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Cet entrepreneur de 26 ans nous dévoile le secret de son succès

À l’aube de son 5e anniversaire, l’agence Mac Média, une des seules agences québécoises à offrir des solutions numériques 360, sait nous en mettre plein la vue. Grâce à son fondateur, le multi-entrepreneur Anthony Gibault, âgé de 26 ans et papa de jumeaux, l’agence se fait de plus en plus voir dans les médias. Il faut dire qu’on est autant impressionné par l’entreprise que par l’humain derrière celle-ci, c’est pourquoi nous avons tenu à nous entretenir avec lui afin d’en apprendre davantage sur son parcours exceptionnel.

Comment tes parents ont-ils réagi lorsque tu as choisi d’abandonner l’école pour te lancer en affaires à 15 ans?

AG: Très bonne question… En fait, la vérité c’est qu’ils n’étaient pas d’accord au départ parce que j’avais la chance d’aller dans une école privée qui coûtait une certaine somme. Donc, lorsque je leur ai dit que je souhaitais sortir de mon parcours scolaire alors que j’avais de bonnes notes, ils ont doutés de moi. Par contre, après leur avoir prouvé ce que j’étais capable de faire dans mon travail, par exemple lorsque j’ai été nommé le premier vendeur au Canada de tous les Best Buy du pays pendant deux ans, je pense que ça a su les rassurer. En plus, je leur ai toujours dit que j’allais finir mon secondaire 5, et j’ai tenu ma parole. L’école conventionnelle n’était juste pas faite pour moi puisque je suis hyperactif et que je sentais que je pouvais apprendre plus vite de manière individuelle. Je me suis donc rendu à La Réussite, une école privée qui permet de finir ses études. La seule raison pour laquelle je n’ai pas mon diplôme papier, c’est parce qu’il me manque des crédits d’Éducation physique puisqu’ils n’offrent pas ces cours-là haha! Mes parents m’ont donc quand même bien accompagnés dans toutes ces décisions et je ne regrette absolument pas mon parcours. Je suis convaincu que tous les parents qui vont lire cette entrevue vont se dire « qu’est-ce que j’aurais fait si…» et je les comprends totalement.

Parlant de parents, comment arrives-tu à bien concilier entrepreneuriat et être papa de jumeaux?

AG: Honnêtement, ça va bien. J’attribue le temps nécessaire à ma famille. J’ai vraiment changé mon horaire… J’étais quelqu’un qui poussait très fort normalement pour être productif, par exemple je faisais mon rush de la journée entre 20h et 1h du matin. Évidemment, avec des jumeaux de 7 mois, il est impossible de faire ça. J’ai donc changé mon mindset, mais surtout mon horaire. Je me lève à 4h30 tous les jours pour passer au moins 2h avec mes enfants le matin avant de partir au travail. La seule façon pour moi d’y arriver ces temps-ci, c’est de TOUT mettre dans mon agenda. Les soupers entre amis, les moments avec ma mère, le temps alloué à mes enfants… Tout est bien inscrit dans mon agenda électronique. C’est un peu triste dit comme ça, mais c’est ma manière de bien concilier travail et famille. C’est très important d’être organisé puisque la vie va vite, très vite!

Pourquoi et à quel moment dans ta vie as-tu su que tu souhaitais devenir entrepreneur?

AG: Je pense que je l’ai toujours su. À la base, ma mère m’achetait des bonbons au Club Price, dorénavant Costco, et au lieu de les manger, je partais le week-end avec ma brouette et je les vendais au parc de mon secteur. J’avais à peine 10 ans quand j’ai commencé ça. Évidemment, je ne considère pas que ça fait partie de mon parcours entrepreneurial lorsque je dis que j’ai
commencé ma carrière à 15 ans, mais c’est pas mal là que je l’ai su. Aussi, il faut savoir que j’aime beaucoup parler, j’aime faire des connaissances, j’aime rencontrer des gens… Je l’ai donc toujours su et visualisé, mais je ne savais pas comment ça allait arriver. J’ai plongé initialement dans l’événementiel parce que c’est tout ce que je connaissais et de fil en aiguille j’ai commencé la gestion d’influenceurs, ensuite la conception de site web, l’immobilier, l’importation… C’est un peu comme ça que ça s’est fait naturellement en suivant mon profil de personne qui saisit toutes les opportunités. On est donc rendus là aujourd’hui, et j’ai bien hâte de voir ce que l’avenir nous réserve!

Comment as-tu fait pour que ton agence, Mac Média, se démarque des autres?

AG: En fait, on n’est pas qu’une agence marketing. On est une agence en numérisation d’entreprise, la seule dans la province de Québec à ma connaissance. On ne fait donc pas que du marketing, mais aussi de la stratégie web, commerce électronique, site web vitrine, expérience client, Campagne marketing numérique 360, implantation de CRM (Customer Relationship Management) sur mesure, etc. D’ailleurs, on a implanté le CRM il y a environ 3 ans pour structurer nos clients et continuer de grandir dans la vision de numériser les entreprises. Notre dernier bébé est dans cette même optique là, c’est notre nouveau département logiciel qui a environ 2 ans. Celui-ci permet d’automatiser toutes les opérations pour augmenter la performance des entreprises. Ce qui nous différencie des autres est donc qu’on est multidisciplinaire, un peu comme ta firme d’avocat, fiscaliste, comptable, mais spécialisé dans le numérique! On ne s’arrête pas juste à garrocher une pub sur Facebook, on fait tout le système autour qui permet de créer une vraie stratégie marketing viable pour une entreprise.

Qu’est-ce que tu dirais à toi plus jeune, au moment où tu as débuté toute cette belle aventure?

AG: « Fonce! » parce que je suis en train de réfléchir à tout ce que j’ai fait pour en arriver là où je suis aujourd’hui et oui il y a des choses que je suis capable de dire que j’éviterais ou que j’irais moins vite, mais la réalité c’est que je referais tout tel quel. Ce parcours là m’a amené à aujourd’hui. Il faut que tu fasses ta marque, tes expériences et tes erreurs pour être capable d’aller au prochain niveau. Je dirais au jeune moi « Fonce, fais exactement ce que tu ferais, saisis toutes les opportunités que tu reçois ». Y’en a pas une que je n’ai pas pris; j’ai même acheté un restaurant! C’était la pire erreur de ma vie, mais je le referais quand même pour l’expérience que ça m’a amené. Il faut se rappeler que tout est un apprentissage.

Et pour finir, nous avons quelques questions en rafale pour voir nos points en commun avec toi haha!

Comment débute-tu ta journée pour être le plus productif possible? Je vérifie mes courriels, après ça je peux me concentrer sur autre chose. Deuxième étape, jouer avec mes enfants.

Quelle est la musique qui te permet d’être dans le meilleur esprit pour travailler? En ce moment, j’écoute sur repeat « Baila Conmigo », le remix de Dayvi & Victor Cárdenas. Fun fact, on met cette chanson-là dans les bureaux le lundi matin et tout le monde sait que c’est l’heure du meeting de la semaine!

Café ou boisson énergisante? Les deux! Café avant 7h am et boisson énergisante entre 8h et 10h am. Mon médecin ne sera pas content!

Quelle est ta cryptomonnaie préférée? Le Bitcoin, c’est fiable.

Télétravail ou bureau? Bureau, j’aime le contact humain. En passant, on est en mode hybride à l’agence et on recrute en ce moment pour les intéressé.e.s!

Quel est ton cocktail de fin de journée favori? Un Old fashioned, toujours. J’ai même une machine qui m’en fait un au bureau!

Pour en connaître davantage sur l’agence Mac Média et son fondateur, on vous invite à visiter leur site web juste ici. Pour vérifier les postes disponibles en ce moment au sein de l’agence, vous pouvez visiter cette page-ci.

Vous pouvez aussi vous abonner au balado d’Anthony avec comme invités Anne-Marie Losique, François Lambert, Jessika Dénommée et plusieurs autres. Bonne écoute!

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Actualité

Las Vegas veut changer d’image

La formule «Ce qui se passe à Vegas reste à Vegas» ne serait bientôt plus de mise!

La Las Vegas Convention and Visitors Authority entend moderniser le slogan définissant Las Vegas depuis plus de 17 ans. En 2003, elle avait instauré ce slogan lors d’une campagne publicitaire télé de deux ans. La formule s’est rapidement imposée au point où aujourd’hui, elle ne sert plus bien les intérêts de la ville.

Au fil des ans, Las Vegas, aussi appelé Sin City, s’est fait connaitre pour être la ville du jeu, des spectacles, des mariages et des plaisirs pour adultes.

De nombreux films ont dépeint ce côté frivole de Las Vegas. 

Les plus connus sont certainement ceux de la série de films The Hangover, qui présentent des amis qui se rendent à Vegas pour l’enterrement de vie de garçon de l’un d’eux.

Aujourd’hui, Las Vegas désire montrer une image plus sage, plus mature.

Selon ce qu’a appris le réseau ABC, Las Vegas se servira de la popularité du gala des Grammy Awards ce week-end pour modifier son slogan publicitaire à heure de grande écoute.

Elle devrait dévoiler au téléspectateur une nouvelle formule adaptée : « Ce qui se passe ici ne se passe qu’ici ».

Photo : Cover Images

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Potins

Shea Weber : opération charme pour les Canadiens

S’il y a une nouvelle qui a fait exploser la toile et fait jaser tout au long de l’été, tous sujets confondus, c’est bien l’échange spectaculaire de P.K. Subban au Predators de Nashville.

Il est maintenant temps de regarder vers l’avant et de se concentrer sur le joueur obtenu en retour de Subban : Shea Weber.

Bien au fait de la situation, l’organisation du Canadien y va d’une opération charme depuis deux jours. Shea Weber est notamment présent au tournoi de golf annuel de Michel Therrien, où il se présente devant les journalistes pour la première fois.

Hier (8 août), Weber était présent sur la glace du complexe d’entraînement du CH, à Brossard. L’équipe avait organisé un événement de relations publiques et de marketing, visant à accueillir et familiariser Weber dans l’univers montréalais.

Bien entendu, les manœuvres de l’état-major du Canadien sont également pensées afin que les fans de l’équipe adoptent rapidement Shea Weber, qui est après tout considéré comme l’un des meilleurs défenseurs de la Ligue nationale de hockey.

La présence de Weber sur la glace a d’ailleurs été retransmise en direct lors d’un événement Facebook, et ce dernier s’est avéré extrêmement populaire. Les commentaires émis par les partisans se sont également avérés beaucoup plus positifs que lors de l’échange de Subban.

Pour terminer, Shea Weber propose le chandail porté lors de sa première présence sur la glace aux partisans lors d’un concours. Ces derniers courent la chance de gagner l’uniforme de Weber autographié par le défenseur par l’entremise du Club 1909.

Une nouvelle? : scoop@buminteractif.com

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Des termes trompeurs pour nous faire consommer de mauvais aliments

Une récente étude effectuée par les chercheurs de l’École de communication Jack J. Valenti à l’Université Houston (UH) au Texas démontre que certains mots associés à la santé nous poussent à consommer des aliments sans crainte.

Par exemple, indique Science World Report, les termes « antioxydant », « sans gluten », « santé » et autres sont utilisés sur des produits mauvais pour la santé, mais qui visent à diminuer l’impact négatif de son contenu.

« Dire que le 7-Up aux cerises contient des antioxydants est trompeur », affirme Temple Northup, le chercheur principal de l’étude. « Les firmes de marketing exploitent le désir des consommateurs à être plus en santé. »

Les consommateurs, ont-ils réalisé, considèrent les produits sur lesquels sont inscrits des termes reliés à la santé comme meilleurs que ceux sur lesquels rien n’est inscrit. Malheureusement, la Food and Drug Administration (FDA), qui requiert que l’on indique les valeurs nutritives sur l’emballage, n’intervient pas quant au faux marketing.

Northup espère que les gens se rendront compte d’eux-mêmes qu’un 7-Up aux cerises n’a rien de bon pour la santé.

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Les supermarchés sollicitent les enfants avec des produits caloriques aux caisses

Selon la Food Standards Agency, plus de 90 % des produits que l’on retrouve aux caisses sont extrêmement mauvais pour la santé et contiennent des niveaux élevés de gras, de sucre et de sel.

Les chercheurs de l’University School of Health and Relatade Research (ScHARR) ont récolté les données des chaînes de magasins Tesco, Sainsbury’s et Asda en 2012. L’étude a été menée 1 an après la signature d’une « entente de responsabilité » qui promettait d’encourager les gens à suivre une alimentation plus équilibrée.

Comme le rappelle Science World Report, l’obésité aux États-Unis est passée d’un problème de santé à une maladie en soi. Mais nous continuons à utiliser la publicité dirigée vers les enfants pour vendre des produits mauvais pour la santé.

« La caisse est une aire où tous doivent passer, alors étaler des aliments très caloriques qui suscitent un fort intérêt chez les enfants les expose inévitablement », explique le Dr Jason Horsley de la ScHARR. « Les enfants représentent un marché cible de choix pour les détaillants de friandises, et le budget dédié à la publicité dirigée vers les enfants a augmenté de façon exponentielle depuis les 3 dernières décennies. »

Les résultats de la recherche ont démontré que ce sont les enfants de 2 à 5 ans qui réussissent le plus à influencer leurs parents pour l’achat de friandises aux caisses.

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Concept de marketing social pour prévenir l’abus d’alcool chez les jeunes

On entend parler de jeunes qui sont transportés à l’hôpital après avoir consommé de l’alcool jusqu’à mettre leur vie en danger. Une nouvelle étude publiée dans le Health Education rapporte qu’il est probable qu’une stratégie de marketing social soit efficace pour prévenir de tels comportements.

Dans l’ouvrage intitulé Moderating teen drinking combining social marketing and education, on suggère d’informer les jeunes à partir de publicité sous forme de jeu éducatif interactif. Déjà testé auprès des 14-16 ans, le jeu Game On: Know Alcohol (GO:KA) a eu un certain succès.

Selon Medical News Today, le jeu vise la sensibilisation aux effets physiques et cognitifs et aux dangers associés à la consommation d’alcool. Divers tests, questionnaires et mises en situation sont proposés aux jeunes.

L’étude a démontré une réponse positive, surtout de la part des filles. Elles étaient plus réceptives et ouvertes à modifier leurs futures habitudes de consommation.

Sharyn Rundle-Thiele du Griffith Health Institute en Australie, coauteure du sondage, a commenté les résultats. « Les étudiants peuvent apprendre et avoir du plaisir en même temps! Les résultats de notre étude pilote démontrent que le jeu dans une perspective d’apprentissage sur les risques de l’alcool est une alternative qui peut changer les comportements. »

Jusqu’à présent, deux jeux et un questionnaire en ligne ont été développés par GAMEON.

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L’Angleterre veut protéger ses citoyens contre la tentation des supermarchés

Êtes-vous du genre à respecter votre régime et votre budget tout au long du processus d’achat au supermarché… jusqu’à ce que vous arriviez à la caisse?

Car, avouons-le, les grandes bannières de l’alimentation font tout pour nous tenter alors que l’on s’approche de la sortie grâce à des allées remplies de friandises, de chocolats, de gommes, de croustilles et d’autres sucreries.

Mais voilà, l’Angleterre veut réagir à cette pratique, pour ainsi protéger ses concitoyens de la tentation ultime.

C’est le Telegraph (G.-B.) qui rapporte cette nouvelle, alors que la ministre de la Santé britannique Anna Soubry annonce des mesures en la matière.

« Les allées de sortie des supermarchés peuvent être très difficiles pour les parents accompagnés de leurs jeunes enfants. Alors que nous devons tous prendre nos responsabilités concernant notre santé et celles de nos enfants, ça n’aide pas les choses de se faire présenter des friandises lorsqu’on attend en ligne », lance Mme Soubry.

Des propos difficiles à contester, et une mesure qui sera sans doute imitée ailleurs dans le monde si elle s’avère implantée en Angleterre!

Ecirc;tes-vous du genre à respecter votre régime et votre budget tout au long du processus d’achat au supermarché… jusqu’à ce que vous arriviez à la caisse?

Car, avouons-le, les grandes bannières de l’alimentation font tout pour nous tenter alors que l’on s’approche de la sortie grâce à des allées remplies de friandises, de chocolats, de gommes, de croustilles et d’autres sucreries.

Mais voilà, l’Angleterre veut réagir à cette pratique, pour ainsi protéger ses concitoyens de la tentation ultime.

C’est le Telegraph (G.-B.) qui rapporte cette nouvelle, alors que la ministre de la Santé britannique Anna Soubry annonce des mesures en la matière.

« Les allées de sortie des supermarchés peuvent être très difficiles pour les parents accompagnés de leurs jeunes enfants. Alors que nous devons tous prendre nos responsabilités concernant notre santé et celles de nos enfants, ça n’aide pas les choses de se faire présenter des friandises lorsqu’on attend en ligne », lance Mme Soubry.

Des propos difficiles à contester, et une mesure qui sera sans doute imitée ailleurs dans le monde si elle s’avère implantée en Angleterre!

Crédit photo : www.freedigitalphotos.net

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Manger sainement ne veut pas dire manger plus

The National Library of Medicine rapporte une constatation frappante qui ressort d’une étude en nutrition, effectuée par des chercheurs français du centre de recherches scientifiques.

L’étude fait état d’un phénomène remarqué chez plusieurs personnes qui décident de manger plus sainement, ces dernières croyant à tort que le fait de choisir des aliments santé permet d’en manger plus. Manger mieux, donc, mais manger plus n’est pas une bonne approche en alimentation, selon les spécialistes impliqués dans l’étude.

Car souvent, si les aliments choisis sont effectivement meilleurs pour la santé de l’organisme, ils ne sont que très rarement moins caloriques. La même prise de poids est donc à prévoir si on double les portions, un phénomène que semble ignorer une bonne partie de la population.

« Les gens croient que les aliments santé sont moins caloriques. Ils ont donc tendance à en consommer plus », résume le professeur Pierre Chandon.

La Dre Cliodhna Foley Nolan va plus dans sa réflexion, affirmant : « La nourriture est vendue comme étant plus santé pour une raison, parce que les producteurs croient, avec raison, que ces étiquettes vont nous influencer à acheter le produit et à en manger plus ».

Un mythe qu’il faut absolument renverser, s’accordent pour dire tous les spécialistes impliqués dans cette recherche.

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Coca-Cola mise sur Taylor Swift

La compagnie de boissons gazeuses bien connue, Cola-Cola, vient de choisir Taylor Swift comme prochaine porte-parole, rapporte Star Agora.

Le nouveau visage de Coke sera utilisé particulièrement pour la version diète du produit, une image qui colle bien à la jeune chanteuse pop.

La principale intéressée se dit très fière de cette entente, car en plus d’être très lucrative, il appert qu’elle est une fan finie de la fameuse boisson. Elle n’hésite pas à qualifier son Coke diète d’un des amours de sa vie, rien de moins.

C’est sur son compte YouTube que Taylor Swift a dévoilé la nouvelle. Elle tenait à l’annoncer elle-même, puisqu’elle est non seulement une fanatique du Coke diète, mais aussi des médias sociaux de tous genres.

Plus qu’une entente pour une simple publicité, celle-ci propose un partenariat complet avec la chanteuse. On devrait donc voir apparaitre beaucoup de logos de Coke autour de Swift lors de ses nombreuses apparitions publiques, ainsi qu’en concert.

Il s’agit d’une belle prise de la part de Coca-Cola, car Taylor Swift s’impose cette année comme la star numéro un dans le domaine de la musique.

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Des produits québécois en vedette aux Oscars et aux Grammy Awards

C’est toute une victoire pour une compagnie québécoise dont les produits jouiront très bientôt d’une visibilité sans précédent aux États-Unis.

Il s’agit de la gamme de produits ROUGE, des aliments raffinés de l’érable purement québécois. La qualité des contenants et contenus n’aura donc pas retenu uniquement l’attention des Canadiens de souche, mais aussi celle d’une importante compagnie de marketing américaine qui souhaite donner à ROUGE la visibilité qu’elle mérite chez nos voisins du sud.

Ceux-ci sont friands des produits de l’érable, comme bon nombre d’autres peuples à travers le monde, mais ne sont pas en mesure d’en créer d’aussi délicieux et en grand volume.

Le Québec arrive donc à la rescousse, et ces produits bien de chez nous pourraient trouver leur place dans l’estomac de certaines des plus grandes célébrités actuelles, puisque l’on confirme qu’ils seront présentés lors des soirées entourant les remises de prix Grammy et des Oscars.

« Ils nous ont contactés pour savoir si nous souhaitions inclure nos produits dans les sacs-cadeaux remis aux célébrités. C’était une occasion incroyable, et nous avons tout de suite accepté! » lance la cofondatrice de ROUGE, Julie De Blois, qui peine à masquer son euphorie.

C’est donc le 10 (Grammy Awards) et le 24 février (Oscars) prochain que nous saurons si ROUGE a su charmer l’élite hollywoodienne!