Que ce soit un pourboire de 1 100 $ dans un restaurant chic de Los Angeles ou un autre de 2 000 $ dans un club d’effeuilleuses, toutes les dépenses effectuées en 2007 par l’apprenti chanteur ont été scrutées à la loupe.
Le bilan financier de Kevin Federline, qui a été déposé en Cour le 3 avril dernier, fait état d’un train de vie princier.
« Cette mauvaise presse lui nuit. C’est une tentative de démontrer qu’il dépense outre mesure pour des biens non essentiels », a protesté Mark Vincent Kaplan, l’avocat qui représente Federline.
L’homme de loi croit que l’attention devrait être portée ailleurs que sur chacune des dépenses effectuées par son client. « N’accordez pas tant d’attention au montant déboursé pour ses vacances ou un repas au restaurant. Regardez plutôt les frais d’avocats qu’il doit payer. »
Selon Kaplan, seul le comportement irresponsable de Britney Spears peut expliquer la longue et coûteuse bataille juridique dans laquelle est plongé Kevin Federline.