Le dragon Martin-Luc Archambault se retrouve dans l’eau chaude depuis hier avant-midi après qu’un dossier dans La Presse+ ait été publié illustrant la controverse au coeur de laquelle se retrouve présentement l’homme d’affaires. Celui qu’on a connu à travers sa participation à la dernière saison de l’émission Dans l’oeil du dragon et sa compagnie Wajam auraient créé un logiciel étant présenté comme un « moteur de recherche sociale », qui se voulait finalement être un « logiciel de publicités intempestives qui s’est introduit dans l’ordinateur de millions d’internautes dans le monde ». Une affaire à laquelle M. Archambault nierait toute participation.
Toujours selon le journal électronique, la compagnie aurait « enfreint de nombreuses dispositions de la Loi sur la protection des renseignements personnels et les documents électroniques ». Semblerait-il que l’entreprise « s’était même fait taper sur les doigts par le Commissariat à la protection de la vie privée du Canada il y a plus d’un an », pouvait-on lire dans Le Soleil quelques heures plus tard.
Ce logiciel aux méthodes immorales et illégales serait l’une des sources de la fortune du dragon, qui aurait d’ailleurs annoncé son départ à l’équipe d’ICI Radio-Canada Télé il y a deux semaines déjà, selon la même source.
On ne le verra donc pas dans un des sièges de l’émission le printemps prochain aux côtés de Caroline Néron, Christiane Germain, Dominique Brown et de différents dragons invités. Jusqu’à présent, aucun nom n’a encore été dévoilé comme remplaçant de M. Archambault.