Attention, cependant, il existe deux lignes de pensée découlant de ces conclusions.

Soit les personnes plus épanouies sexuellement atteignent plus facilement le succès, soit les personnes qui ont plus de succès réussissent davantage à charmer!

Une chose est sûre, l’absence de rapports sexuels peut mener à des troubles de l’humeur comme l’anxiété ou la dépression, selon le Dr Drydakis, qui résume :

« Les gens ont besoin d’aimer et d’être aimés. L’absence de ces éléments peut mener à vivre de l’anxiété ou à la dépression, ce qui peut affecter leur vie professionnelle. »

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À New York, on fait la queue pour marcher sous la pluie sans se mouiller

Dans la file d’attente, les visiteurs sont chauffés à blanc sous le soleil : New York vit cet été à l’heure de la Rain Room, une installation au Museum of Modern Art (MoMA) qui confère à chacun le pouvoir… de contrôler la pluie.

« J’ai fait la queue pendant quatre heures. C’est un concept très intéressant », explique à l’AFP Luciano Neves, un Brésilien installé à New York qui n’en revient toujours pas. « J’ai été un peu mouillé parce qu’il faut quand même traverser un peu la “pluie” pour l’arrêter ».

D’abord proposée à Londres à la fin de l’année dernière, la Rain Room plonge le visiteur dans un espace réduit où tombent des hallebardes. Dès qu’il s’y engouffre, des capteurs traquent chacun de ses mouvements et l’eau cesse de tomber précisément là où il se trouve.

Le collectif Random International, concepteur de la Rain Room, explique sur son site internet que le visiteur a le « pouvoir d’arrêter la pluie ».

« Grâce au numérique, la Rain Room est une averse à la chorégraphie finement orchestrée. C’est une œuvre monumentale qui permet à chacun de devenir artiste sur une scène inattendue tout en créant une atmosphère intime faite de contemplation ».

Inaugurée au MoMA en mai, la Rain Room doit fermer ce dimanche (28 juillet). Mais devant les hordes de visiteurs, le musée a décidé d’élargir ses horaires. Il est même désormais possible de contempler l’installation, sans toutefois pouvoir y entrer.

À l’intérieur, les visiteurs se prennent en photo à contre-jour, les courbes de leur corps illuminées par un immense projecteur placé tout au fond de la pièce.

« La Rain Room invite les visiteurs à s’interroger sur le rôle que peuvent jouer la science, la technologie et le génie humain dans notre environnement », explique de son côté le MoMA sur son site internet.

Et son succès ne se dément pas. Plus de 60 000 personnes l’ont visitée. Le chiffre peut paraître faible, mais il prend une autre ampleur lorsque l’on songe que seules dix personnes sont admises en même temps pendant quelques minutes à l’intérieur de la Rain Room.

Mardi en fin de matinée (23 juillet), six heures avant la fermeture du musée, plus personne n’était autorisé à s’intégrer à la file d’attente, le personnel étant certain que les nouveaux arrivants n’auraient de toute façon pas l’occasion d’entrer avant la fermeture des portes.

Maigre consolation : seules quelques petites minutes d’attente étaient nécessaires pour aller voir l’installation, sans pouvoir y entrer.

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Cinq lieux historiques pour redécouvrir Paris à pied

Quartiers et histoires de Paris… à pied est un nouveau guide édité par la Fédération française de randonnée. Douze balades proposent de découvrir la capitale à travers ses monuments connus et méconnus, parfois insolites, mêlant petites histoires à la grande histoire.

Ces itinéraires sont inspirés des Panamées, des balades gratuites et ouvertes à tous organisées chaque troisième jeudi du mois par la FFRandonnée de Paris. Daniel Ramey, son président, a sélectionné cinq de ses lieux préférés à découvrir.

Le pont Neuf
Réalisé entre la fin du XVIe siècle et le début du XVIIe siècle, le pont Neuf compte 12 arches enjambant la Seine. Au-dessus de chacune d’elles s’alignent des mascarons, de petites sculptures représentant des figures humaines. Sur les 384 présentes sur le pont, une seule représente le visage d’une femme.

Le Bœuf sur le Toit
Ce club, lieu mythique du jazz français, a été nommé ainsi sur les conseils de Jean Cocteau, d’après le titre d’un morceau de Darius Milhaud inspiré d’un air du Brésil, où le compositeur a vécu. Les deux artistes et leurs amis s’y réunissaient régulièrement pour des concerts improvisés. Succès et clientèle affluant, il n’était pas rare que des spectateurs rejoignent la scène pour jouer un morceau. D’où l’expression « faire un bœuf ».
34, rue du Colisée, 8e arrondissement.

La fontaine Carpeaux
Située dans le jardin des Grands Explorateurs, près de l’avenue de l’Observatoire, on y passe à côté sans forcément y faire attention. Pourtant, ses sculptures sont splendides, et les mouvements des personnages et des chevaux sont parmi les plus finement réalisés. Le point de vue depuis la fontaine offre une perspective de choix sur le jardin et le palais du Luxembourg, et de l’autre côté, sur l’Observatoire.

La Rotonde de la Villette
Elle abrite aujourd’hui une brasserie à la mode, mais la Rotonde est une ancienne barrière d’octroi du mur d’enceinte conçu par Ledoux juste avant la Révolution, qui entourait Paris et permettait de percevoir l’impôt sur les marchandises entrant dans la capitale. Elle est l’un des quatre vestiges encore visibles de ce mur. C’est à cause d’elle si le tracé de la ligne 2 du métro est sinueux du côté de Stalingrad. Pour pouvoir la conserver, le tracé a dû dévier son axe plusieurs fois pour la contourner.
6-8, place de Stalingrad, 19e arrondissement.

Quartier Mouzaïa – Danube
Dans le 19e arrondissement, la rue de Mouzaïa est connue pour ses belles villas et ses petites allées ombragées bordées de fleurs. Ses airs de campagne se retrouvent jusqu’en direction de la place de Rhin-et-Danube, où trois rues aux noms républicains se rejoignent : rue de la Liberté, rue de l’Égalité et rue de la Fraternité.

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Vêtements sportifs : percée étonnante et refroidissement intégré

La technologie n’en finit plus de nous surprendre et de nous épater, et ce, dans plusieurs domaines.

Cette fois, rapporte le Daily Mail (G.-B.), c’est l’industrie du sport et des vêtements sportifs qui profiterait de cette nouvelle ère technologique, sans parler des millions d’athlètes à travers le monde.

Les cerveaux de Mountain Hard Wear seraient parvenus à créer un nouveau système de réfrigération, ou de refroidissement, intégré aux vêtements qu’ils produisent sous la bannière Way2Cool.

Le système innovateur propose d’utiliser la sueur de l’athlète ou du sportif pour ensuite la « filtrer » et la transformer pour refroidir le corps.

« La température chaude et les canicules sont des conditions incroyablement difficiles pour les gens qui participent à des activités extérieures, spécialement les coureurs et les athlètes aérobiques », explique le président de Mountain Hardware, Topher Gaylord.

Surveillez donc la sortie de ces produits sur le marché nord-américain!</pechnologie n’en finit plus de nous surprendre et de nous épater, et ce, dans plusieurs domaines.

Cette fois, rapporte le Daily Mail (G.-B.), c’est l’industrie du sport et des vêtements sportifs qui profiterait de cette nouvelle ère technologique, sans parler des millions d’athlètes à travers le monde.

Les cerveaux de Mountain Hard Wear seraient parvenus à créer un nouveau système de réfrigération, ou de refroidissement, intégré aux vêtements qu’ils produisent sous la bannière Way2Cool.

Le système innovateur propose d’utiliser la sueur de l’athlète ou du sportif pour ensuite la « filtrer » et la transformer pour refroidir le corps.

« La température chaude et les canicules sont des conditions incroyablement difficiles pour les gens qui participent à des activités extérieures, spécialement les coureurs et les athlètes aérobiques », explique le président de Mountain Hardware, Topher Gaylord.

Surveillez donc la sortie de ces produits sur le marché nord-américain!

Crédit photo : www.freedigitalphotos.net

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Une exposition célèbre Martin Luther King et les 50 ans de sa marche sur Washington

Une exposition à Washington sur la vie « d’homme d’action » de Martin Luther King, prix Nobel de la Paix, donne le coup d’envoi des célébrations qui marqueront cet été le 50e anniversaire de la « marche sur Washington » pour les droits civiques en faveur des Noirs.

Une vie, Martin Luther King Jr, une exposition de la National Portrait Gallery sur le militant pour les droits des Noirs assassiné en 1968, entend montrer la vie d’un homme « qui n’était pas qu’un rêveur, mais aussi un homme d’action », a indiqué à l’AFP Ann Shumard, directrice de l’exposition dans la capitale fédérale.

Martin Luther King est célèbre pour son discours I have a dream évoquant la paix raciale qu’il souhaitait voir établie.

L’exposition de photographies montre Martin Luther King manifestant dans l’Alabama ou à New York, prenant le premier bus où Noirs et Blancs sont côte à côte, ou sur le point d’être emprisonné en Géorgie.

Il a mené une « vie très remplie, pleine de campagnes qui n’ont pas toutes été couronnées de succès », ajoute Shumard.

Les États-Unis célèbrent cet été le 50e anniversaire de la « Marche sur Washington », le 28 août 1963, qui avait rassemblé quelque 250 000 personnes demandant les droits civiques pour les Noirs.

Une semaine d’événements divers marqueront cet anniversaire fin août, dont une marche rebaptisée « Pour l’emploi et la justice » à Washington, des conférences sur l’événement, des expositions, un service religieux au Martin Luther King Memorial de Washington ou encore l’émission d’un timbre.

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Une exposition célèbre Martin Luther King et les 50 ans de sa marche sur Washington

Une exposition à Washington sur la vie « d’homme d’action » de Martin Luther King, prix Nobel de la Paix, donne le coup d’envoi des célébrations qui marqueront cet été le 50e anniversaire de la « marche sur Washington » pour les droits civiques en faveur des Noirs.

Une vie, Martin Luther King Jr, une exposition de la National Portrait Gallery sur le militant pour les droits des Noirs assassiné en 1968, entend montrer la vie d’un homme « qui n’était pas qu’un rêveur, mais aussi un homme d’action », a indiqué à l’AFP Ann Shumard, directrice de l’exposition dans la capitale fédérale.

Martin Luther King est célèbre pour son discours I have a dream évoquant la paix raciale qu’il souhaitait voir établie.

L’exposition de photographies montre Martin Luther King manifestant dans l’Alabama ou à New York, prenant le premier bus où Noirs et Blancs sont côte à côte, ou sur le point d’être emprisonné en Géorgie.

Il a mené une « vie très remplie, pleine de campagnes qui n’ont pas toutes été couronnées de succès », ajoute Shumard.

Les États-Unis célèbrent cet été le 50e anniversaire de la « Marche sur Washington », le 28 août 1963, qui avait rassemblé quelque 250 000 personnes demandant les droits civiques pour les Noirs.

Une semaine d’événements divers marqueront cet anniversaire fin août, dont une marche rebaptisée « Pour l’emploi et la justice » à Washington, des conférences sur l’événement, des expositions, un service religieux au Martin Luther King Memorial de Washington ou encore l’émission d’un timbre.

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Trois petites promenades qui peuvent tout changer

Le simple fait de faire une bonne marche après les repas pourrait grandement améliorer votre santé et votre qualité de vie, selon The National Library of Medicine.

De plus, une petite promenade amicale permet de faire baisser les risques de diabète, notamment de type II, selon les chercheurs de la George Washington University School of Public Health and Health Services.

Loretta DiPietro, auteure principale de l’étude en question, estime même que trois petites promenades de 15 minutes par jour, donc une fois après chaque repas, permettent de plus grands bénéfices pour la santé qu’une seule grande marche de 45 minutes quotidiennement.

« Plus important, les marches d’après-repas sont significativement meilleures que les deux autres prescriptions d’activité physique proposées pour faire baisser les taux de sucre dans le sang », lance DiPietro.

Il faut avouer que la méthode possède également l’avantage d’être simple, non éreintante, et qu’elle s’intègre facilement dans les activités quotidiennes.

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Les salons de thé à la conquête du marché français

Tendance « So British », les bars à thé partent à la conquête de l’Hexagone. Dernier en date, Kusmi Tea, qui envisage de multiplier les enseignes. Sa meilleure vitrine? Les Champs-Élysées, où il a ouvert en début d’année son premier salon de thé parisien. Starbucks et autres Costa Coffee pourraient bien avoir du souci à se faire.

Et s’il était maintenant plus « in » de boire un thé après le boulot plutôt qu’un café? C’est le pari que se sont lancé plusieurs enseignes, en France, ces derniers mois.

Kusmi Tea a ouvert un salon de thé baptisé Café Kousmichoff. Avec ce nom aux accents russes, en hommage à ses origines, l’enseigne, désormais française, ambitionne de devenir la « première marque de thé premium au monde ».

Pour ce faire, rien de mieux que de s’installer sur la plus belle avenue de la planète, véritable gage de visibilité. À l’intérieur, les clients peuvent bien entendu repartir avec les succès de la marque — thé détox, etc. —, mais également s’installer dans la salle de dégustation. Outre les thés des petites boîtes aux couleurs chatoyantes, les consommateurs peuvent se régaler de pâtisseries sucrées et salées, mais aussi de café, afin de ne pas brusquer les réfractaires au thé.

La marque créée au XIXe siècle, passée sous giron français en 2005, prévoit d’ouvrir un concept similaire dans le quartier parisien de l’Opéra d’ici l’été prochain. D’autres « comptoirs » pourraient également voir le jour à Londres, Milan ou New York…

L’image des salons de thé guindés, réservés à une élite d’initiés, semble désormais dépassée. Bien avant cette démocratisation, les amateurs d’infusions devaient se tourner vers de prestigieuses adresses, telles que Mariage Frères, où les serveurs officient avec des gants blancs.

Jusqu’alors, les consommateurs étaient plutôt habitués à voir se développer les salons de café, à l’image de Starbucks, mais aussi des McCafés ou encore plus récemment des Costa Coffee, enseigne tout droit venue du pays de Sa Majesté.

Le chef de file mondial, Starbucks, a vite compris l’intérêt de poser ses pions sur ce marché prometteur. Ce n’est pas donc pas sans raison qu’il a annoncé, en novembre dernier, le rachat de la chaîne de magasins de thé Teavana.

Le géant indiquait alors vouloir « réinventer » le marché de cette boisson et accélérer le développement de l’enseigne, créée en 1997, aussi bien en Amérique du Nord que dans le reste du monde.