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Ces 9 femmes sont devenues maman dans la dernière année

Pour l’occasion de la fête des mères, nous avons choisi de rendre hommage à celles qui sont devenues mères dans la dernière année :

Le 22 décembre 2021, Rosalie Vaillancourt a donné naissance à sa fille Marguerite. Après la naissance de sa fille, Rosalie s’est offert un voyage en van en famille avant d’annoncer qu’elle serait de retour sur scène cet été, juste à temps pour le festival Juste pour rire.

Le 15 juin 2021, l’animatrice Valérie Roberts a donné naissance à sa fille Lucie. Rapidement après la naissance de sa fille, Valérie était de retour en ondes pour animer Debout les comiquesElle s’est également confié sur sa maternité et son rôle de maman.

En novembre 2021, l’ancienne candidate d’Occupation Double, Alanis Désilet, a présenté son garçon Méo. Rappelons qu’elle a choisi ce nom pour faire honneur au cinéma québécois. Récemment, Alanis a reçu de nombreuses critiques sur son rôle de maman. Elle a ressenti le besoin de mettre les choses au clair.

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En novembre dernier, l’animatrice et humoriste Katherine Levac et la réalisatrice Chloé Robichaud nous ont présenté leurs jumeaux, Ben et Mathias. Les deux femmes se sont fiancées cet hiver et nous avons pu voir des photos très touchantes des jumeaux plus tôt cette semaine.

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En mars dernier, la comédienne Eve Lemieux a dévoilé la naissance de son enfant. La comédienne est reconnue pour son rôle dans Fugueuse. 

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Le 17 février dernier, la chanteuse Stéphanie Bédard a donné naissance à sa fille Rémie. Elle s’était d’ailleurs ouverte à plusieurs reprises sur son souhait d’être maman et de fonder une famille.

C’est le 29 janvier que la chanteuse Alexe Gaudreau a accueilli Solan.

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Le 15 janvier, Lydiane St-Onge a donné naissance à sa fille. La globe-trotteuse demeure cependant discrète et nous ne connaissons pas le nom de sa fille. On peut cependant voir que la naissance n’a pas ralenti son rythme.

Il n’a malheureusement pas été possible de retracer la liste exhaustive des accouchements. Nous souhaitons une merveilleuse fête des mères à toutes les mamans!

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Art de vivre

Je n’ai pas aimé ma deuxième fille comme j’ai aimé la première

(CHRONIQUE)

Je suis une personne plutôt angoissée d’emblée. Je crois que devenir parent, à la base, est un créateur d’inquiétudes. Mes plus grands moments d’angoisse ont pris forme en même temps que le deuxième embryon dans mon ventre. Lorsque j’ai ressenti les premiers symptômes de la grossesse, que la réalité du petit bâton à 2 lignes m’ait frappée pour la seconde fois, c’est là que je me suis dit: « Ah non, mais qu’est-ce qu’on vient de faire là! »

La machine à angoisse venait de décoller à plein régime. Je boucanais de questions sans réponses. Je revoyais mon frère, papa avant moi, exprimer ses peurs face à la venue de son 2e enfant. Ça résonnait comme une crainte d’échouer : « on a réussi à 99% avec la première, on ne réussira pas avec le 2e ». Je me disais que c’était une crainte qui n’avait pas lieu d’être. L’arrivée d’un autre enfant ne pouvait qu’améliorer les choses. J’ai compris plus tard ce qu’il essayait de me dire…

Je désirais cet autre enfant plus que tout au monde. J’aime être enceinte et j’ai apprécié ma grossesse. Au fil du temps, lorsque je ne pouvais plus accomplir mes plaisirs quotidiens avec ma grande et que je croulais sous la fatigue et le poids de mon gros ventre, la culpabilité me reprenait. Je m’en voulais de négliger mon premier enfant pour faire grandir l’autre en moi. La fatigue accentuait mon ressentiment.

Crédit:Elyzabeth Gagnon photographe

Cet enfant-là, en moi, qui occupait mon corps et prenait mon énergie, je ne l’aimais pas vraiment. Je n’ai pas regretté sa conception non, mais je ne l’aimais pas vraiment. Je n’imaginais pas ma vie avec cet enfant comme je l’ai imaginé avec ma première. Chaque soir, au couché de notre grande, on se faisait un « câlin tout le monde » elle, papa et moi. Je n’arrivais pas à concevoir quelle serait notre routine quand j’aurais bébé au sein et que je manquerais le fameux « câlin tout le monde ».

Je craignais la réaction de ma fille. J’avais peur de la « gâcher » en lui imposant une petite sœur. Aujourd’hui, je sais bien que tout ça ne faisait aucun sens, mais à l’époque, c’est ce que je ressentais. Elle a réagi, cela va de soi. Elle qui a toujours été un petit moulin à parole, a cessé de parler pendant plusieurs jours, voir des semaines. Maintenant, sa meilleure amie, c’est sa petite sœur.

Crédit:Jens Johnson / Unsplash

À l’hôpital, j’ai pleuré. J’ai pleuré parce que ma grande me manquait. J’ai pleuré parce que je ne connaissais pas ce bébé qui venait de naître. Une infirmière m’a dit ces mots qui m’ont fait sentir beaucoup moins seule et moins honteuse : « Quand j’ai eu mon 2e fils, je me sentais exactement comme toi. Maintenant, il a 7 ans et je n’imaginerais pas ma vie sans lui. »

Est-ce qu’on aime le deuxième enfant autant que le premier? Oui, mais peut-être pas tout de suite.

Mon bébé, tu as changé ma vie, tu l’as rendue meilleure. Jamais je n’imaginerais ma vie sans toi.

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Art de vivre

Avoir des enfants rapprochés: mon constat 2 ans plus tard

Mon conjoint et moi avons un écart d’âge de 12 ans et, lorsque nous nous sommes rencontrés, il était déjà papa d’un petit garçon. Notre relation a évolué rapidement et nous avons eu notre fils, de 6 ans le cadet de son grand frère (demi-frère pour être exacte, mais chez nous, on préfère dire frère). Et puis SURPRISE! J’étais de nouveau enceinte de ma fille, qui s’est pointée le bout du nez 15 mois plus tard.  

Donc voici le topo à ce jour : un grand de 9 ans, un mini de 3 ans et une mini de bientôt 2 ans.

Je me fais souvent questionner à savoir si un court écart d’âge entre les enfants a été facile à gérer pour nous. Dans cet article, je vous livre donc un débriefing, 2 ans plus tard, de notre vécu familial, en espérant que notre expérience puisse aider à préparer un couple qui souhaite vivre une parentalité avec des enfants rapprochés en âge!

*N’oubliez pas qu’il s’agit de notre réalité, sur notre vécu familial et qu’il peut être tout à fait différent d’une famille à l’autre. Je vous invite à commenter pour nous offrir votre point de vue sur le sujet, qu’il soit différent ou similaire!*

Donc, si c’était à refaire, est-ce que j’envisagerais d’avoir des enfants rapprochés? Oui, absolument!

Et mon conjoint, lui? Pour être honnête… probablement pas aussi rapprochés!!! Notre aisance avec les enfants est différente, mon conjoint s’épanouit pleinement avec les cocos et de plus en plus lorsqu’ils grandissent et gagnent en assurance. Il a évidemment été présent et m’a énormément soutenu tout au long de la période du 0-1 an, mais croyez-moi, il était absolument hors de sa zone de confort!

Il a réellement commencé à prendre ses aises avec notre fils à ses 15 mois. La naissance de la cocotte m’obligeait évidemment à réorganiser mon temps, mais le changement s’est opéré principalement lorsque la vie nous y a obligés. À ses 3 semaines, notre fille a été hospitalisée 10 jours en soins intensifs pédiatriques : j’ai donc passé 10 jours à l’hôpital à ses côtés et, mon conjoint, 10 jours seul avec notre fils de 15 mois. J’étais morte d’inquiétude, pour ma fille évidemment, mais aussi pour mon conjoint qui devait gérer le train-train quotidien seul (les chiens, le travail, l’école, la garderie, les repas, le ménage, etc.). La beauté dans cette épreuve, c’est que mon conjoint a totalement assuré! Il a pris sa place auprès de notre 15 mois et je suis certaine que ces 10 jours ont eu un impact positif sur leur relation père/fils et sur la confiance de mon conjoint quant à son rôle de papa.

Mais, pour ma part, ce que j’ai trouvé le plus difficile durant les 4 dernières années, c’est l’obligation d’adaptation continuelle à laquelle nous avons fait face. Les périodes d’adaptation font partie de l’aventure de la parentalité, mais je crois qu’elles sont décuplées lorsqu’on a des enfants rapprochés en âge.

Je vous explique. Il y a…

L’adaptation à la 1re grossesse — toutes les aspirations, les inquiétudes, les maux, les trimestres, les craintes, l’accouchement, etc. qui bousculent le cours de notre existence.

L’adaptation à la maternité : devenir maman pour la première fois est un changement énorme, la vie fait un 360, c’est une période d’adaptation merveilleuse, mais également éprouvante. Puis, on prend ses marques et on avance de plus en plus avec assurance jusqu’à ce qu’on entre dans une nouvelle ère (allaitement, biberon, purée, DME, dodo changeant, bébé marche, bébé court partout, bébé te met au défi… Et ainsi de suite, pour… TOUJOURS!)

Eh oui, on réalise tranquillement l’ampleur que la parentalité prend avec le temps : je serai maman pour toute la vie et que je continuerai (je l’espère!) de suivre les phases de mes enfants avec intérêt tout au long de leur vie et de la mienne. Cela implique donc une ADAPTATION obligée pour le restant de ma vie!

L’adaptation du couple aussi : entre nos rôles d’amoureux, d’amants, d’amis et de parents, il y a également tout un monde. Le temps pour le couple est moindre, sans parler de mon corps, de mes envies et désirs qui avaient changé. Le tout combiné à notre charge de tâches quotidiennes qui n’allait pas en diminuant! Ouf! De mon point de vue, le couple est rudement mis à l’épreuve et, ironiquement, c’est une des choses que je trouve tellement magnifique dans la parentalité! Car traverser toutes les étapes, franchir nos seuils de tolérance, s’épauler et se soutenir dans toutes les circonstances nous a rendus plus proches que jamais (bien malgré la distance qu’un bébé peut créer dans un couple!)

L’adaptation de la fratrie : un petit bonhomme qui passait soudainement d’enfant unique à grand frère, c’est beau, mais ça passe évidemment par des hauts et des bas!  

L’adaptation dans notre vie sociale, qui englobe le temps consacré à nos loisirs, à nos amis et notre famille. Sans oublier les relations qui changent et évoluent selon différents facteurs comme le statut parental, les choix, la disponibilité, etc. de nos proches et de nous-mêmes.

Et puis, dans le cas d’une 2e grossesse rapprochée, toutes ces adaptations s’ajoutent à…

L’adaptation à la 2e grossesse, qui dans bien des cas, ne sera absolument pas identique à la première. Le tout en gérant son bébé de 6 mois qui poursuit son développement.

L’adaptation au nouveau bébé et à tous les aspects de la maternité qui reviennent (allaitement, début de l’alimentation, le sommeil, etc.).

L’adaptation de la fratrie qui revient et qui diffère, parce qu’à 15 mois, le nouveau grand frère ne comprend absolument pas pourquoi maman a un autre bébé dans les bras! Il doit apprendre à laisser de la place à sa nouvelle petite sœur, le tout en affrontant l’arrivée hâtive du terrible two!

Et je pourrais continuer à énumérer les adaptations obligatoires qui ont traversé notre chemin depuis, mais je pense que vous avez compris l’idée!

Ahh et pourquoi pas! Encore quelques-unes : l’adaptation aux couches lavables, à la propreté, aux débuts à la garderie, au retour au travail, des chiens et du chat, dans l’avancement de nos projets et j’en passe… ! Vous le voyez bien maintenant, le portrait que j’essaie de dresser?

Eh oui, je suis d’accord, l’adaptation fait évidemment partie de la vie de tous : la roue tourne et on est continuellement confrontés à de nouveaux défis. Mais, de ma jeune expérience, je me permets de constater qu’avant les enfants, je m’adaptais à une situation et je vivais ainsi pour un bout de temps avant d’en arriver à un nouveau changement. Mais depuis les enfants, c’est une avalanche de changements qui nous ensevelit! Et avec l’arrivée d’un 2e bébé rapproché, l’avalanche ne s’arrête pas : dès qu’on s’assied dans une zone de confort, une nouvelle étape arrive et on se remet à s’adapter, encore et encore! J’ose croire qu’en ayant des enfants avec un écart d’âge plus grand, même si les parents vivent fort probablement le même lot d’adaptations, ils ont un peu plus de temps pour profiter de chaque étape! 

À l’aube des 2 ans de ma fille, je constate que l’avalanche s’essouffle tranquillement, les changements s’opèrent moins rapidement et on s’installe dans des zones de confort de plus en plus durables. Ça fait du bien! Les activités que nous pouvons faire en famille sont de plus en plus nombreuses et surtout, de plus en plus simples à organiser. Je n’ai plus constamment un bébé dans les bras et j’arrive à prendre plus de temps pour moi, pour mon couple, pour mes amis et ma famille.

Malgré l’avalanche, il y a eu tellement de beau, et l’étape que nous entamons avec mon 3 ans et ma 2 ans me ravit. Tout près de la fin des couches, mes 2 cocos qui s’expriment bien, qui dorment leur nuit, qui jouent de façon autonome ensemble, etc.   En comparant ma situation à celle de mes amies qui replongent dans la maternité après 2 ans ou 3 ans et qui recommencent toutes les étapes, alors que pour nous plusieurs sont franchies et terminées, je suis convaincue que cette avenue était la bonne pour nous.

Comprenez-moi bien, je ne remets pas du tout en question leur choix! Je suis absolument heureuse pour elles et je suis certaine qu’elles sont tout à fait satisfaites de leur situation familiale. Mais de prendre le temps de comparer leur situation à la mienne me permet de réitérer ma position : Oui, je suis heureuse et reconnaissance envers la vie d’avoir eu mes 2 enfants rapprochés. Mon conjoint et moi aimons quand les choses bougent et évoluent rapidement, nous avons mille et un projets et un n’attend pas l’autre! Alors, j’imagine que pour nous, l’avalanche était simplement la continuité naturelle de notre vie! 

Est-ce que je considère que le chemin a été de tout repos? Évidemment que non. Mais je suis certaine qu’un chemin différent, qu’il soit avec des enfants ayant un plus grand écart d’âge, avec des jumeaux ou autre, apporte tout autant son lot d’épreuves. Chaque chemin a ses particularités (ses défis et ses avantages) et chaque chemin est unique et beau! Chérissez le vôtre!

Et si vous tentez de déterminer lequel est le mieux pour votre famille en devenir, sachez qu’avec du recul, peu importe votre choix ou le choix que la vie vous imposera, ce sera le bon pour vous! 

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Art de vivre

Mon début de grossesse en temps de pandémie

(CHRONIQUE)

Il est cinq heures et demie le matin. Il y a quelques jours à peine, les rayons du soleil commençaient à éclairer ma chambre à cette heure hâtive. Or, en ce début de mois d’octobre, il fait encore noir comme l’ébène. Seule la veilleuse de ma fille, blottie contre moi, me permet de voir qu’elle dort encore profondément.

Moi, je suis bien réveillée. En me couchant hier soir, j’avais hâte de me réveiller. Même si le test acheté au Dollarama que j’avais fait il y a deux jours était négatif, un doute (ou était-ce l’espoir?) avait persisté. Je l’avais pourtant regardé de tous les angles possibles, sous la lumière sévère de ma salle de bain. La deuxième ligne n’était pas apparue. Je n’étais pas surprise, je ne m’attendais pas à en voir une non plus. À peine deux cycles, espacés de plus de quarante jours, avaient frappé mon corps depuis mon petit deuxième. Je n’avais alors aucune idée de ma date d’ovulation.

Le lendemain, en me rendant à la pharmacie pour acheter des suces (comment font-elles pour disparaître si rapidement et définitivement dans mon petit appartement?), je n’ai pas pu m’empêcher d’acheter un Clearblue digital. Ce test-là, il ne ment pas. Lire les mots « Pas enceinte », ça ne laisse pas de doute, juste un petit goût amer.

Je me lève donc à pas feutrés et j’exécute les quelques enjambées qui me mènent à la salle de bain. Je fais le test sans attendre. D’habitude, ça prend une bonne minute ou deux pour apparaître, donc je dépose le test en me faisant croire que je ne vais pas le fixer anxieusement jusqu’à ce que la vérité s’expose à moi.

Ça n’a pris que quelques secondes. Dix, peut-être douze, je n’ai pas eu le temps de compter.

« Enceinte »

QUOI? Je vois des points noirs. Je suis surprise comme jamais je ne l’ai été aux tests positifs de mes grossesses précédentes. Je pensais que je m’étais fait des idées, que les petits maux de cœur matinaux que j’avais vécus les derniers jours étaient tout droit sortis de mon imagination. Je m’assois sur le couvercle de la toilette. « Je suis enceinte », que je me répète.

Cette nouvelle chamboule mon quotidien pas mal plus que lors de mes grossesses antérieures. Cette fois, il y a une PANDÉMIE. Je serai en retrait préventif. En conséquence, tous mes collègues apprendront immédiatement ma grossesse. Je ne verrai plus mes élèves. Je ferai encore plus attention lors de mes sorties obligées. Je demanderai à mon chum qui travaille à l’urgence d’un hôpital de recommencer à prendre sa douche immédiatement en arrivant de la job. En plus, si tout va bien, c’est ma dernière grossesse, c’est ça le plan. Ouf, je suis étourdie. Ça fait beaucoup d’informations pour mon petit cœur. Je ne pensais pas que cette grossesse arriverait aussi rapidement!

Je respire, je souris.

Je suis vraiment contente.

Je suis vraiment chanceuse de vivre ça.

Ce sera une grossesse particulière, c’est certain. Il faudra que j’accepte, encore un peu plus, de ne pas tout contrôler (ce n’est pas ma force).  Sauf que je sais que ce sera beau. Surtout, dans quelques mois, je rencontrerai un nouvel humain. Et je vais l’aimer.

Je l’aime déjà.

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Art de vivre

Retour au travail et sentiments partagés

(CHRONIQUE)

Cet article est probablement comme mille autres articles qui ont été écrits. Je ne vais pas révolutionner le monde de la maternité aujourd’hui. Sauf que chaque fois que je lis un article qui exprime un sentiment que je ressens, ça me fait du bien, donc voilà. Mes enfants sont retournés à la garderie. C’est juste ça.

Un mélange d’émotions m’envahit. J’ai été 14 mois à la maison avec mon plus jeune. Ma grande, qui déjà n’allait à la garderie que 3 jours par semaine (son désir à elle), nous a joints à temps plein pendant le confinement.

Même si être maman à temps plein est, selon moi, un travail parmi les plus épuisants physiquement et mentalement (je suis prof et je suis plus épuisée quand je suis maman à la maison qu’à l’école à temps plein, ce n’est pas peu dire), j’étais bien. Vraiment, vraiment bien. Je me sentais à ma place, avec mes enfants. Par moments, ça m’a fait remettre en question des grandes décisions de la vie.

Est-ce que je veux retourner au travail juste parce que c’est la chose « normale » et « commune » à faire?

Est-ce que je veux retourner au travail juste parce que je suis très féministe et que je veux, inconsciemment, être une femme qui accomplit et réussit tout?

Crédit:Zubeyda Ismailova/Reshot

J’ai réfléchi longuement, tout en restant dans l’indécision. Au bout du compte, plus la date de mon retour au travail approchait, plus une partie de moi était heureuse de retourner dans le monde de l’enseignement au secondaire. J’avais envie de retrouver mes collègues, mes élèves, mon environnement professionnel.

En même temps, je n’avais pas envie de laisser mes enfants toute la semaine à la garderie. J’aurais aimé retourner travailler 4 jours par semaine. Ce serait peut-être possible, d’ailleurs! Une petite voix en moi me disait que j’avais besoin du sentiment d’accomplissement professionnel que mon travail me procure. J’ai besoin d’avoir autre chose que mes enfants dans ma vie, même s’ils en sont évidemment une immense part (la plus grande).

Finalement, je suis retournée travailler avec l’esprit et le coeur en paix. Le fait que j’adore la garderie en milieu familial que mes enfants fréquentent aide beaucoup.

Or, les premières journées de la rentrée sont des pédagogiques. J’étais donc à mon bureau toute la journée et je pensais souvent à mon garçon qui vivait une adaptation à la garderie, un monde complètement nouveau pour lui. Lui et ma fille me manquaient. Les questions sont revenues. Je me demandais si j’étais à ma place.

Puis, les jours ont passé. Chaque jour que mon garçon passait à la garderie était mieux que le précédent. Les enfants étaient heureux à leur retour, le soir. Ça m’a beaucoup rassurée.

Enfin, j’ai rencontré mes nouveaux élèves. J’ai enseigné. Ma passion s’est enflammée, comme si elle s’était un peu dissipée quand j’étais en congé de maternité, seulement pour revenir en force à mon retour.

Maintenant, 2 semaines après la rentrée, je me sens sur mon x. Je profite de chaque moment passé en famille, mais aussi de mes beaux moments d’enseignement.

Je suis aussi heureuse d’avoir un travail avec un horaire family friendly qui me permet d’être à la maison quand mes enfants le sont.

Comment avez-vous vécu votre retour au travail après votre congé parental?

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Potins

Natasha St-Pier, maman comblée

Natasha St-Pier a publié sur Facebook un vibrant message d’amour à son bébé.

La star de 35 ans est devenue maman il y a 10 mois. Elle l’avoue, la venue de son garçon a bouleversé sa vie : « Quel changement de vie ! Une bouffée d’amour énorme et tant d’habitudes à changer. J’ai suivi ce petit amour partout, on a vécu des moments de grands stress et des bonheurs tout aussi fort quand son coeur fut réparé », rappelant au passage les ennuis de santé dont a souffert le nouveau-né dès sa naissance.

Malgré le bonheur qui l’habite, Natasha St-Pier vit aussi les désagréments qui accompagnent la maternité : « Mais comme toutes les mamans, y a des soirs où j’aimerais avoir du temps pour moi sans être épuisée. Y a des jours où je me disais que j’aurais bien fait un week-end de ma "vie d’avant". Petit Resto, ciné, manucure, moment avec mon mari sans bailler dès 21h… »

Malgré cette fatigue que ressent la maman qui a allaité son garçon jusqu’à 9 mois et demi, elle ne reviendrait plus à son ancienne vie : « J’écris ce post pour toutes les petites mamans fatiguées, j’ai testé et ma vie de maintenant même si elle est plus demandante est tellement mieux. »

Bixente Maxime, le fils de Natasha St-Pier fera maintenant partie de tous les aspects de la vie de la chanteuse. Le petit bonhomme devra bientôt boucler ses valises : « maintenant maman va t’emmener avec elle en avion partout quand elle part plus de 2 jours », conclut la mère épanouie.

Une nouvelle? : scoop@buminteractif.com

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Photo : Facebook 

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Potins

Drew Barrymore: Les hauts et les bas de la maternité

Drew Barrymore fait partie de la longue liste de mères ayant eu de la misère à trouver la recette de la parfaite maman. Se confiant au magazine People, Barrymore avoue avoir souffert d’une dépression après la naissance de sa deuxième fille, aujourd’hui âgée de 17 mois.  

«Je n’ai pas été dépressive après la naissance de ma première fille, donc je ne comprenais pas ce que c’était, je me sentais bien!», explique-t-elle. 

«La seconde fois, je me suis dit : Whoa, là je vois de quoi les gens parlent, je comprends. C’était accablant. J’étais prise dans un nuage gris», dit-elle. 

Elle parle aussi de comment la pression d’être parfaite lui a nuit alors qu’elle craignait qu’on ne juge sa façon d’agir avec les petites. Certains ont même insinué qu’elle devait avoir honte en pensant que ses filles connaîtront un jour le passé tumultueux de leur mère. Sa solution : écrire un livre honnête dans lequel elle explique son parcours afin que ses filles comprennent mieux les difficultés qui l’ont mené à faire les choix qu’elle a faits. 

En pause depuis sa dernière grossesse, le dernier film de Drew Barrymore a été Famille recomposée, une comédie romantique américaine réalisée par Frank Coraci, sortie en 2014.

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Potins

Emily Blunt bègue pendant sa grossesse

Emily Blunt était atteinte de bégaiements dans sa jeunesse. S’étant défaite de ce trouble de la parole en vieillissant, l’actrice a été surprise de le voir soudainement revenir pendant sa grossesse.

Alors qu’elle avait 12 ans, un enseignant lui a demandé de jouer un personnage avec une voix différente, un accent du nord. C’est ainsi que son bégaiement a disparu.

Elle raconte à Radio Times: «Le problème avait disparu en vieillissant, mais étrangement, il est réapparu de façon évidente quand je suis devenue enceinte. C’était intéressant.»

Maintenant maman de la petite Hazel, 20 mois, qu’elle a eu avec l’acteur John Krasinski, l’actrice britannique décrit à quel point la maternité a changé sa vie. 

«Ça vous change infiniment et incroyablement. La meilleure façon dont je peux le décrire est comme si je me retrouvais constamment avec une adorable distraction. C’est omniprésent et j’adore ce sentiment», dit-elle.

Emily Blunt, qui a récemment obtenu sa citoyenneté américaine, s’est mariée avec l’acteur John Krasinski après un an de vie commune, le 10 juillet 2010, en Italie. La petite Hazel est née le 16 février 2014.

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Sandra Bullock à nouveau maman?

Selon ce que rapporte Entertainment Tonight, Sandra Bullock aurait été vue à quelques reprises avec un nouveau bébé.

Les rumeurs veulent que l’actrice de 51 ans ait adopté une petite sœur pour son fils Louis, 5 ans, lui-même adopté en 2010. La principale intéressée n’a toujours rien confirmé, mais une  source aurait confié à RadarOnline que son nouveau conjoint, Bryan Randall, serait d’un grand support pour elle.

«Sandra a été très claire avec Bryan dès le début qu’elle cherchait un mari avec qui élever des enfants. Les papiers d’adoptions étaient prêts, mais elle attendait de pouvoir le faire avec lui. Bryan l’appuie à merveille, se montre aimant et est vraiment une belle figure paternelle», affirme-t-elle.

Cette déclaration pourrait paraître surprenante alors que nous apprenions récemment que le passé de Randall est loin d’être rassurant. En effet, le photographe de 49 ans serait un drogué abstinent et aurait abandonné sa fille avec son ex-financée, qui était une héroïnomane.

Néanmoins, Bullock semble indifférente au passé de son amoureux et compte sur lui pour l’aider à élever ses enfants, ce qu’il ferait jusqu’à maintenant avec brio.

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Naya Rivera et Ryan Dorsey sont parents

Mariés depuis juillet 2014, l’actrice et chanteuse Naya Rivera et l’acteur Ryan Dorsey sont parents pour la première fois. Selon ce que de multiples sources ont confirmé au US Weekly, le couple aurait accueilli un petit garçon il y a quelques semaines. 

Selon un proche du couple, Rivera serait une mère née et n’aurait aucun problème à s’adapter à son nouveau rôle. Quant à Dorsey,  il serait aux petits oignons pour son fils et sa femme.

Le célèbre couple avait annoncé la nouvelle en avril dernier via Instagram. Depuis, ils gardaient leurs fans informés de chaque étape de la grossesse. Rivera était particulièrement heureuse d’atteindre le second trimestre, alors qu’elle pouvait vraiment partager son expérience avec son mari.

«Il y a quelque chose qui se passe au second trimestre qui vaut vraiment la peine : Les premiers coups du bébé. Je n’oublierai jamais la première fois que Ryan a senti les coups de pied du bébé. C’est vraiment un de ces précieux souvenirs dont je me souviendrai toujours», avait-elle écrit à ses fans.