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Les régimes « yo-yo » seraient mauvais pour le coeur

Ce qu’on appelle le phénomène des régimes « yo-yo » est défini par le fait de perdre du poids rapidement et de le reprendre tout aussi vite.

Ce processus serait néfaste pour le cœur, spécialement chez les femmes un peu plus âgées. C’est ce que rapporte www.nlm.nih.gov, qui parle d’une étude affirmant que ces femmes voient leurs chances de développer une maladie ou un problème cardiaque augmenter substantiellement.

Bien que le fait de perdre du poids soit une excellente chose pour la santé, c’est lors de la reprise de ces kilos perdus que le pire se produit. Non seulement ces personnes retrouvent tous les facteurs négatifs sur la santé d’avant, mais la reprise de poids les accentue.

C’est donc dire qu’elles seront en moins bonne santé après la reprise de poids qu’avant d’en perdre, théoriquement.

« Pour les femmes post-ménopausées qui considèrent une perte de poids, maintenir leur poids peut être tout aussi bénéfique que d’en perdre. Même une reprise partielle de la masse perdue peut mener à des risques accrus de diabète et de problèmes cardiovasculaires », explique l’auteur en chef de l’étude, Daniel Beavers.

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Le contrôle de soi des enfants lié à leur IMC

Plus précisément, retarder le plaisir volontairement en se contrôlant soi-même dès l’âge de quatre ans serait associé à un meilleur indice de masse corporelle (IMC) à l’âge de 30 ans.

Pour en venir à cette conclusion, les chercheurs ont donné, dans le cadre d’une expérience de résistance à la tentation, un biscuit à plusieurs enfants. Ils leur ont ensuite demandé d’attendre un certain moment avant de le manger, et ce, s’ils voulaient en avoir un autre.

De plus, les experts ont déclaré que les jeunes ayant résisté le plus longtemps s’assuraient une plus grande force pédagogique à l’adolescence, de meilleures compétences sociales et à une bonne capacité à gérer le stress, entre autres.

« Des interventions peuvent améliorer le contrôle de soi des jeunes enfants, qui peuvent réduire le risque de devenir obèse et peuvent avoir d’autres effets positifs sur d’autres aspects importants dans la société (la santé générale, la stabilité financière et les risques moins élevés d’être accusés d’un crime)», explique la PhD de l’University of Wisconsin School of Medicine and Public Health, Tanya R. Schlam.

Rappelons également que les enfants inscrits à des sports d’équipe ou à des programmes d’activités pourraient avoir un indice de masse corporelle (IMC) moins élevé durant leurs années d’école primaire.

Crédit photo : FreeDigitalPhotos.net

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Les sports d’équipe favorisent un bon indice de masse corporelle

 

Les enfants qui fréquentent la garderie ou sont en première année et qui font des sports d’équipe ou des activités en équipe auraient en fait un IMC de 0,05 unité de moins que leurs camarades qui n’en font pas.

Il s’agit des résultats d’une étude des chercheurs de la University of Southern California de Los Angeles publiée dans la revue Archives of Pediatrics & Adolescent Medecine.

De plus, les enfants inscrits en danse, en aérobie, en gymnastique et en arts martiaux à un jeune âge ont un IMC de 0,48 unité de moins à l’âge de 10 ans.

« La participation à des activités physiques peut être augmentée à travers l’amélioration de la disponibilité et de l’accès aux programmes récréatifs dans les parcs et autres établissements publics », écrit-on dans l’étude.

L’activité physique est également associée, naturellement, à des risques moins élevés d’obésité.

Rappelons que les sports d’équipes ne sont pas bénéfiques uniquement pour les enfants. Une étude démontre que les adolescents qui pratiquent des sports d’équipe sont plus épanouis dans leur vie personnelle et ont une meilleure évaluation de leur état de santé.

Crédit photo : FreeDigitalPhotos.net

 

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Prolonger son sommeil limite la prise de poids

Une étude faite avec 43 personnes qui dormaient moins de six heures, âgées de 18 à 64 ans, révèle que celles qui prolongent leurs heures de sommeil vont prendre moins de poids avec le temps.
 
En vieillissant, tout le monde prend quelques kilos. Toutefois, les personnes qui dormaient moins de six heures et qui prolongent leur sommeil jusqu’à 7 ou 8 heures vont prendre moins de poids que les personnes qui persistent à dormir peu.
 
On peut observer une différence moyenne de 2,4 kg sur six ans, seulement en changeant ses habitudes de sommeil, mentionne la recherche publiée dans l’International Journal of Obesity.
 
« On sait que lorsqu’on manque de sommeil, plusieurs hormones — comme le cortisol, l’hormone de stress par excellence — sont perturbées. Je pense que les gens qui ont de bonnes nuits de sommeil gèrent mieux ces hormones de stress, qui sont en lien avec la prise alimentaire. Donc, ils mangent moins. En dormant plus, les gens sont moins exposés à notre environnement obésogène », explique Jean-Philippe Chaput qui a dirigé les travaux.

Effectivement, on est moins porté à grignoter lorsqu’on dort, alors qu’il est facile de succomber à la tentation si l’on est encore éveillé en pleine nuit.

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Le traitement contre le cancer affecte la masse osseuse

Selon le Dr Fred Saad, de l’Université de Montréal, les personnes qui sont traitées contre les cancers du sein et de la prostate pourraient voir leur masse osseuse diminuer. Ce phénomène aurait pour conséquence de les rendre plus vulnérables à l’ostéoporose et aux fractures.

Ce sont les traitements avec les inhibiteurs d’aromatase, les bisphosphonates et l’hormonothérapie anti­androgénique qui occasionnent une perte de la masse osseuse, qui peut varier entre 5 à 45 %.

« Cette incidence de perte osseuse associée au cancer ne peut que susciter une prise de conscience chez les cliniciens qui se devront d’identifier les patients les plus sujets aux fractures et leur prescrire les traitements appropriés », a souligné le Dr Saad.