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L’anxiété de la première grossesse

Alors que la dépression post-partum est bien connue, l’anxiété à la suite de la naissance d’un premier enfant serait encore plus propagée.

C’est ce que révèle une récente étude australienne publiée dans le Journal of Affective Disorders.

En évaluant 172 couples ayant différents historiques et vivant tant en ville qu’en régions, les chercheurs sont arrivés à la conclusion que ce n’est pas moins du tiers des nouvelles mamans qui souffriraient de symptômes d’anxiété après la naissance de leur premier enfant. Les nouveaux pères n’en sont pas non plus à l’abri, alors que plus de 17 % d’entre eux en souffriraient aussi.

La Dre Karen Wynter de l’unité de recherche à la Monash University explique que le taux d’anxiété découvert était beaucoup plus haut que précédemment supposé.

« La plupart des gens croient que la dépression post-partum est le mal le plus répandu pour les nouveaux parents, mais nous savons maintenant qu’elle n’est pas même près d’être aussi commune que l’anxiété », dit-elle.

Elle fait aussi la lumière sur le besoin réel pour les nouveaux parents d’être ouverts l’un envers l’autre sur leur état d’esprit afin de déceler les signes d’anxiété, ainsi que d’avoir accès à des professionnels de la santé pour les aider à mieux se préparer à l’arrivée de bébé, particulièrement s’il s’agit du premier. 

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2 femmes sur 3 croient que la maternité met en péril leur carrière

Le site MaternityCover.com est situé au Royaume-Uni, où les femmes ont droit à 26 semaines de congé de maternité. Il sert d’intermédiaire entre la femme enceinte et son employeur, et vise à trouver un remplacement temporaire pendant le congé de maternité.

Le sondage qu’ils ont fait, rapporte Paul Jenkins, chef de direction de l’entreprise, a cependant donné des résultats inquiétants. Sur 1300 femmes interrogées, 66 % considèrent que la maternité a compromis leur carrière.

Les femmes vont même jusqu’à cacher leur grossesse à leur employeur pendant un certain temps, surtout si elles sont sur le point d’avoir une promotion. « Les femmes sont confrontées à de nombreux tabous lorsqu’il s’agit de conjuguer famille et carrière », a noté Jenkins.

Le gestionnaire poursuit : « Nous voulions connaître la vérité. Savoir de quelle façon les femmes s’en sortent en pratique et non en théorie, et quel est l’impact financier ». Plus des deux tiers des femmes ayant eu des enfants affirment que leur revenu a été revu à la baisse.

Les données les plus déprimantes, cependant, concernent le retour prématuré au travail. Plus de la moitié des femmes sont revenues plus tôt au travail parce qu’elles n’arrivaient plus à joindre les deux bouts.

Il y a donc encore du chemin à parcourir pour donner la chance aux mères de prendre le temps nécessaire avant de revenir au travail.

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Les bonnes habitudes alimentaires conditionnées dès la maternité?

Une étude brésilienne montre qu’en évitant le stress aux nourrissons (dans l’étude il était question de bébés rats), les sujets se tournaient moins vers des aliments très gras et sucrés pour se rassurer plus tard dans la vie.

Il n’est pas rare de se réfugier vers l’alimentation pour se rassurer en cas de stress émotionnel, et dans ce cas, on opte le plus souvent pour des aliments sucrés et caloriques, et non pas des fruits et légumes.

Il semblerait que ce ne soit pas qu’une réponse psychologique, car des scientifiques ont découvert que le stress chronique à l’âge adulte pouvait aussi déclencher des réponses hormonales et pousser les gens (surtout les femmes) à la malbouffe, juste pour compenser.

Pour mener leurs recherches, des chercheurs de l’Universidade Federal do Rio Grande do Sol ont exposé une portée de bébés rats à une nidification réduite, ce qui correspond une forte dose de stress alors qu’ils venaient de naître.

Ils ont ensuite mesuré leur anxiété comportementale et leurs réactions au stress à l’âge adulte, ainsi que leur consommation d’aliments très gras et sucrés sur une durée de quatre jours.

Leurs résultats ont montré que le fait d’exposer les rongeurs au stress dès leur plus jeune âge avait un impact mesurable sur leur vie adulte, car il augmentait leur réponse hormonale au stress sous la forme de pics de corticostérone, et entraînait un penchant pour les aliments très caloriques.

Les chercheurs ont commenté ces conclusions en expliquant qu’elles pourraient avoir des implications sur la nutrition au tout début de la vie, surtout chez les nouveau-nés arrivés au monde dans des conditions stressantes, atteints d’une maladie ou en sous-poids à la naissance.

Cette étude a été présentée lors du congrès annuel de la Society for the Study of Ingestive Behavior de La Nouvelle-Orléans la semaine dernière.

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Grossesse et sida : une possibilité

Concevoir alors qu’on est séropositive? Oui, c’est possible. De nos jours, avec les avancées médicales, les traitements et la procréation médicalement assistée, les chances d’infecter le futur bébé sont infimes.

Une étude de l’INSERM en 2012 a démontré que le taux de transmission maman-bébé était très bas et diminuait encore plus lorsque la mère était prise en charge avant de devenir enceinte.

Si c’est l’homme qui est atteint, il faut que les docteurs isolent une fraction de son sperme qui ne présente pas le virus. Ensuite, ils feront une fécondation in vitro (FIV) ou une insémination intra-utérine.

Si c’est la femme qui est atteinte, une auto-insémination dans l’intimité est tout à fait possible. En début de grossesse, un test pour confirmer la présence du virus sera proposé. Ensuite, la prise en charge sera entreprise. Le but sera de trouver une charge virale indétectable quand le moment sera venu d’accoucher.

Si la femme est traitée à temps et qu’elle a bien suivi les procédures, les risques de transmission passent de 20 % à environ 1 à 2 % seulement. L’accouchement naturel devient aussi possible plutôt que d’opter pour une césarienne.

À l’âge de 2 mois, un test de dépistage sanguin sera mené sur le bébé afin de déterminer la quantité du virus retrouvée dans son sang. Les chances sont donc très bonnes que bébé soit en pleine santé!

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Techno : Un biberon qui réchauffe le lait

Le DailyMail.co.uk nous parle d’un Britannique, sensible au désespoir de sa femme face à certains problèmes liés au boire de leur nourrisson, qui s’est vu inspiré à créer le Yoomi.

Le Yoomi est une bouteille munie d’un « chauffe-lait » interne. Ce qui est fort intéressant, c’est que seul le lait consommé par bébé est réchauffé, le reste demeure donc frais.

Lors de la tétée, le lait passe à travers un réseau de rainures sur le côté extérieur du réchauffeur. Lorsqu’il atteint la tétine, sa température est d’exactement 32 degrés Celsius, soit précisément celle du lait maternel lorsqu’il sort du sein.

Jim Shaihk a créé cette petite merveille à l’aide du même type de gel utilisé dans les gants chauffants utilisés par les sportifs en hiver. Après utilisation, la bouteille doit être « rechargée » en la mettant 25 minutes dans un stérilisateur à vapeur.

Malgré ses 15 000 exemplaires vendus chaque année au Royaume-Uni seulement, certaines blogueuses se sont montrées plutôt froides à l’idée en calculant qu’étant donné que la bouteille n’est rechargeable que 150 fois, il faudrait dépenser environ 32 £ par mois (50 $).

D’autre part, plusieurs mères se disent ravies de sauver le temps nécessaire pour chauffer le lait en jonglant avec bébé et d’autres tâches. Voilà qu’il s’agirait d’un charmant cadeau pour les nouvelles mamans!

Voyez vous-même le Yoomi en cliquant ici (anglais seulement).

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L’huile de poisson pour une saine grossesse

Selon une étude menée à l’University of Western Australia, l’huile de poisson pourrait aider à limiter les effets de plusieurs difficultés rencontrées lors des grossesses.

Les résultats ont été publiés dans l’édition du mois d’août du Journal of Lipid Research.

Parmi ces complications, on retrouve le diabète gestationnel, la prééclampsie ou hypertension artérielle gravidique (HTA) et les fausses couches. De plus, elle aiderait la croissance du fœtus.

Alors qu’il était déjà su que cette huile jouait un rôle positif sur le développement cérébral des fœtus, il est maintenant suggéré qu’il en ferait autant en améliorant les fonctions du placenta.

« Plusieurs personnes ont déjà entendu que l’huile de poisson est bonne pour elles, mais nous ne connaissons toujours pas son mécanisme », dit l’auteure principale de la recherche, Megan Jones.

« Les acides gras retrouvés dans les oméga-3 du poisson limitent les inflammations. Et il est depuis tout récemment su qu’ils le font en étant convertis en résolvines, qui réduisent l’inflammation après qu’elle ait eu lieu », continue-t-elle.

Comme les seules études ayant été faites jusqu’à maintenant avaient pour sujets des rats, Jones mentionne qu’il est encore nécessaire d’attendre que d’autres soient pratiquées sur des humains afin de confirmer les données et d’en explorer les effets plus en profondeur.

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Remède maison pour vergetures

Accouchement veut souvent aussi dire vergetures. Selon Wikipédia, ce serait de 75 à 90 % des femmes enceintes qui développent des vergetures. Se sentant souvent gênées de les exposer, elles explorent parfois les différentes techniques pour retrouver leur peau pré-maternité.

Selon Ihomeremedy.net, certains produits pouvant être trouvés en pharmacie ou en boutiques spécialisées, sans faire de miracles, ont fait leurs preuves. Voici les principaux.

L’acide glycolique est souvent l’ingrédient principal de bien des crèmes et pommades anticellulite. Ses vertus ont été démontrées par une étude sur le sujet, et il aiderait vraiment à réduire l’apparence des vergetures en améliorant la production naturelle de collagène.

Pour sa part, le beurre de cacao serait le plus efficace. Contenant des matières hautement hydratantes, il est considéré comme un correcteur naturel de cicatrices. Il est conseillé de masser les parties atteintes une fois nettoyées et séchées pendant 1 minute, 2 fois par jour. Naturellement, les résultats varieront selon la gravité des marques.

Également pour leurs propriétés hydratantes, les huiles essentielles comme celles de lavande, jasmin, camomille et l’huile d’olive vierge seraient bien appréciées. Même chose pour les huiles de vitamine E et C. Ces dernières seraient d’ailleurs particulièrement efficaces pour les femmes enceintes.

Finalement, le gel d’aloe vera, qui contient des propriétés anti-inflammatoires élevées, serait fort efficace. Certaines études ont souligné son impact positif sur les vergetures.

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Pourquoi bébé n’a-t-il pas peur des hauteurs?

Ce n’est pas avant l’âge d’environ 9 mois qu’un bébé commencera à comprendre le danger de se « lancer » dans le vide.

Par exemple, il saisira qu’il ne faut pas rouler en bas de la table à langer ou qu’il ne doit pas aller dans les marches. Avant cet âge, les petits sont de véritables casse-cou!

Selon une nouvelle étude publiée dans le Psychological Science, une revue de l’Association for Psychological Science, les nourrissons développent la peur des hauteurs à la suite de leurs expériences mobiles dans leur environnement.

Alors qu’il s’agit d’une habileté essentielle à la survie, des chercheurs ont tenté de déterminer pourquoi elle n’était pas développée plus tôt.

En plaçant les enfants près d’un vide virtuel, dans ce cas une table recouverte de verre qui révélait l’étage en dessous, plutôt que d’en avoir peur, ils se sont montrés captivés par le vide.

Les chercheurs présument que cette période d’intrépidité pourrait servir à explorer notre environnement et à l’élaboration de stratégies de déplacement, ce qui aide à s’adapter au terrain. Étrangement, les chutes et blessures liées à cette inhibition ne jouent aucun rôle sur le développement de la crainte.

« Paradoxalement, une tendance à explorer des situations à risque peut être l’une des forces du développement des compétences », écrivent les chercheurs.

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La cigarette liée au TDAH

Nous savons déjà que le tabagisme est associé à divers problèmes de santé pour les bébés de femmes ayant fumé pendant leur grossesse. Mais voilà que le comportement de ceux-ci serait aussi affecté.

L’analyse de trois études internationales a permis de conclure que les enfants de mères ayant fumé pendant la grossesse étaient plus susceptibles d’avoir une pauvre capacité d’attention et de montrer un comportement perturbateur, comme le TDAH (trouble de déficit d’attention/hyperactivité).

Lus sur Daily Mail, les résultats publiés dans le journal médical JAMA Psychiatry démontrent que plus la mère fume, plus les problèmes sont importants.

Le Dr Theodore Slotkin, du Duke University Medical Center en Caroline du Nord, a déclaré : « La conclusion est incontournable : l’exposition prénatale à la fumée du tabac contribue de manière significative à des troubles de comportement ultérieur de la progéniture ».

« Nous savons maintenant que les conséquences de l’exposition prénatale au tabac ne sont pas limitées aux risques périnataux, mais s’étendent longtemps et affectent la qualité de vie de milliers de personnes. »

Au cours de cette étude, certaines révélations ont choqué les chercheurs. En effet, il semblerait que plus de 20 % des parents accros à la cigarette réduisaient volontairement la qualité de vie de leurs enfants (vêtements de moindre qualité, moins de nourriture, moins de cadeaux de Noël, etc.) afin de pouvoir continuer leur habitude.

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Est-ce que bébé se développe normalement?

Des conseils d’Anne Zachry, une professionnelle du développement de l’enfant, sont énoncés sur le site Parenting Squad.

Entre autres, si votre enfant présente une ou plusieurs des anomalies suivantes, il serait très important de consulter.

Vers 3 mois, s’il ne peut suivre un objet des yeux, ne sourit pas, ne contrôle pas les mouvements de sa tête ou semble trop mou ou trop raidi lorsqu’il est tenu.

Vers les 6 mois, s’il n’arrive pas à se retourner du ventre vers le dos, n’utilise qu’un seul côté de son corps, n’attrape pas d’objet, ne rit pas ou ne réagit pas à des jeux de style « coucou ».

Vers 9 mois, s’il ne peut s’asseoir, n’arrive pas à se retourner dans les 2 sens, ne gazouille pas ou ne raidit pas les jambes pour se tenir debout quand vous le tenez.

Vers 12 mois, s’il ne parle pas du tout, ne pointe pas du doigt, évite les contacts visuels, fait des mouvements répétitifs de la tête ou des mains.

Vers 18 mois, s’il démontre une mauvaise sociabilité, des tremblements ou n’arrive pas à pointer les parties de son corps.

Vers 2 ans, s’il n’arrive pas à imiter des actions simples ou répéter des mots et/ou faire des phrases d’au moins 2 mots ou encore répète continuellement une action telle que vider un panier et y remettre le contenu.

Tous ces signes pourraient vouloir dire que votre enfant souffre d’un retard du développement. N’hésitez pas à vous informer auprès de votre pédiatre.