Catégories
Uncategorized

Les parents doivent prendre une part de responsabilité pour l’obésité de leurs enfants

L’équipe de recherche menée par Dre Eliana M. Perrin, de l’Université de médecine de la Caroline du Nord, a récemment publié une nouvelle étude dans la revue Pediatrics.

Les experts ont évalué 863 familles à faible revenu et leurs nourrissons, dans le cadre d’un programme de prévention de l’obésité nommé Greenlight.

Les résultats ont révélé que les mauvaises pratiques des parents sont en grande partie responsables de l’augmentation du risque de surpoids et d’obésité de l’enfant, et ce, dès l’âge de 3 ans.

Chez 12 % des familles, la nourriture solide avait été introduite avant 4 mois, ce qui suggère un risque d’obésité, selon d’autres études, rapporte Medical News Today.

De plus, 43 % des parents mettaient leur enfant au lit avec une bouteille de lait, et 23 % ont admis qu’ils tenaient la bouteille, ce qui peut mener à du gavage.

Environ 20 % des répondants nourrissaient leur bébé dès qu’il pleurait, et 38 % insistaient pour que l’enfant termine sa bouteille de lait.

Enfin, 50 % des bébés étaient placés régulièrement devant la télévision.

Catégories
Uncategorized

L’influence du père sur la santé de son enfant

« Au lieu d’affirmer “Vous êtes ce que vous mangez”, il faudrait plutôt dire “Vous êtes ce que votre père a mangé” », déclare Anne Ferguson-Smith, professeure de génétique à l’Université de Cambridge (Royaume-Uni).
 
Les problèmes cardiaques, le stress, les mauvaises habitudes alimentaires, la tentation pour le tabac et les drogues seraient donc tous des éléments qui modifient les gènes du père et qui se transmettent par ce dernier à ses enfants.
 
En ce qui a trait aux maladies du cœur, il semblerait que ce problème génétique ne se transfère que par le chromosome Y, donc entre père et fils ou entre oncle et neveu.
 
Quant aux autres troubles de santé ou mauvaises habitudes de vies énoncées ci-dessus, ils toucheraient tant la progéniture masculine que féminine, et pour la plupart (stress, tabac, mauvaise alimentation), ils traverseraient même plusieurs générations.
 
C’est ce que révèlent plusieurs études britanniques et américaines qui sont relayées dans un article du Daily Mail.
 
En observant des milliers d’hommes et leurs enfants, les chercheurs ont conclu qu’il est impossible de se battre contre ses gènes. Toutefois, il y a des changements de vie qui peuvent améliorer la qualité des gènes et la situation.
 
« Vous pouvez réduire votre risque en atténuant les effets et les dangers tels que le surpoids, une forte pression artérielle ou un taux de cholestérol élevé », a admis Lisa Bloomer, auteure de l’étude.
 
Catégories
Uncategorized

L’obésité infantile est liée aux mauvaises habitudes, pas à la génétique

Des chercheurs américains de l’Université du Michigan ont observé les élèves de treize collèges.
 
Selon l’American Heart Journal, ils ont constaté que la génétique n’avait souvent rien à voir avec l’obésité infantile de ces derniers.
 
Les enfants qui étaient obèses ou en surpoids mangeaient le plus souvent à la cantine et ces dernières servent des repas déséquilibrés et gras aux jeunes. Toutefois, la loi Hunger-Free Kids, votée en 2010, prévoit des menus plus sains et faibles en gras et en sel prochainement.
 
Ces jeunes, en plus de manger des aliments qui n’étaient pas sains pour leur santé, faisaient moins de sport et passaient plus de temps devant la télévision ou à jouer à des jeux vidéo.
 
« Pour l’enfant en surpoids extrême, le dépistage génétique peut être envisagé. Pour les autres cas, l’augmentation de l’activité physique, la réduction du temps passé devant l’écran et l’amélioration de l’équilibre nutritionnel des repas scolaires sont des mesures beaucoup plus prometteuses pour inverser les tendances actuelles à l’obésité chez les enfants », disent les chercheurs.