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Des mathématiques plus avancées à la maternelle pour améliorer la performance scolaire

Comme le rapporte Medical News Today, les enfants qui en bénéficient réussissent mieux à l’école primaire, et ce, peu importe leur contexte socio-économique.

Dans le cas contraire, selon Amy Claessens, de la Harris School of Public Policy Studies à l’Université de Chicago, les enfants ont tendance à stagner au primaire. Ceux-ci réussissent moins bien que leurs pairs en mathématiques.

Pour la recherche, les experts ont récolté les données de l’Early Childhood Longitudinal Study, qui examine le développement de l’enfant, ses expériences en début de scolarité et le fait qu’il soit prêt ou non à entrer à l’école.

Claessens et son équipe ont conclu qu’une moyenne de 4 jours de contenus mathématiques et de lecture avancés par mois faisait une différence marquée dans la réussite scolaire au primaire.

Selon les chercheurs, il s’agirait d’une méthode peu coûteuse pour améliorer les performances des enfants qui entrent au primaire, contrairement à ce que le système scolaire envisage actuellement aux États-Unis. 

En effet, on prévoit allonger les heures d’école ou réduire le nombre d’élèves dans chaque classe, ce qui engendrerait des frais énormes en comparaison d’un programme plus étoffé à la maternelle.

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Des jeux vidéo pour améliorer les aptitudes mathématiques des jeunes

Science World Report rapporte que les chercheurs ont observé une amélioration de la compréhension des chiffres et des équations chez les étudiants participants. Ceux-ci jouaient de façon compétitive ou collaborative à des jeux vidéo axés sur les mathématiques.

« Nous avons constaté que certains jeux bien conçus peuvent motiver les étudiants à l’apprentissage de matières moins intéressantes comme les mathématiques. Ces jeux vidéo les aident réellement à recentrer leur attention. »

Jan Plass, professeur à la NYU Steinhardt School of Culture, Education, and Human Development et responsable de l’étude, a également affirmé dans un communiqué de presse : « Cette méthode pourrait bien contribuer à régler les difficultés en classe, en mettant les jeunes dans un état d’esprit propice à l’apprentissage ».

Ainsi, cette étude tente de prouver que cette méthode de jeu éducatif serait en mesure d’orienter l’attention des jeunes en difficulté, et surtout de la retenir suffisamment longtemps pour qu’ils développent un intérêt dans des matières plus difficiles.

Des études subséquentes seront nécessaires pour étoffer les résultats, publiés dans le Journal of Educational Psychology.

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Les filles sont moins bonnes en mathématiques : un mythe

Il existe un mythe tenace concernant la gent féminine et les mathématiques, soit celui que les filles soient moins bonnes dans cette matière que les garçons.

Selon une étude américaine rapportée par Santé Log, les filles peuvent se démarquer tout autant que leurs camarades masculins en maths, et les raisons qui expliquent les succès ou les échecs relèveraient plutôt d’autres facteurs que le simple sexe de la personne.

On parle entre autres de l’estime de soi, qui serait primordiale pour exceller dans les chiffres et les nombres. Cette qualité est par ailleurs utile pour une multitude d’autres sujets dans la vie en général, mais particulièrement dans les matières comme les mathématiques, apprend-on. L’envie de réussir est aussi un facteur important, selon les chercheurs.

Publiées dans la prochaine édition du Psychology of Women Quarterly, ces recherches confirment donc que les filles de ce monde n’ont aucune crainte ni aucun complexe à avoir, et qu’elles peuvent envisager des carrières en mathématiques et en sciences, à l’égal des garçons.

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Les parents ont du mal à aider les enfants avec les mathématiques

La chaine de télévision publique américaine PBS a mené une étude sur les parents et leur rôle dans les devoirs et l’apprentissage scolaire de leurs enfants.

Celle-ci a révélé que les parents mettent beaucoup plus l’accent sur des activités qui aidaient à la lecture et à la capacité d’attention que sur les mathématiques.

En effet, presque 30 % des parents disaient être anxieux à l’idée de devoir apprendre les mathématiques à leurs enfants. Les mères étaient plus anxieuses que les pères, ainsi que les parents qui n’avaient pas fait d’études postsecondaires.

Les parents tendent à mettre moins de temps sur les mathématiques, parce qu’ils ne considèrent pas qu’il s’agit d’un facteur important de réussite dans la vie.

Les parents placent plutôt « la capacité de porter attention et de travailler fort » (47 %) ainsi que la lecture et l’écriture (26 %) avant les mathématiques, qui ne sont une priorité pour le succès que pour 14 % des parents.

Pourtant, la science a déjà établi que les aptitudes en mathématiques à la maternelle étaient le facteur le plus déterminant de la réussite scolaire des enfants, rapporte Parents Magazine.

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Les habiletés des jeunes enfants à compter seraient reliées à leurs notes en mathématiques plus tard

Les chercheurs ont analysé les données provenant de 3000 enfants d’âge préscolaire, afin de déterminer si certains d’entre eux pouvaient compter jusqu’à 20, et si cela avait un effet sur leurs performances en mathématiques en première année.

Moins de 10 % des enfants étaient capables de réciter les chiffres jusqu’à 20 et d’effectuer quelques calculs. Cependant, ceux-ci avaient effectivement les plus hautes notes en mathématiques quelques années plus tard.

Les chercheurs ont expliqué la différence entre réciter et compter : « Lorsqu’ils récitent, ils répètent une séquence apprise par cœur. Mais lorsqu’ils comptent, les enfants accomplissent une activité cognitive, en établissant une correspondance entre un chiffre et un autre, entre un objet et un nombre qui représente une quantité ».

« Savoir compter donne aux enfants des bases plus solides lorsqu’ils commencent l’école. Les compétences que les enfants maîtrisent en maternelle vont avoir un impact sur toute leur expérience au primaire; c’est pourquoi il est important qu’ils commencent en ayant le plus grand nombre possible de cordes à leur arc », ont-ils ajouté, selon Science Daily.

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Les enfants en forme seraient meilleurs à l’école

C’est ce que révèle une étude de l’American Psychological Association présentée lors de sa 120e Convention annuelle.

« La forme cardiorespiratoire était le seul facteur que nous avons trouvé qui avait un impact sur les notes en mathématiques et en lecture chez les garçons et les filles », selon le coauteur de la recherche, le professeur de psychologie à la University of North Texas, Trent A. Petrie.

L’étude a également étudié l’effet de l’estime de soi, du soutien social, du statut socioéconomique et de l’autoévaluation des habiletés scolaires de l’enfant sur le rendement pédagogique.

En plus de la forme cardiorespiratoire, le soutien social était aussi associé à de meilleurs résultats scolaires. En outre, chez les fillettes, les experts ont constaté qu’un indice de masse corporelle plus élevé contribuait à de meilleures notes en lecture.

Rappelons qu’il est important pour les enfants de faire du sport. L’exercice peut améliorer la pensée des enfants en augmentant la circulation du sang et de l’oxygène au cerveau. Il peut aussi aider à augmenter les niveaux de noradrénaline et les endorphines pour diminuer le stress et ainsi améliorer l’humeur.

Crédit photo : FreeDigitalPhotos.net

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L’obésité infantile reliée aux mathématiques

C’est du moins ce que l’on peut lire sur Eurekalert.org. En fait, l’obésité infantile a augmenté de façon dramatique dans les dernières décennies et a été reliée à de nombreux problèmes jusqu’ici, mais les chercheurs de l’Université du Missouri l’ont associée à la performance de l’enfant en mathématiques.

« Notre étude suggère que l’obésité infantile, spécialement celle qui persiste jusqu’à l’école primaire, peut affecter le bien-être social et émotionnel de l’enfant ainsi que ses performances académiques », explique la professeure adjointe du Département de nutrition et de physiologie de l’exercice, Sara Gable.

Une étude a révélé que les jeunes filles obèses dès la maternelle avaient de moins bons résultats scolaires en mathématiques dès la première année d’école. Pour ce qui est des fillettes dont l’obésité est apparue plus tard, comme en troisième ou en cinquième année, les résultats se sont cependant améliorés.

Rappelons toutefois qu’une nouvelle étude veut que les filles, naturellement, aient plus de facilité en arithmétique que les garçons, en raison de leurs aptitudes verbales et de leur facilité à mémoriser.

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Les bébés sont de petits génies grâce à leur vue

Tous les nouveau-nés seraient de petits génies en mathématiques, physique et géométrie, affirme l’étude de la Dre Elizabeth S. Spelke de l’Université Harvard, rapportée dans le New York Times.

Ces fabuleuses capacités innées se développeraient davantage dès les premiers mois de vie grâce au sens de la vue, déclare la spécialiste, qui a analysé le comportement de nourrissons devant différentes situations.

Ainsi, il serait facile pour les petits Einstein de comprendre que les objets sont indépendants les uns des autres.
 
Si un objet est caché, le bébé le cherchera des yeux. S’il a déjà vu l’objet au préalable, il sera capable de le recréer dans sa tête. Ils savent également qu’il est impossible pour un objet ou un être de passer à travers les murs.
 
Quant aux mathématiques et probabilités, dès les premiers mois, l’enfant est capable de déduire qu’il y a plus de chances qu’une personne pige un objet majoritaire dans une boîte. Pour exemple, si la boîte contient 80 % de balles blanches et 20 % de balles rouges, si l’adulte devant lui pige au hasard une balle rouge, le bébé aura une réaction d’étonnement et de surprise.
 
Les bébés sont capables également de percevoir les trajectoires empruntées par des personnes ou des objets. S’ils sont piégés dans un espace restreint ou qu’on leur bloque le chemin, les marcheurs à quatre pattes trouveront facilement un autre passage.
 
Il a également été prouvé que les bébés sont sensibles au langage utilisé dans leur environnement. Un petit qui naîtra parmi des francophones portera donc moins d’attention à un anglophone qui sera dans son entourage.
 
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La musique académique pour mieux réussir les mathématiques

Il a été démontré dans une école de San Francisco, en Californie, qu’un programme novateur utilisant la pratique de la musique en classe a permis d’augmenter de 50 % le taux de réussite des élèves à des tests de mathématiques sur les fractions.

De plus, pour les enfants avec des difficultés accrues dans la matière rationnelle, un taux de réussite de 40 % plus élevé aux tests de mathématiques a été remarqué auprès de ceux qui avaient appris en fonction de la musique.

Grâce au rythme musical, au solfège, à des symboles, de la notation musicale, des tambours, du chant et des tapes dans les mains, des enfants de troisième année peuvent mieux réussir en mathématiques.

Cela est une bonne chose, selon Susan Courey, professeure adjointe de l’éducation spéciale à la San Francisco State University. « Si les élèves ne comprennent pas les fractions dès le début, ils ont souvent du mal avec l’algèbre et le raisonnement mathématique plus tard dans leur scolarité. »

Le fait de remplacer les chiffres des fractions par la clé de sol, les demi-croches et la valeur temporelle de la musique a fait en sorte d’accentuer l’enthousiasme et l’intérêt des jeunes quant aux mathématiques.

Depuis sa mise en œuvre, le programme académique de musique a connu un vif succès dans d’autres écoles non participantes à l’étude et a permis d’afficher une amélioration de 75 % en 2008, comparativement à 63 % en 2006, au California Achievement Test.

Les résultats devraient être publiés la semaine prochaine dans des revues pédagogiques.

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Le top 10 des questions embêtantes des enfants

Comment les avions font-ils pour rester dans les airs? Pourquoi le ciel est-il bleu? Combien pèse la Terre? Quotidiennement, il semblerait qu’un quart des parents britanniques se trouvent surpris par la science de leurs enfants et leurs questions de mathématiques, confirme une enquête.

Les chercheurs ont constaté que 26 % des parents pensent que leurs enfants sont mieux informés au sujet des maths et des sciences qu’eux. Plus de la moitié des parents craignent des questions auxquelles ils ne peuvent pas répondre correctement, ce qui leur laisse un goût amer de frustration et d’embarras.

L’étude a révélé qu’un tiers des parents, à la suite d’une question dont ils ne connaissent pas réellement la réponse, recherchent activement pour la trouver, tandis que beaucoup admettent qu’ils inventent une réponse à l’eau de rose, dévient la question ou font en sorte que leur conjoint réponde à leur place.

Plus de 2000 parents d’enfants âgés de 5 à 16ans ont été interrogés pour cette étude. La majorité d’entre eux étaient d’accord pour dire que ce sont probablement les programmes éducatifs télévisés qui ont permis à leurs enfants de développer une curiosité pour ces champs d’intérêt.

Voici les questions qui font « peur » aux adultes :

1. Pourquoi la Lune est-elle parfois présente le jour?
2. Pourquoi le ciel est-il bleu?
3. Comment savoir si les extraterrestres existent?
4. Combien pèse la Terre?
5. Comment font les avions pour demeurer dans les airs?
6. Pourquoi l’eau est-elle mouillée?
7. Comment fait-on une longue division en mathématique?
8. Où les oiseaux et les abeilles vont-ils en hiver?
9. Qu’est-ce qui produit un arc-en-ciel?
10. Pourquoi n’est-ce pas tous les habitants de la planète qui ont la même heure?