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Hollywood PQ

Patrice Bélanger à la rescousse d’un candidat de Survivor Québec

Ghyslain, l’un des candidats clés de l’aventure Survivor cette année, de la tribu Nawa, nous a une fois de plus inquiétés et a dû avoir recours à l’intervention du médecin.

Rappelons qu’au cours des épisodes précédents, ce dernier avait été piqué par un scorpion, ce qui l’avait rapidement conduit au camp de base pour des observations plus approfondies.

Lors du dernier épisode, les deux tribus se sont affrontées lors d’une épreuve où les participants devaient se tenir le plus longtemps possible sur une barre sans tomber. Cette épreuve s’est déroulée dans des conditions difficiles, sous un soleil brûlant et une chaleur dépassant les 40 degrés, un défi qui a eu raison de Ghyslain.

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Après avoir fait une chute tête première dans l’eau, quelques minutes plus tard, il a visiblement été pris d’un important malaise, tombant à la renverse comme s’il allait perdre connaissance.

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Rapidement, l’animateur Patrice Bélanger et ses collègues sont intervenus pour le sortir de l’eau et le faire évaluer par le docteur de l’émission.

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Heureusement, son état s’est rapidement amélioré et Ghyslain a pu poursuivre son parcours dans l’aventure…

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Grands Titres

Radié par le Collège des médecins pour une vasectomie ratée.

Le Collège des médecins a radié un médecin de Sherbrooke pour une période de deux mois en raison d’une vasectomie ratée qui a mené à une grossesse non désirée.

C’est en mars 2017 qu’un couple a eu la surprise d’apprendre que la mère était enceinte, et ce, alors que le père avait subi une vasectomie en janvier 2016.

Comme l’a expliqué le Collège des médecins, un spermogramme qui date du 5 mai 2016 indique chez le patient «la présence abondante de spermatozoïdes, établissant l’échec de la procédure de stérilisation».

Dans le document du Collège des médecins, on y a apprend que le Dr Claudio Jeldrès a admis avoir manqué de diligence dans le suivi post-vasectomie de son patient. L’urologue a aussi reconnu «d’emblée l’existence de lacunes dans la chaîne de communication de l’information au sujet de ce patient; ultimement, c’est lui qui est responsable du suivi médical de celui-ci».

Toujours dans le même document, le Collège des médecins a précisé que «dans sa version écrite des faits, [Dr. Jeldrès] allègue ne pas avoir reçu ce rapport en raison d’une problématique survenue dans la transmission des résultats du spermogramme avec le dossier médical électronique Ariane du centre hospitalier.»

Le patient qui a fait l’objet d’une vasectomie raté réclame avec sa conjointe une somme de 857 000$ au CIUSSS de l’Estrie-CHUS et au Dr Claudio Jaldrès dans une poursuite civile.

Le couple affirme que sa famille a dû composer avec d’importantes conséquences en raison de l’arrivée imprévue de cet enfant, dont un déménagement dans une maison plus grande.

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Grands Titres

Ce père trisomique dont le fils est devenu médecin prouve qu’avec de l’amour, tout est possible

Un médecin a souhaité rendre hommage à son père qui est atteint de trisomie 21.

Jad Issa est atteint de trisomie 21 et cela ne l’a jamais empêché de réaliser ses rêves, dont celui d’être père.

Sader, le fils de Jad Issa, a donc eu la chance de grandir dans un foyer aimant et c’est d’ailleurs le premier souvenir qui lui revient en tête lorsqu’il pense à son enfance. En effet, comme l’a déjà confié Sader, ce dernier a eu la chance de passer beaucoup de temps avec son père lorsqu’il était enfant et ainsi, il n’a jamais manqué d’affection et d’amour.


Pendant toute l’enfance de Sader, Jad a travaillé dans un moulin à blé et il s’est fait un devoir d’économiser de l’argent pour les études de son fils.

Aujourd’hui, Sader gagne sa vie en tant que dentiste et il est extrêmement reconnaissant à l’égard de son père: «Je pense que j’aurais été beaucoup moins enthousiaste dans la vie et beaucoup moins passionné par ce que je fais si je n’avais pas eu ce père si spécial.»


Le métier de dentiste est l’un des mieux rémunérés en Syrie et Sader gagne donc très bien sa vie.

D’ailleurs, Jad ne manque jamais la moindre occasion pour souligner que son fils «est médecin». Comme l’a expliqué Jad, il ne vante pas la réussite de son fils par égocentrisme, mais tout simplement parce qu’il est très fier de lui.

Sader a expliqué que même si ses parents sont ensemble depuis des décennies, l’amour entre sa mère et son père est encore aussi fort que s’ils s’étaient mariés hier.


Les parents de Sader prennent toujours soin l’un de l’autre et ils adorent se promener ensemble, ou tout simplement discuter pendant des heures.

Enfin, selon Sader, il ne serait jamais devenu médecin sans l’aide et la fierté de son père.

Quelle histoire inspirante!

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Divertissement

Kanye West se blesse en textant!

Le rappeur a lui-même révélé la situation cocasse dans un message publié sur Twitter, et retiré depuis.

La vedette de 43 ans a reçu une injection pour soulager des douleurs à sa main droite. Il a lui-même confirmé que le médecin traitant lui a administré «un mélange de cortisone et de lidocaïne».

Kanye West y est même allé d’une explication:

«Trop de messages textes.»

«La lidocaïne fonctionne immédiatement, la dexaméthasone met 24 à 48 heures à faire effet», a indiqué la vedette dans la vidéo qu’il a diffusée de son injection.

Le célèbre chanteur poursuit toujours sa croisade afin d’accéder au titre de président des États-Unis

Il se présente comme indépendant dans la course dominée en ce moment par le démocrate Joe Biden qui devance le républicain Donald Trump qui brigue un second mandat à la Maison-Blanche.

Photo : Cover Images

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Potins

Laurent Duvernay-Tardif a terminé ses études

Le numéro 76 des Chiefs de Kansas City, Laurent Duvernay-Tardif, devrait bientôt pouvoir ajouter les lettres MD à son uniforme de footballeur.

Le Montréalais a terminé plus tôt cette semaine ses examens finaux en médecine à l’université McGill. Mardi dernier, il affichait sur Facebook un égoportrait avant d’entrer dans une salle de classe. Il coiffait l’image du commentaire : « Huit ans d’études qui se terminent (enfin!) aujourd’hui !!! En route vers Kansas City. »

Le parcours de Laurent Duvernay-Tardif est remarquable. L’ancien porte-couleur des Redmen de McGill est l’une des pierres angulaires de la ligne offensive des Chiefs de Kansas City, l’une des bonnes formations de la NFL. 

Les Chiefs ont reconnu le talent de footballeur du colosse en lui octroyant un généreux contrat de 42,3 millions de dollars US pour cinq ans en février 2017. Ce contrat, incluant un boni de signature de 10 millions de dollars, faisait de lui l’un des joueurs de ligne les mieux payés de son sport.

Ce qui rend le parcours de Duvernay-Tardif si remarquable, c’est qu’il évolue dans la meilleure ligue de football du monde, tout en poursuivant des études en médecine. Alors que les autres joueurs peuvent récupérer lorsque la saison leur offre des congés, LDT lui devait se plonger dans les livres, ou soigner des patients à Hôpital général de Montréal

En devenant médecin, Laurent Duvernay-Tardif réalisera un exploit. En effet, malgré le fait que des joueurs de football soient bien scolarisés, jamais dans l’histoire de la NFL un joueur n’est parvenu à devenir médecin. 

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Laurent Duvernay-Tardif pourra donc ajouter fièrement les lettres MD à son uniforme lors du premier match de la saison des Chiefs, dès le 9 septembre prochain, alors que Kansas City rendra visite aux Rams à Los Angeles.

Un scénario qui pourrait bien inspirer Hollywood.

Photo : Facebook, Laurent Duvernay-Tardif 

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Sport et Santé

Ebola : Un médecin mort aux États-Unis

L’AFP rapporte le message que le Nebraska Medical Center a rendu public à la suite du décès.

« Nous avons l’immense regret d’annoncer que le troisième patient que nous avons traité pour l’Ebola, le docteur Martin Salia, est décédé du fait des symptômes très avancés de la maladie. »

Le centre hospitalier avait déjà réussi à sauver deux patients atteints du virus avant le Dr Salia. Mais ce dernier était « dans un état critique ». Le Dr Phil Smith a indiqué que le patient a dû être placé dès son arrivée en dialyse et branché au respirateur artificiel.

Dr Smith rappelle aussi que pour le moment, la guérison de la maladie relève surtout de la prise en charge le plus tôt possible lors de l’apparition des symptômes.

L’épidémie, loin d’être enrayée, a cependant été éliminée du Congo, rapportaient les autorités locales samedi dernier (15 novembre).

Le ministre de la Santé, Félix Kabange Numbi, a déclaré qu’une aide spécialisée de 180 personnes serait déployée dans les pays où l’Ebola sévit toujours (Guinée, Sierra Leone, Liberia, Mali).

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Sport et Santé

Certains médecins n’arrivent pas à détecter les patients obèses

Des chercheurs de l’Université de Liverpool ont réalisé que la majorité des gens, de toute façon, sont incapables de déterminer par un simple examen visuel si une personne est obèse, en surpoids ou a un physique considéré comme sain.

Pour en arriver à cette conclusion, de nombreuses personnes ont simplement « étiqueté » des photos d’hommes dans les catégories appropriées, informe Science World Report.

Dans certains cas, même des spécialistes, à l’aide d’une image, faisaient erreur. Certains hommes en surpoids étaient classés dans la catégorie « poids santé ».

Pour les chercheurs, il est important qu’un médecin soit en mesure de détecter une personne qui a besoin de revoir ses habitudes alimentaires et son style de vie simplement en la regardant.

« Ceux qui faisaient souvent erreur étaient principalement des médecins stagiaires, mais il y avait aussi des médecins d’expérience », rapporte Dr Eric Robinson, chercheur responsable de l’étude.

Qui plus est, la recherche a permis de comprendre que même les spécialistes sous-estimaient la gravité du problème de surpoids de beaucoup de gens.

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Uncategorized

De sévères lacunes dans la détection de la malnutrition au Canada

Les centres hospitaliers et les médecins canadiens auraient du mal à détecter ou à prendre le temps de détecter les problèmes de malnutrition chez les patients qui se présentent aux urgences et en consultation, révèle une nouvelle étude.

La recherche, sous forme de sondage et rapportée par MedicalNewsToday, estime qu’il existe un écart significatif entre les pratiques jugées optimales et nécessaires dans la détection de la malnutrition, et celles observables sur le terrain au quotidien.

Menée par la Canadian Malnutrition Task Force, l’étude-sondage révèle que la plupart des médecins (87 %) estiment que les questions de nutrition sont vitales dans le maintien de la bonne santé et afin de tracer un bon diagnostic, lors de l’admission d’un patient et lors de son départ de l’hôpital.

« La malnutrition et les problèmes alimentaires des patients hospitalisés est une question qui peut affecter les soins de service au final, incluant la durée des soins nécessaires », mentionne la Dre Peggi Hunter de l’American Society for Parenteral and Enteral Nutrition (A.S.P.E.N.)

Cependant, seulement 33 % s’attarderaient à cette question lors de l’admission d’un patient, et 29 % lors du départ de celui-ci.

Les résultats de la recherche et du sondage ont été publiés dans le journal de l’A.S.P.E.N.

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De plus en plus de médecins choisissent le privé

Ce n’est pas qu’une impression, semble-t-il, et il ne s’agit pas d’un phénomène réservé aux patients et aux usagers du système de santé québécois : les médecins aussi choisissent de plus en plus le privé au Québec.

Voilà le constat rapporté par Radio-Canada, qui propose des statistiques en la matière. Le spécialiste Louis Demers et le nouveau président de la Fédération des médecins omnipraticiens du Québec, le Dr Louis Godin, étaient d’ailleurs de passage à la première chaîne pour discuter du dossier.

On apprend que la tendance des médecins vers le privé est en constante progression depuis quelques années, soit depuis 2007, et que rien ne semble indiquer une baisse à venir.

Alors qu’en 2007, le nombre de médecins qui effectuaient leur pratique au privé était de 65, ils sont maintenant 201 en 2014.

L’environnement de travail des médecins et les conditions parallèles, ainsi que la lourdeur du système, seraient au nombre des raisons qui expliquent le phénomène, selon les invités de Bruno Savard.

Un constat qui peut en alarmer certains, mais qui démontre une véritable tendance que l’on ne pourra plus continuer d’ignorer longtemps au Québec.

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Des médecins s’inquiètent d’éventuels surdiagnostics de la maladie d’Alzheimer

Pourrait-on voir un phénomène de surdiagnostics de la maladie d’Alzheimer dans le futur, notamment avec la hausse des cas potentiels liés au vieillissement global de la population? C’est la conclusion que proposent des médecins britanniques dans une nouvelle étude, rapporte Top Santé.

Ces derniers estiment à 44 millions le nombre de personnes qui souffrent de troubles et déclins cognitifs, un nombre qui pourrait tripler d’ici 2050.

La hausse ouvre donc la porte aux diagnostics de plus en plus hâtifs, ce qui n’est pas une mauvaise chose en soi puisque la maladie d’Alzheimer peut être ralentie lorsque prise en charge rapidement.

Mais il existe un piège. « Fixer des objectifs pour le nombre de diagnostics de la maladie d’Alzheimer est dangereux. Le désir de faire grimper les taux pourrait pousser certaines personnes à être diagnostiquées à tort », explique le Dr Martin Brunet.

De nombreuses autres maladies et divers autres troubles de santé font également partie de ce qu’on appelle communément la « démence », et les médecins britanniques s’inquiètent de voir les patients qui en souffrent être mal diagnostiqués et, par conséquent, traités.

On estime cependant que la maladie d’Alzheimer représente jusqu’à 80 % des cas reconnus de démence.