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Espoir pour les enfants avec des lésions cérébrales

Des chercheurs du Kennedy Krieger Institute viennent de présenter leurs résultats quant à une thérapie combinée pouvant venir en aide aux enfants atteints de lésions cérébrales. Cette méthode pourrait aussi être appliquée aux adultes atteints d’un AVC ou d’autres conditions qui se retrouvent avec un déficit de marche.

Le principe de cette thérapie est que l’on apprend de ses erreurs, que la pratique, en somme, est la clé du succès.

Comme on l’explique dans The Journal of Neuroscience, lorsqu’on force un sujet à marcher sur un tapis roulant selon un modèle inhabituel, il devient plus apte à suivre la forme habituelle de marche le jour suivant.

C’est en faisant marcher des sujets sur un tapis roulant à double courroie que les chercheurs ont remarqué cet effet. Ce type de tapis oblige la personne à bouger l’une de ses jambes plus rapidement que l’autre.

Habituellement, pour réapprendre à marcher, on nous explique et montre comment il faut le faire, puis on pratique, et on pratique encore. La présente étude prouve, au contraire, qu’il est plus efficace d’appliquer une méthode combinée appliquant la règle de l’essai-erreur.

La technique ainsi créée est porteuse de grands espoirs quant aux enfants – et aux adultes – qui se retrouvent avec une faiblesse sur un côté du corps.

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Marcher pour aller à l’école

Une étude parue dans Pediatrics lève le voile sur les conditions entourant le transport écolier ainsi que ses répercussions sur la santé en général. Bien qu’il y a quelques années, il était très courant que les enfants se rendent à l’école à pied ou à bicyclette, il semble que cette bonne habitude se perde.

Afin de mieux comprendre les tenants et aboutissants de cette situation moderne, l’étude longitudinale dont il est ici question a porté sur des enfants canadiens, dès l’âge de 6 ans et jusqu’à 16 ans.

Au cours de ces années, les parents des jeunes participants étaient invités à compléter un sondage quant au transport scolaire de ces derniers. On a ainsi remarqué, de prime abord, que si l’utilisation d’un transport actif (la bicyclette ou la marche, par exemple) croissait constamment jusqu’à l’âge de 10 ans, elle diminuait ensuite.

D’autre part, on a relevé que les enfants vivant au sein d’une famille à plus faible revenu étaient plus enclins à utiliser un moyen de transport actif pour se rendre à l’école. La même constatation a été faite chez les enfants grandissant en milieu urbain.

Les chercheurs de l’étude ont conclu que les enfants seraient plus encouragés à se rendre à l’école à pied ou à vélo – ce qui encourage de bonnes habitudes futures quant à leur santé – si leur famille comprenait mieux les enjeux liés à de tels transports.

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Nouveau traitement du pied-bot

On apprend sur MailOnline que des chercheurs de l’Hôpital universitaire de Coventry, au Royaume-Uni, ont mis au point une procédure pour traiter le pied-bot. Celle-ci s’avère beaucoup plus légère, mais tout aussi efficace que celles déjà existantes. On y traiterait une vingtaine d’enfants chaque semaine.

Rappelons que ce problème de naissance entraîne habituellement une chirurgie majeure et des mois de rééducation et de souffrances pour que les enfants puissent un jour marcher normalement.
 
Or, on peut désormais entamer le traitement dès la première semaine après la naissance. Après que le pied ait été maintenu immobile jusqu’à la sixième semaine, on procède à une légère chirurgie sous anesthésie locale visant à libérer le tendon d’Achille. Finalement, des souliers spécialisés doivent ensuite être portés pour compléter ce traitement sans douleur.

Le pied-bot touche 1 bébé sur 800. Il se reconnaît par l’allure tordue d’un pied (dans les deux tiers des cas, des deux pieds) et l’enfant doit subir un traitement afin de marcher normalement. La cause en est encore inconnue, mais pourrait être héréditaire.

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Les causes d’un retard de développement

Nous pouvons lire dans Keep Kids Healthy les différents types de retards de développement de l’enfant ainsi que leurs causes.

Environ 3 % des enfants présentent un tel retard, qu’il soit d’un ordre ou d’un autre. Toutefois, de 15 à 20 % seulement présentent réellement un problème sous-jacent. Les autres enfants complèteront leur développement, mais un peu plus lentement.

Ces retards comprennent tout ce qui touche à la motricité, comme marcher ou ramper, mais aussi au langage et aux aptitudes sociales telles que l’interaction. Certains signes de retard de développement sont reconnaissables.

Il y a, par exemple, ne pas pouvoir se retourner à 6 mois, ne pas s’asseoir et tenir tout seul à 8 mois, ne pas ramper à 12 mois passés, ne pas être capable de marcher après 15 mois.

Les raisons peuvent en être, entre autres, une naissance prématurée, des anormalités au cerveau ou dans les chromosomes, une infection ou une maladie reliée au métabolisme.

D’autre part, un retard peut provenir de faibles stimulus extérieurs. Dans ce cas, on retrouve les rares occasions d’avoir accès à ses jouets, de voir d’autres enfants et de communiquer avec des adultes.

La surprotection peut aussi être en cause, en particulier si l’enfant est continuellement dans les bras après 8 mois, ne pouvant ainsi pas bouger comme il le faudrait.

Bien sûr, ces retards peuvent être réglés si le parent les reconnaît et demande conseil à un médecin.

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Des marches plus longues et fréquentes

Le Dr Philip A. Ades, de la Faculté de médecine de l’Université du Vermont, soutient que les marches quotidiennes d’une durée de 45 à 60 minutes, mais à un pas plus lent, sont meilleures pour la santé que les marches rapides.

Selon le chercheur américain, ce type de marche favorise la perte de poids et améliore les fonctions cardiaques chez les patients en réadaptation.

« Les bienfaits de la perte de poids chez les patients cardiaques ne sont pas encore clairs. Mais on sait que si ces derniers ne maigrissent pas, c’est parce qu’ils ne brûlent pas suffisamment de calories », affirme le Dr Ades, qui est persuadé que la marche permet de brûler plus de calories que le vélo et la natation.

Tous les détails de cette recherche sont publiés dans l’édition en ligne de Circulation.

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Des marches plus longues et fréquentes

Le Dr Philip A. Ades, de la Faculté de médecine de l’Université du Vermont, soutient que les marches quotidiennes d’une durée de 45 à 60 minutes, mais à un pas plus lent, sont meilleures pour la santé que les marches rapides.

Selon le chercheur américain, ce type de marche favorise la perte de poids et améliore les fonctions cardiaques chez les patients en réadaptation.

« Les bienfaits de la perte de poids chez les patients cardiaques ne sont pas encore clairs. Mais on sait que si ces derniers ne maigrissent pas, c’est parce qu’ils ne brûlent pas suffisamment de calories », affirme le Dr Ades, qui est persuadé que la marche permet de brûler plus de calories que le vélo et la natation.

Tous les détails de cette recherche sont publiés dans l’édition en ligne de Circulation.

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100 pas par minute

Avis aux adeptes de lèche-vitrine qui croient que cette activité est bénéfique, il faut faire 100 pas à la minute pour que la marche soit considérée comme un exercice. 

Une recherche, effectuée par des chercheurs de l’Université de San Diego, démontre qu’il faut 100 pas à la minute pendant une demi-heure pour que la marche soit un exercice d’intensité modérée.

58 femmes et 39 hommes ont participé à cette étude où l’on mesurait leur fréquence cardiaque et leur nombre de pas par podomètre.

À la lumière de ces résultats, les scientifiques recommandent cinq séances de marche de 30 minutes par semaine.

Selon Kino-Québec, un adulte doit marcher en moyenne 10 000 pas par jour. « Il a aussi été démontré que la majorité des gens qui atteignent cet objectif ont un indice de masse corporelle se situant parmi les valeurs considérées normales. Cependant, les personnes obèses devraient viser entre 15 000 et 18 000 pas par jour pour obtenir un effet significatif sur la perte et/ou le maintien de poids », a souligné un porte-parole de l’organisme.

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Les bienfaits de l’alcool sur l’autonomie

Une étude menée par le Dr Arun S. Karlamangla, de l’école de médecine David Geffen de l’Université de la Californie à Los Angeles, nous apprend tous les bienfaits d’une consommation modérée d’alcool chez les personnes âgées de 50 ans et plus.

Selon lui, les participants à sa recherche sont 25 % moins à risque de perdre leur autonomie et peuvent ainsi vaquer à leurs activités quotidiennes comme la marche, s’habiller, manger et faire les courses.

Toutefois, les buveurs notoires et ceux qui s’abstiennent de consommer de l’alcool ne présentent pas les mêmes effets bénéfiques au niveau du maintien à domicile des personnes âgées.

Tous les détails de cette étude sont publiés sur le site Internet de l’American Journal of Epidemiology.

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Marcher calme les rages de chocolat

Selon des chercheurs de l’Université d’Exeter, une simple marche rapide de quinze minutes calmerait considérablement les envies de chocolat.

Les participants ont été répartis en deux groupes, le premier optant pour la marche, le second faisant une sieste. Il en résulte que les sujets actifs ont mentionné aux chercheurs que leur envie de consommer des chocolats avait considérablement baissé après l’exercice physique, comparativement à ceux qui avaient dormi.

Précédemment, il avait été reconnu que l’exercice physique aidait les gens avec des dépendances à la nicotine et à certaines drogues.