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Importante déclaration de Mathias Brunet concernant le futur de Sidney Crosby dans la LNH

Alors que les séries éliminatoires battent leur plein à travers la LNH, plusieurs équipes du circuit Bettman sont déjà en vacances depuis quelques temps. 

C’est d’ailleurs le cas des Penguins de Pittsburgh qui ont malheureusement raté le bal printanier par seulement deux maigres points.

Or, alors que l’heure est au bilan, personne ne s’entend sur les mouvements qui devront être faits durant la saison morte chez les Penguins.

Avec un noyau de joueurs vieillissants, les dirigeants devront analyser la situation afin de prendre les meilleures décisions possibles pour le futur de la franchise.

Avec des joueurs comme Sidney Crosby, Evgeni Malkin et Kristopher Letang qui auront respectivement 36, 37 et 36 ans au début de la prochaine campagne, l’équipe décidera-t-elle de conserver leurs trois vedettes des dernières années ou prendra-t-elle la difficile décision d’en transiger un ou deux?

Questionné à ce propos dans le cadre de sa chronique quotidienne au BPM Sports, le journaliste sportif, Mathias Brunet, s’est prononcé sur le sujet.

Selon lui, malgré le fait qu’il croit que les Penguins ont manqué le bateau en décidant de conserver Crosby trop longtemps, il serait important que l’équipe le transige dès que possible.

« Oui, à ce stade-ci, à la place des Penguins, j’échangerais Sidney Crosby… »

Mathias Brunet, BPM Sports

Toujours selon lui, les succès de Pittsburgh dans les dernières années ont essentiellement reposé sur la reconstruction. Malgré l’époque plus lointaine, c’est en raison des quatre années consécutives où les Penguins ont terminé au 26e rang ou pire, que le coeur de l’équipe s’est construit. 

Avec les départs des Jaromir Jagr, Alexei Kovalev, Robert Lang, Martin Straka et Darius Kasparaitis, la franchise a connu des moments plus sombres, mais c’est grâce à ces derniers qu’elle a pu renaître de ses cendres au milieu des années 2000

C’est donc pour cette raison que les Penguins devraient transiger Sidney Crosby, au minimum. C’est d’ailleurs la même chose pour les Capitals de Washington qui devront commencer à penser à l’après Alex Ovechkin!

Vous pouvez entendre l’extrait audio complet en cliquant sur le lien ci-dessus ou en cliquant ICI.

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Samuel Girard pourrait en être à ses derniers milles avec l’Avalanche

Alors que la série entre l’Avalanche du Colorado et le Kraken de Seattle bat son plein, les preneurs aux livres sont plutôt surpris de voir que les partisans auront droit à un septième et ultime affrontement entre les deux équipes, dimanche soir.

Gagnant en titre de la Coupe Stanley, l’Avalanche pourrait être surpris dès le premier tour par Seattle et être éliminé prématurément.

Néanmoins, peu importe le résultat du 7e match, Colorado, qui possède une jeune formation, pourra continuer de progresser, car le coeur de l’équipe sera encore en poste pour un bon moment.

Selon Mathias Brunet qui était de passage au BPM Sports dans le cadre de sa chronique quotidienne, l’équipe de Denver ne devrait pas passer par une reconstruction.

« L’Avalanche n’est pas à reconstruire. Mais c’est difficile évidemment. Nazem Kadri n’a pas été remplacé. L’équipe devra trouver une solution l’an prochain. Le plan était qu’Alex Newhook remplace Kadri. Malheureusement, ça n’a pas été le cas. »

Mathias Brunet, BPM Sports

Comme le jeune Newhook n’a pas été en mesure de répondre positivement à l’appel, l’équipe devra se tourner vers un bon jeune afin de pouvoir combler le trou laissé par Kadri.

« Avec la présence de Bowen Byram, peut-être qu’ils pourraient sacrifier Samuel Girard et son salaire de 5 millions de dollars par année pour encore quatre ans. »

Mathias Brunet, BPM Sports

Avec le départ potentiel du défenseur, Erik Johnson, l’Avalanche aura un 6 millions supplémentaires sur la masse salariale. Cependant, le nouveau contrat de la vedette, Nathan MacKinnon sera astronomique ; lui qui gagnera 12,6 millions de dollars pour les huit prochaines années. 

Selon vous, avec un manque à gagner au poste de centre, la formation de l’Avalanche sera-t-elle tentée d’échanger le jeune défenseur, Samuel Girard, afin d’ajouter un élément important à l’offensive?

Vous pouvez entendre l’extrait audio complet en cliquant ci-dessus ou en cliquant ICI.

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Mathias Brunet compare l’édition actuelle du Canadien à une précédente édition lamentable

Ce n’est plus un secret pour personne, l’édition 2022-23 du Canadien de Montréal ne passera pas à l’histoire. Du moins, pas pour les bonnes raisons.

Dans une saison où les résultats escomptés ne sont pas ceux que les partisans espéraient au début de la campagne, deux écoles de pensées s’affrontent : tenter de gagner malgré tout ou tenter de perdre pour pouvoir repêcher le plus haut possible.

Avec une fiche de 31-42-6 en 79 matchs, le Tricolore affiche un décevant total de 68 points, bon pour le 27e rang de la LNH, tout juste devant les Coyotes de l’Arizona.

De passage au BPM Sports, le journaliste sportif, Mathias Brunet, a profité de l’occasion pour commenter les performances de l’édition actuelle du Canadien en comparant cette dernière à une édition précédente qui avait été littéralement lamentable.

En effet, Brunet croit que le Tricolore 2022-23 peut être comparé à l’équipe de fin de saison 2011-12 qui était alors dirigée par Randy Cunneyworth.

« Il ne faut pas remonter aussi loin qu’à Oleg Petrov pour voir une équipe aussi lamentable. Rappelons-nous de la fin de saison 2011-12 avec Randy Cunneyworth derrière le banc. Peter Budaj était devant le filet. Mike Blunden, Rene Bourque, Chris Campoli, Gabriel Dumont, Blake Geoffrion, Josh Gorges était un pilier, Louis Leblanc, Aaron Palushaj, Frédéric St-Denis, Brad Staubitz et compagnie… ça t’en bouche un coin mon ami! »

Mathias Brunet, BPM Sports

Tout comme cette année, le Canadien possédait, à cette époque, une bonne relève comme PK Subban, Max Pacioretty et Carey Price.

Néanmoins, comme le mentionne Brunet, le Tricolore d’aujourd’hui possède encore de meilleurs jeunes espoirs comme Nick Suzuki, Kirby Dach et Cole Caufield, ce qui rend les choses beaucoup plus encourageantes.

Lors de cette fameuse saison 2011-12, le Canadien avait terminé le calendrier régulier avec une fiche de 31-35-16 pour un total de 78 points en 82 matchs.

L’équipe avait alors sélectionné Alex Galchenyuk au troisième rang de l’édition 2012 du repêchage de la LNH.

Vous pouvez également entendre l’intégralité du segment en cliquant ICI.

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Mathias Brunet ne voit pas Denis Gurianov avec le Canadien l’an prochain

La semaine dernière, nous vous rapportions les propos qu’avait tenus Dany Dubé au sujet de l’attaquant du Canadien de Montréal Denis Gurianov. Dubé ne voyait pas grand-chose en Gurianov.

Maintenant, c’est au tour du journaliste de La Presse Mathias Brunet d’offrir son opinion au sujet du nouveau venu du Tricolore. De passage à BPM Sports, Brunet a donné le fond de sa pensée sur ce que le directeur général du CH Kent Hughes devrait faire avec le dossier Gurianov.

« L’an prochain, à droite, tu as Caufield, Anderson, Gallagher, […], Armia, Ylonen. Ylonen est en avant de Gurianov, ce n’est même pas proche. […] Pour le garder avec une offre qualificative, c’est 2,9 (millions)… Non merci! »

Mathia Brunet

Le directeur général du Canadien de Montréal Kent Hughes avait échangé l’attaquant Evgenii Dadonov aux Stars de Dallas en retour de l’attaquant Denis Gurianov lors de la dernière date limite des transactions. Depuis cette transaction, Gurianov a pris part à 16 rencontres récoltant au passage 5 buts et 3 mentions d’aide pour un total de 8 points. Pour donner une idée de l’ampleur de son amélioration, Gurianov n’avait récolté que neuf points, dont deux buts, en 43 rencontres avec les Stars cette saison.

Afin d’écouter l’entretien au complet, veuillez consulter la publication ci-dessous.

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Mathias Brunet témoin de l’intimidation de son fils

Sur son profil Facebook, le chroniqueur sportif Mathias Brunet a rapporté avoir passé un dimanche bien particulier en compagnie de son fils, Charles-Émile.

Son fils, âgé de 13 ans, « agissait comme arbitre lors du Festival de la pré-académie », comme le rapporte Brunet.

Tout aurait dû bien se passer, mais c’était sans compter sur un coach « gueulard » qui s’est acharné son fils.

« Un homme dans la quarantaine, au moins 6 pieds plus de 200 livres, furieux, en train de vociférer à quelques pieds de sa victime, un petit bonhomme de 13 ans, 4 pieds 9 et 70 livres, une scène pathétique. J’ai explosé. Je me suis levé et j’ai sommé d’un ton ferme et sec, j’en conviens, cet homme de cesser de haranguer l’arbitre, en lui rappelant que c’était un garçon de 13 ans. Sa réaction? Furieux, il a réclamé sur le champ la présence des responsables du tournoi pour m’expulser du terrain!!! », a rapporté avec précision le journaliste Mathias Brunet, qui, cette fois-ci, avait troqué son amour pour le hockey pour le ballon rond.

Une nouvelle ? : scoop@buminteractif.com