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La violence à l’écran modifie les fonctions cérébrales des garçons

Des scientifiques viennent de démontrer que la violence engendre des altérations au niveau de la maturité du cerveau et de ses fonctions chez les jeunes adultes de sexe masculin.

Évidemment, ces modifications prennent racine plus tôt dans la vie des garçons. Les chercheurs ont demandé à de jeunes hommes de tenir un journal de leurs habitudes télévisuelles pendant un an, explique Science World Report.

Ces mêmes participants ont également complété une série de tests psychologiques mesurant le niveau du contrôle inhibiteur, de la mémoire et de l’attention. Ensuite, ils ont été soumis à une imagerie par résonnance magnétique (IRM) mesurant chaque structure du cerveau.

Les résultats ont été surprenants, rapporte Tom Hummer, l’un des chercheurs. « Nous avons réalisé que plus l’homme regardait des émissions violentes, pire étaient ses résultats basés sur l’attention et le contrôle cognitif. »

De plus, les participants visualisant plus de violence démontraient un cerveau « immature », puisque le volume de la matière blanche du lobe pariétal et frontal était moins développé.

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Percée scientifique sur le cerveau infantile

Des chercheurs américains viennent de réussir à détecter certains éléments du cerveau de jeunes enfants en employant une imagerie par champs magnétiques plus avancée que celle utilisée habituellement.

On peut désormais percevoir des lésions à la matière blanche du cerveau infantile, chose qui demeurait impossible jusqu’ici.

L’enjeu réside en ce que ces lésions constituent la cause la plus fréquente de retard ou de handicap neurologique chronique chez les enfants atteints de paralysie cérébrale.

Ainsi, la reconnaissance hâtive de ces lésions dans la matière blanche de bébés prématurés pourrait réussir à éviter certains retards quant à la thérapie à adopter. Le personnel médical serait plus apte à identifier rapidement de possibles complications.

Ces blessures se produisent durant le développement cérébral, au moment où les fibres nerveuses sont enveloppées de myéline. Celle-ci sert d’isolant aux fibres nerveuses qui sont responsables de la transmission des messages au cerveau.

Les bébés prématurés sont particulièrement vulnérables à ce type de lésions, lesquelles peuvent engendrer des déficiences se prolongeant toute la vie – l’incapacité à marcher et des troubles d’apprentissage, notamment.

Les résultats complets de cette étude sont parus dans Annals of Neurology.

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La méditation améliore les connexions au cerveau

Des chercheurs américains ont constaté que la méditation augmentait les connexions entre différentes parties du cerveau.
 
Ils ont comparé l’activité cérébrale de personnes adeptes de la méditation et d’autres qui n’en faisaient pas.
 
La différence notée est au niveau de la matière blanche du cerveau. Selon Neuroimage, celle-ci est composée de faisceaux qui font la connexion entre les parties du cerveau et envoient les signaux nerveux.
 
Chez les personnes qui sont des adeptes de la méditation, il y a plus de faisceaux dans la matière blanche et en plus, ils sont plus denses. Cela réduit l’atrophie cérébrale, notamment liée à la maladie d’Alzheimer, ainsi que le déclin normal lié à l’âge, qui est beaucoup moins important.
 
On croit que la méditation renforce le système immunitaire, ce qui aide à conserver la matière blanche, ou encore que les personnes qui méditent ont un cerveau différent composé de plus de connexions.