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Yoko Ono parle de la bisexualité de John Lennon

Questionnée par The Daily Beast concernant la bisexualité de Lennon, Yoko Ono dévoile que le chanteur avait des envies bisexuelles, mais qu’il n’a jamais tenté l’expérience.

«Je crois qu’il avait le désir, mais qu’il était trop inhibé pour agir», explique-t-elle.

«Non, pas inhibé. Il a dit : Ça ne me fait rien qu’un homme soit incroyablement attirant. C’est très difficile; il faudrait qu’il soit non seulement attirant physiquement, mais aussi très avancé mentalement. On ne trouve pas ce genre de gens», continue Ono.

Elle ajoute : «John et moi avions eu une grande discussion sur le sujet et nous avions déterminé que tout le monde devait être bisexuel. Que c’est la société qui fait qu’on pense ne pas l’être. Nous cachons donc ce côté de nous qui est moins accepté».

Dans un autre registre, Yoko Ono s’est dite craintive quant à Mark Chapman, l’assassin de Lennon. Elle se décrit comme étant encore prudente, qu’elle soit chez elle ou à l’extérieur.

Mark Chapman a abattu John Lennon de quatre balles en 1980. Bien qu’il ait obtenu une peine de prison à perpétuité, sa liberté conditionnelle est envisageable depuis 2000. Il se l’est vu refusée à huit reprises jusqu’à maintenant.

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John Lennon n’était pas visé personnellement

Le tueur de John Lennon, Mark Chapman, affirme qu’il ne visait pas nécessairement le chanteur des Beatles et qu’il l’a tué seulement parce qu’il était la personne la plus célèbre qu’il connaissait.

L’ancien membre des Beatles a été assassiné par balle à l’extérieur de son appartement de New York, en décembre 1980, par Mark Chapman.

Celui-ci affirme maintenant qu’il a tué Lennon seulement parce qu’il était la personne la plus célèbre qu’il connaissait.

Durant sa septième demande de libération conditionnelle, qui a encore une fois été rejetée, Chapman a confié qu’il avait commis ce crime « simplement parce que Lennon était la personne la plus célèbre que je connaissais ».

En parlant de la veuve de Lennon, Yoko Ono, Chapman a ajouté : « J’aimerais que Mme Lennon le sache. Je crois que ça pourrait aider de savoir que ce n’était pas de la colère. Ce n’était rien de personnel contre son mari, simplement en tant que personne célèbre. S’il avait été moins célèbre que trois ou quatre autres personnes sur la liste, il n’aurait pas été tué ».

Chapman, 57 ans, a alors révélé qu’il avait bel et bien une liste de six ou sept victimes potentielles, incluant Johnny Carson, Elizabeth Taylor et George C. Scott.

Rappelons que Mark Chapman a été condamné à la prison à vie, avec 20 ans ferme, et qu’après sept demandes de libération conditionnelle, il se trouve toujours derrière les barreaux.

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L’album signé par Lennon à son assassin sera vendu aux enchères

Le monde entier s’était levé éberlué le 9 décembre 1980, apprenant que la veille au soir, juste un peu 23 h, John Lennon s’était fait assassiné par un certain Mark Chapman devant le Dakota Building où l’artiste vivait avec Yoko Ono à New York.

Ce que l’on a appris un peu plus tard est que ce même Chapman s’était fait autographié, par Lennon lui-même, un exemplaire de l’album Double Fantasy que l’artiste venait de lancer avec sa femme 3 semaines auparavant, le 17 novembre.

C’est cet exemplaire funeste qui sera bientôt vendu aux enchères. Le disque avait été vendu une première fois en 1999 et voilà que, l’année même où Lennon aurait célébré son 70e anniversaire de naissance, il revient sur le marché des enchères.

Il semblerait que ce soit des menaces de mort reçues par l’actuel propriétaire qui l’aurait incité à s’en départir. Quel prix ce dernier demande-t-il pour cette pièce historique? Rien de moins que 850 000 $.

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Mark Chapman s’explique

L’assassin de John Lennon, Mark Chapman, a finalement révélé les raisons qui l’ont poussé à tuer l’ancien Beatle en 1981, rapporte Spinner.

Rappelons que Chapman, 55 ans, s’est vu refuser sa demande de libération conditionnelle pour la sixième fois la semaine dernière. Lors de son audience, il a révélé ce qui l’avait poussé à mettre fin aux jours de Lennon.

Chapman aurait déclaré : « Je ne pensais pas clairement. J’ai pris la décision horrible de mettre fin à la vie d’un autre être humain pour des raisons égoïstes. J’ai cru qu’en tuant John Lennon je deviendrais quelqu’un. Et au lieu de cela, je suis devenu un assassin et les assassins ne sont pas “quelqu’un” ».

Chapman affirme même que cet assassinat n’était pas dirigé directement vers Lennon, puisqu’il avait d’autres cibles possibles, incluant l’animateur Johnny Carson et l’actrice Elizabeth Taylor.

Chapman soutient maintenant être devenu une personne différente, et ce, grâce à Jésus. « Je le connais, il est avec moi, il est avec moi en ce moment, il m’aide à vous parler. Sans lui, je ne suis rien, j’aurais été encore moins que rien », affirme-t-il.

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Yoko Ono contre la libération de Mark Chapman

La veuve de John Lennon, Yoko Ono, a conseillé aux dirigeants de la prison de ne pas libérer le meurtrier Mark Chapman, insistant sur le fait qu’il allait être tué s’il était relâché, rapporte Starpulse.com.

Ono croit que Chapman pourrait être pourchassé et tué par les loyaux admirateurs de Lennon si jamais il était libéré de prison.

Elle a donc demandé aux officiers de ne pas accorder une libération conditionnelle à Chapman quand l’affaire sera entendue plus tard cette semaine.

La femme du défunt musicien déclare : « C’est dangereux qu’il sorte. Pas seulement pour nous, mais pour lui. Il y a tellement de gens qui le détestent. C’est plus sécuritaire pour lui de rester en prison. »

Rappelons que Chapman a assassiné John Lennon à l’extérieur de sa maison de New York en décembre 1980.