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Avoir un bébé après 30 ans diminuerait les risques de cancer

Alors que de plus en plus de femmes retardent la maternité par choix, voilà qu’il y a peut-être un élément de plus qui pourrait peser dans la balance pour elles.
 
En effet, selon des chercheurs de l’école de médecine Keck de l’Université de Caroline du Sud, plus les femmes attendent pour tomber enceintes, moins élevés sont les risques de développer un cancer de l’endomètre (cancer du corps utérin).
 
Parue sur le site de l’American Journal of Epidemiology, l’étude américaine a observé le cas de milliers de femmes pour conclure que les mères qui ont leur dernier enfant entre 30 et 34 ans ont 17 % moins de chances que celles âgées de 25 ans d’être atteintes de ce type de cancer.
 
Il semblerait que pour les femmes qui ont entre 35 et 39 ans, le risque baisse de 32 %, et de 44 % une fois que le cap de la quarantaine est passé.
 
Ainsi, en retardant la grossesse, les risques de cancer de l’endomètre seraient moins élevés. D’un autre côté, les chances que la femme soit moins fertile ou que le bébé soit atteint d’autisme augmentent, révèlent des études antérieures.
 
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Des greffes ovariennes pour retarder la maternité

L’avenir pour les femmes de carrière semble prometteur. Celles qui veulent des enfants plus tard pourraient voir leur voeu être exaucé, si l’on en croit un chirurgien renommé, le docteur Sherman Silber.

Les femmes pourraient en effet retarder leur envie de bébé, et donc repousser la ménopause, avec une greffe de l’ovaire.

Des techniques similaires sont utilisées en ce moment pour sauver les ovaires des femmes traitées pour un cancer. Le Dr Sherman Silber prédit que ces transplantations ou greffes, pour des raisons sociales, sont une option réaliste pour la préservation de la fertilité.

Le docteur Silber a expliqué que ces greffes d’ovaires pourraient être une solution à l’augmentation des problèmes de fertilité causés par les femmes de carrière qui remettent à plus tard leur souhait d’avoir des enfants.

Sherman Silber a déjà réalisé une belle prouesse dans le domaine en 2007. Une femme de 38 ans avait donné naissance à une petite fille née après une greffe ovarienne provenant de sa soeur jumelle. La transplantation avait été réalisée aux États-Unis.

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La greffe de tissu ovarien pour une maternité retardée

La greffe du tissu ovarien permettrait de retarder la ménopause pour donner la chance aux femmes plus âgées de tomber enceintes et traiter les difficultés à concevoir, ont découvert des chercheurs américains.

Cette transplantation pourrait même éliminer l’existence de la ménopause, car en libérant des ovules, les ovaires produisent l’oestrogène et la progestérone qui régissent le cycle menstruel de la femme, explique Sherman Silber du Centre d’infertilité de Saint-Louis dans le Missouri.

C’est en observant le cas de trois femmes qui ont eu cette greffe que les chercheurs ont pu démontrer qu’elles avaient toutes pu avoir un ou plusieurs bébés à la suite de l’intervention, et selon leurs diverses situations.

Il y aurait même une femme dans l’étude qui aurait été déclarée stérile, à la suite d’un combat contre le cancer et des traitements de chimiothérapie. Toutefois, la transplantation d’un ovaire prélevé avant le début du traitement lui a permis de donner naissance à trois enfants depuis.

Grâce à la congélation d’une partie de leurs ovaires, les femmes ont pu concevoir naturellement, jusqu’à sept ans après la transplantation du tissu congelé. Pour les experts, il s’agit là d’une découverte pour un contrôle bénéfique de la maternité.

Les résultats des observations seront publiés sous peu sur le site d’information professionnelle Reproductive Biomedicine Online.

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La maternité est nocive pour la carrière scientifique des femmes

Selon une étude de l’Université de Cornell, publiée dans le journal American Scientist, les femmes qui détiennent un diplôme d’études supérieures dans des domaines scientifiques et mathématiques abandonnent des carrières de recherche principalement parce qu’elles désirent avoir des enfants, et non parce qu’elles ne réussissent pas ou sont lésées lors des entrevues d’embauche.

La maternité, et les politiques qui font en sorte qu’elle est incompatible avec une carrière de recherche à long terme, porte atteinte à la vie professionnelle des femmes scientifiques.

Juste le fait de prévoir avoir un bébé un jour a pour résultat que ces femmes abandonnent une carrière de recherche accélérée deux fois plus que les hommes.

« Il est temps pour les universités de cesser de croire que la sous-représentation des femmes dans les sciences est due à des préférences d’embauche et d’évaluation, et de commencer à se rendre compte que c’est le résultat de politiques désuètes créées à une époque où des hommes ayant une femme à la maison géraient l’académie », explique la professeure Wendy Williams, fondatrice du Cornell Institute for Women in Science.

Pour l’étude, les chercheurs ont analysé les données relatives aux carrières universitaires d’hommes et de femmes avec ou sans enfants. Ils ont découvert qu’avant de devenir mères, les femmes avaient une carrière égale ou supérieure à celle des hommes. Elles étaient payées et promues de la même façon que leurs collègues masculins, et étaient même plus susceptibles d’obtenir des entrevues et d’être retenues que les hommes.

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Un nouveau salon pour les mamans

La fin de semaine du 10 et 11 septembre, les nouvelles et futures mamans sont attendues, de même que les papas, au Salon photo poupon-bedaine. L’événement se tiendra au Collège Letendre à Laval, de 9 h à 17 h.

Comme on s’en doute, des sessions photo professionnelles y seront offertes gratuitement aux femmes enceintes et à celles qui ont un bébé de moins de huit mois.

De plus, elles pourront recueillir une foule de renseignements sur la maternité lors des conférences prévues à l’horaire et en visitant les nombreux exposants du salon.

Présenté par Bio-K+, le Salon photo poupon-bedaine vise à collecter des fonds pour la Fondation OLO et Nourri-Source Laval. La porte-parole est la nouvelle et très heureuse nouvelle maman, Marie Plourde.

Pour en savoir plus sur cet événement et pour se procurer des billets en ligne, on visite le www.pouponbedaine.com.

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Un nouveau salon pour les mamans

La fin de semaine du 10 et 11 septembre, les nouvelles et futures mamans sont attendues, de même que les papas, au Salon photo poupon-bedaine. L’événement se tiendra au Collège Letendre à Laval, de 9 h à 17 h.

Comme on s’en doute, des sessions photo professionnelles y seront offertes gratuitement aux femmes enceintes et à celles qui ont un bébé de moins de huit mois.

De plus, elles pourront recueillir une foule de renseignements sur la maternité lors des conférences prévues à l’horaire et en visitant les nombreux exposants du salon.

Présenté par Bio-K+, le Salon photo poupon-bedaine vise à collecter des fonds pour la Fondation OLO et Nourri-Source Laval. La porte-parole est la nouvelle et très heureuse nouvelle maman, Marie Plourde.

Pour en savoir plus sur cet événement et pour se procurer des billets en ligne, on visite le www.pouponbedaine.com.

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Une épidémie de jumeaux?

La maternité se transforme, et ce, de toutes les manières. On remarque un plus grand nombre de grossesses multiples depuis plusieurs années. En France, par exemple, des données obtenues par l’Ined (l’Institut national d’études démographiques) indiquent une hausse effarante.

Il semble qu’en 40 ans seulement, le nombre de jumeaux s’est élevé de 80 %. On pourrait expliquer cette hausse majeure, semble-t-il, par le recours plus fréquent aux différentes méthodes de procréation assistée. Elles sont en effet reconnues pour augmenter les chances de vivre une grossesse gémellaire.

De plus, la tendance actuelle à devenir mère plus tard dans la vie pourrait être en cause. La maternité se vit en moyenne, de nos jours, vers l’âge de 30 ans. On a établi le lien en sachant que plus une femme avance en âge, plus elle aurait tendance à avoir des jumeaux, voire des triplés.

Toutefois, cette tendance ne porte pas qu’à nous faire sourire. Les grossesses multiples sont fortement associées à la naissance prématurée, au faible poids de naissance ainsi qu’aux complications de l’accouchement.

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Pink célèbre l’arrivée de sa petite fille, Willow Sage

La chanteuse pop rock Pink, de son vrai nom Alecia Beth Moore, et son mari, Carey Hart, ont accueilli leur premier enfant, une fillette nommée Willow Sage, le 2 juin dernier.

La mère se porte à merveille et le couple s’est empressé de partager son bonheur sur Twitter.
 
Quelques heures avant l’accouchement, les médias ont croqué des images sur le vif, montrant Pink aidée de son mari pour l’arrivée à l’hôpital. La chanteuse de 31 ans avait beaucoup de difficulté à marcher, mais Hart la soutenait de ses bras pour l’aider.
 
Le magazine Us rapporte que le couple est comblé du quotidien partagé avec cette merveilleuse petite fille. Hart, qui est très fier d’être nouveau papa, a communiqué sa joie sur Twitter : « Elle est aussi belle que sa mère ».
 
Pink, quant à elle, a écrit avec un certain humour : « Avant, ma vie se résumait au whisky, aux larmes et aux cigarettes. Maintenant, la routine est constituée de morve, de pleurs et de couches. Je m’ennuie quand même un peu du whisky. »

Mis à part l’humour, Pink se sent complètement transformée par la maternité.

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Christina Applegate comblée par la maternité

Depuis la naissance de sa fille, Sadie Grace LeNoble, le 27 janvier dernier, Christina Applegate vit des moments d’intense bonheur, selon People.

Rappelons que l’actrice de 39 ans a traversé de dures épreuves ces dernières années, ayant subi une double mastectomie après avoir reçu un diagnostic de cancer du sein en 2008.

Applegate a donc ressenti une profonde émotion en serrant son petit bébé contre sa poitrine, une partie de son corps avec laquelle elle n’est pourtant plus à l’aise depuis son cancer.

Le père de son enfant est le musicien Martyn LeNoble, qui est aussi son fiancé. Il a su accompagner sa conjointe durant l’accouchement qui a nécessité 18 heures de travail.

Malgré son épidurale, la nouvelle maman dit avoir vécu beaucoup de souffrance : « C’était une douleur très profonde. » Elle a aussi mentionné qu’elle avait un plan quant à cette mise au monde, mais qu’il est ridicule de penser en avoir un lorsqu’on donne la vie.

Une fois sa petite Sadie née, Christina a connu une immense joie : « C’est la plus belle chose qui ne me soit jamais arrivée. »

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Moins de bébés chez les diplômées

Plus une femme atteint un niveau d’études élevé, moins elle aurait d’enfants. C’est une corrélation à laquelle est arrivé l’Institut national d’études démographiques en France. 

La cause serait-elle qu’il est difficile de conjuguer carrière et famille? On remarque du moins que cette dernière est fondée plus tard si la femme est diplômée.

En effet, si les femmes ont leur 1er enfant en moyenne à 25 ans, ce nombre grimpe à 30 si elles font des études supérieures.

Quant au taux de fécondité, il a été de 1,8 chez les diplômées en 2008, contre 2,5 chez les autres femmes.

On a finalement remarqué que si en 2000, 34 % des enfants étaient nés d’une maman ayant fait des études supérieures, ce taux avait grimpé à 43 % en 2008.

On peut lire le détail de ces statistiques dans L’Express et le 20 minutes.