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Comment se débarrasser des tics nerveux de son enfant

Selon Top Santé, ces mouvements répétitifs qui nous agacent peuvent apparaître vers l’âge de 3 ou 4 ans. Vous ne devriez pas vous en inquiéter si ceux-ci ne perdurent pas au-delà de 10 ans.

Un tic est un geste involontaire. Souvent inconscient, il est lié à de l’inconfort ou de la tension, et ce petit mouvement brusque est libérateur pour l’enfant. La durée de ces tics ne doit cependant pas s’échelonner sur plus d’un an.

En tant que parent, vous devez être attentif dès les premiers signes d’un tic. Sans dramatiser, il faut néanmoins vous en occuper sans attendre. Un truc suggéré par le psychologue Harry Ifergan consiste à demander à votre enfant de vous confier chaque soir une chose positive et négative de sa journée. L’objectif est de l’écouter pour libérer ses tensions et diminuer son tic nerveux.

L’enfant se sent déjà « coupable et anxieux », selon Ifergan. Ainsi, il faut éviter les remontrances si votre enfant bâille ou renifle sans arrêt. Ce sont sans doute des tics, et il faut plutôt l’aider à communiquer ce qu’il ressent.

Changez-lui les idées, il doit libérer son esprit. Allez jouer avec lui, racontez-lui une histoire ou faites-le relaxer dans un bain.

Dans le doute, consultez votre pédiatre.

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La malbouffe n’est pas la cause majeure de l’obésité infantile

Medicalnewstoday.com rapporte les résultats d’une nouvelle étude qui affirme que le problème sous-jacent à la malbouffe provient du foyer des enfants qui souffrent d’obésité. Est-ce réellement une surprise?

Les chercheurs de l’Université de la Caroline du Nord, à la Chapel Hill’s Gillings School of Global Public Health, sont d’avis que la malbouffe ne représente qu’une parcelle du vrai problème. En fait, l’augmentation rapide du taux d’obésité chez les jeunes est la résultante de mauvaises habitudes alimentaires qui prennent source à la maison.

Les choix alimentaires des enfants sont le reflet de ce qu’ils mangent à la maison, ni plus ni moins. Ceux-ci ne sont pas habitués à manger des fruits et des légumes. On favorise plutôt la consommation d’aliments à haute teneur en sucres et en gras, de produits transformés et de repas congelés. Par la suite, les environnements scolaires encouragent le même schéma.

« Voilà ce qui rend réellement les enfants obèses », ont affirmé Barry Popkin et W.R. Kenan Jr., les spécialistes responsables de la recherche. « Consommer de la malbouffe est un comportement résultant de mauvaises habitudes alimentaires. »

Les données ont été récoltées entre 2007 et 2010 auprès de 4466 enfants de 2 à 18 ans, par l’entremise d’une étude intitulée National Health and Nutrition Examination Survey (NHANES).

Les résultats sont publiés dans The American Journal of Clinical Nutrition.