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Keira Knightley de retour à l’école pour The Imitation Game

Keira Knightley a eu des impressions de déjà-vu alors que quelques cauchemars scolaires sont revenus hanter l’actrice lors du tournage de The Imitation Game avec Benedict Cumberbatch, selon ce que rapporte BANG Media International.

Relatant l’histoire d’un génie mathématique au coeur de la Deuxième Guerre mondiale, The Imitation Game a souvent pris des allures de cours et de classe pour Keira Knightley, qui s’avoue horrible en mathématiques.

Se faisant expliquer de difficiles théories par un ingénieur pour les besoins du film, Knightley admet ne pas avoir saisi tous les concepts présentés.

« Nous étions pas mal tous mauvais. Et je n’ai absolument rien compris aux mathématiques. C’est un sentiment que je n’avais pas ressenti depuis l’école dans mes cours de mathématiques, quand tu as l’impression que tu vas mourir. Il (l’ingénieur) était si gentil, j’aurais dû me concentrer, mais je ne l’ai pas fait », avoue l’actrice en conférence de presse pour mousser la sortie du film.

Voilà qui brise un peu de la magie du film, mais quand on s’appelle Keira Knightley, la note finale à l’examen importe peu.

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Keira Knightley de retour à l’école pour The Imitation Game

Keira Knightley a eu des impressions de déjà-vu alors que quelques cauchemars scolaires sont revenus hanter l’actrice lors du tournage de The Imitation Game avec Benedict Cumberbatch, selon ce que rapporte BANG Media International.

Relatant l’histoire d’un génie mathématique au coeur de la Deuxième Guerre mondiale, The Imitation Game a souvent pris des allures de cours et de classe pour Keira Knightley, qui s’avoue horrible en mathématiques.

Se faisant expliquer de difficiles théories par un ingénieur pour les besoins du film, Knightley admet ne pas avoir saisi tous les concepts présentés.

« Nous étions pas mal tous mauvais. Et je n’ai absolument rien compris aux mathématiques. C’est un sentiment que je n’avais pas ressenti depuis l’école dans mes cours de mathématiques, quand tu as l’impression que tu vas mourir. Il (l’ingénieur) était si gentil, j’aurais dû me concentrer, mais je ne l’ai pas fait », avoue l’actrice en conférence de presse pour mousser la sortie du film.

Voilà qui brise un peu de la magie du film, mais quand on s’appelle Keira Knightley, la note finale à l’examen importe peu.

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Des nourrissons à l’esprit mathématique précoce

Ce sont des chercheurs de la Duke University qui suggèrent que la distinction entre un gros groupe d’articles et un plus petit groupe constitue un sens rudimentaire des nombres chez le nourrisson. Ainsi, cette capacité à différencier les ensembles promettrait un niveau de compréhension plus élevé des mathématiques.

Selon Elizabeth Brannon, enseignante en psychologie et neuroscience à la tête de cette étude, les nourrissons ont tous un « sens inné et primitif des nombres ». Cependant, certains sont plus habiles que d’autres. Cette recherche permettra en outre de développer des activités éducatives adaptées aux tout-petits pour accroître ce sens mathématique.

Selon Science World Report, l’objectif n’est pas tant de faire de nos enfants de petits génies, mais plutôt d’aider ceux qui présentent des difficultés très tôt à stimuler les habiletés mathématiques de base.

Les spécialistes ont fait participer 48 bébés de 6 mois à un test graphique de différenciation de groupes d’objets. Ces mêmes enfants ont passé un test plus élaboré à 3 ans et demi. Ceux qui avaient démontré un plus grand sens mathématique primaire à 6 mois obtenaient une fois de plus de meilleurs résultats.

La recherche a été publiée dans le National Academy of Sciences.

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Les mathématiques peuvent vous faire mal

Les mathématiques peuvent vous faire mal… et ce n’est pas une figure de style. Selon santelog.com, qui rapporte une étude américaine (Chicago), des chercheurs ont établi que les mathématiques ou certaines sciences peuvent causer de véritables maux aux gens qui ne se sentent pas à la hauteur.

Cette réaction en déclenche une autre d’anxiété, que le cerveau peut matérialiser en véritables douleurs physiques. Il s’agit du même genre de réaction que lorsqu’une personne subit un rejet social ou se retrouve en situation de danger, toujours selon le site.

Le simple fait d’être obligé de résoudre des équations peut enclencher ce processus chez ceux qui n’ont pas la bosse des mathématiques.

Ces réactions d’angoisse ou d’anxiété qui se métamorphosent en douleur physique existent déjà, selon les chercheurs. Cela dépend de la personne et de ses peurs, mais l’appréhension peut mener au mal.

Ces données permettent de mieux comprendre certains comportements humains, puisqu’il semble évident qu’une personne va tenter d’éviter toute situation qui le place dans ce genre de situation extrême.

On peut remarquer ce phénomène, dans le cas qui nous concerne, chez les gens qui fuient tout type de calcul mental ou tout genre de problème mathématique, et ce, tout au long de leur vie.

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Les mathématiques causent de l’anxiété même en 1re année

Alors que l’on s’imaginait le contraire, les résultats de la première étude sur le sujet de l’anxiété auprès des élèves du primaire contredisent la pensée populaire.

Les résultats, publiés dans le Journal of Cognition and Development, mettent en lumière les recherches de Sian Beilock et Gerardo Ramirez du UChicago et leurs collègues, Elizabeth Gunderson et Susan Levine.

Les données ont été recueillies auprès de 88 étudiants de première année et 66 de deuxième année. Les facteurs analysés étaient les habilités pédagogiques, la mémoire dite « de travail » et la peur des mathématiques sur une échelle précise.

Puisque les élèves moins doués se mettent moins de pression, ils apprennent rapidement à contourner la mémoire de travail et, par exemple, vont compter sur leurs doigts. Justement, en consultant les résultats, Ramirez a constaté que l’anxiété créait une interférence avec la mémoire de travail, que les jeunes doués utilisent habituellement.

« Cette mémoire est la plus importante lorsque vient le temps de résoudre des problèmes mathématiques », affirme Ramirez. « Une anxiété précoce aura une tendance à effet boule de neige. Les enfants se démotivent, changent leur attitude et finissent même par éviter les mathématiques. »

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Quand les mathématiques effraient le cerveau des enfants

Il semblerait que la même partie du cerveau qui répond à des situations effrayantes, comme de voir une araignée ou un serpent, montre aussi une réponse et une activité cérébrale rapide et accrue chez les enfants souffrant d’anxiété devant des problèmes de mathématiques, révèlent les scientifiques de l’École de médecine de l’Université Stanford.

Cette activation de cette partie du cerveau causerait également une baisse d’activité dans d’autres régions cérébrales, qui impliquent par exemple la résolution de problèmes, expliquent les chercheurs dans la revue Psychological Science.

Pendant que des enfants âgés de 7 à 9 ans effectuaient des additions et des soustractions, leur cerveau était étudié avec l’imagerie par résonnance magnétique fonctionnelle.

Chez les enfants avec une haute angoisse des mathématiques, les analyses ont démontré une activité accrue dans l’amygdale, centre du cerveau principalement lié à la crainte, et aussi dans une section de l’hippocampe, une structure du cerveau qui aide à former de nouveaux souvenirs. La diminution de l’activité dans plusieurs régions du cerveau associées à la mémoire au travail et au raisonnement numérique a été décelée également.

Selon les experts, l’angoisse des mathématiques est neurobiologique et semblable à d’autres types d’anxiété ou de phobies. Ils confirment que ce n’est pas parce qu’un enfant a l’angoisse de cette matière scolaire qu’il ne sera pas bon avec les chiffres.

Toutefois, il a été prouvé qu’à long terme, ces jeunes ne développaient pas le goût particulier de poursuivre dans cette voie ou ne désiraient tout simplement pas s’ouvrir à des classes plus avancées en mathématiques.

Des études supplémentaires chez des jeunes plus âgés seront nécessaires pour identifier la base neurologique de l’angoisse des mathématiques et ainsi développer de nouvelles stratégies pour s’attaquer au problème.

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Les aptitudes verbales influencent les aptitudes mathématiques des fillettes

Un énoncé bien établi est celui qui dit que les garçons réussissent généralement mieux que les filles en sciences et en mathématiques, et que les filles ont plus de facilité dans le domaine des langues.

Toutefois, il semblerait que plusieurs filles se débrouilleraient mieux que les garçons dans certaines spécialités mathématiques, notamment en arithmétique, selon la revue Psychological Science et un article de Zhou Xinlin et ses collègues de l’Université Normale de Pékin et de Californie-Irvine.

Après que certains enseignants et parents d’enfants au primaire aient remarqué la chose, une série de tests auprès d’enfants à Pékin a été effectuée.

En effet, la majorité des fillettes devancent les garçons dans la résolution de simples soustractions, de multiplications complexes, d’estimations rapides, de bonds entre les chiffres et de nombres pairs ou impairs.

Cependant, grâce à leurs habiletés spatiales, les garçons ont toujours la cote pour faire la rotation d’images tridimensionnelles.

La clé du succès féminin en arithmétique reposerait sur le traitement verbal et les compétences linguistiques, selon les chercheurs. « Compter est verbal, et l’arithmétique, c’est du par coeur. Exemple, les résultats de la table de multiplication sont mémorisés verbalement comme les mots. »

Pour un meilleur succès en maths pour l’ensemble des petits, les spécialistes croient que ce constat permettrait aux enseignants de développer la mémoire et le sens verbomoteur des garçons, alors que les habiletés spatiales pourraient l’être chez la fillette.

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Jouer à « Jean dit » augmente les résultats scolaires chez le jeune enfant

Megan McClelland, experte en autorégulation chez l’enfant, a publié de multiples études sur l’importance de ces exercices versus les aptitudes scolaires et préscolaires.

Menée auprès de 800 enfants d’âge préscolaire (3 à 6 ans) aux États-Unis, mais aussi dans des pays tels que Taiwan, la Chine et la Corée du Sud, où les enfants sont reconnus pour leurs capacités supérieures, l’étude a démontré des résultats plus que concluants.
 
Ainsi, les enfants qui démontrent plus de facilité à jouer à des jeux d’autorégulation, notamment « Jean dit », obtiennent des résultats scolaires beaucoup plus élevés que leurs camarades de classe en mathématique et en français. Aux États-Unis, les résultats démontrent une avance de 3 mois sur les autres enfants, alors que dans les pays orientaux, c’est de 4 mois d’avance qu’il est question.
 
Professeure associée du département du développement humain et de la science familiale de l’Université d’Oregon, McClelland est à l’origine du test d’autorégulation « Tête-Orteils-Genoux-Épaules ». L’étude a été développée à l’aide de son analogue à l’Université de Pittsburgh, Shannon Wanless.
 
L’objectif est de prouver que l’autorégulation chez l’enfant, donc la capacité à écouter, se concentrer sur des consignes, les appliquer à la tâche et se rappeler les instructions, est d’une importance majeure quant au développement scolaire de l’enfant.
 
N’hésitez donc pas à jouer à « Jean dit » avec votre bambin, et ce, le plus tôt possible.
 
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Impacts du TDAH sur les aptitudes scolaires

Souhaitant mieux comprendre le TDAH, des experts de la Case Western Reserve University, en Ohio, ont tenté de mieux cibler ses impacts sur l’apprentissage.

On a donc cherché à définir le rôle de l’environnement et celui de l’hérédité quant aux aptitudes mathématiques et de lecture, ainsi que le comportement associé au trouble déficitaire de l’attention avec hyperactivité.
 
Pour ce faire, les chercheurs ont suivi 271 paires de jumeaux âgés de 10 ans. La majorité de ces enfants n’avaient pas le TDAH.
 
C’est sans surprise qu’il a été constaté que l’inattention et l’hyperactivité avaient des impacts négatifs sur les performances scolaires. Toutefois, les gènes n’expliqueraient pas tout.
 
Si l’hérédité avait une influence plus grande sur la lecture, l’environnement en avait une plus importante sur les mathématiques.
 
Ainsi, l’influence du TDAH sur les résultats scolaires serait une combinaison de l’hérédité et de l’environnement, à la maison et à l’école.

Les résultats complets de cette étude sont parus dernièrement dans Psychological Science.

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Meilleur en math grâce au chocolat

Grâce aux flavanols que l’on retrouve dans le cacao, le chocolat améliore les performances à des examens de mathématiques, selon une équipe de chercheurs de l’Université Northumbria en Grande-Bretagne.

L’étude a été menée avec environ 30 participants à qui l’on a demandé de compter à rebours à partir d’un nombre entre 800 et 999.

Selon les chercheurs, ce phénomène pourrait être attribué à un meilleur afflux sanguin au cerveau grâce aux flavanols, ce qui améliore la concentration et semble diminuer l’impression de fatigue mentale.

Il y a toutefois un hic à cette étude et ce sont les 500 mg de flavanols consommés quotidiennement. Selon les chercheurs, cette quantité représente 5 tablettes de chocolat par jour.