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Une pomme par jour peut changer la donne en santé cardiovasculaire

« Une pomme par jour éloigne le médecin pour toujours » n’est pas une maxime entièrement véridique, mais elle ne se révèle pas complètement fausse non plus, surtout si on parle de cardiologie, selon ce que l’on comprend des informations rapportées par MedicalNewsToday.

Selon les conclusions des chercheurs d’Oxford, publiées dans le BMJ, le simple fait de manger une pomme quotidiennement pourrait largement changer la donne en matière de santé cardiovasculaire, et ainsi réduire les risques de décès liés aux maladies et aux troubles cardiaques.

Ce fait serait particulièrement observable chez les personnes âgées de 50 ans et plus, toujours selon l’équipe de chercheurs britannique.

On prétend même que le simple fait de croquer une pomme par jour aurait des effets similaires aux fameuses statines, prescrites massivement pour enrayer les risques de problèmes cardiaques et pour réguler les taux de cholestérol dans le sang.

« Les victoriens avaient vu juste quand ils sont arrivés avec l’adage “Une pomme par jour éloigne le médecin pour toujours”, et cela ne fait que démontrer à quel point un petit changement dans l’alimentation peut avoir un gros impact », lance en conclusion le Dr Adam Briggs, de la British Heart Foundation, coauteur de l’étude.

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Les hypocondriaques et Google ne font pas bon ménage

De plus en plus de gens consultent Google pour obtenir des explications médicales sur certains symptômes, ce qui agace un bon nombre de spécialistes et de praticiens, selon ce que rapporte le Telegraph (UK).

C’est que non seulement le célèbre moteur de recherche et les nombreux forums de discussion inhérents ne sont pas conçus pour diagnostiquer, ils ne font souvent que jeter de l’huile sur le feu pour les personnes sensibles ou carrément hypocondriaques.

Véritable phénomène en pleine progression, la « cyber-hypocondrie » ne fait que créer des paniques inutiles et perdre un temps précieux aux médecins qui doivent se battre contre un faux premier « diagnostic », croit justement le Dr Thomas Fergus de l’Université Baylor, au Texas.

Fergus croit que les dangers liés à l’utilisation de Google ou d’un autre moteur de recherche pour des fins de diagnostic sont nombreux. D’abord, les gens pourraient décider de s’automédicamenter en se basant sur ces résultats, mais plusieurs patients ressentiront aussi une anxiété et une détresse psychologique devant une situation qui n’existe probablement pas ou qui s’avère une distorsion de la réalité.

On conseille vivement de plutôt consulter un médecin pour connaître les explications entourant un ou plusieurs symptômes.

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Le paradoxe canadien des médecins spécialistes

Radio-Canada rapporte un paradoxe aussi frustrant qu’étonnant, alors qu’une nouvelle étude révèle qu’un taux élevé de médecins spécialistes canadiens peinent à se trouver un emploi.

Incroyable, quand on pense aux problèmes criants du système de santé actuel, spécialement au Québec. Ce serait donc 7,7 % des nouveaux médecins spécialistes qui affirment avoir du mal à se dénicher un emploi, un chiffre qui grimpe à 16 % sur l’ensemble du territoire canadien.

42 % affirment souhaiter suivre une formation complémentaire afin d’améliorer leurs chances, mais plusieurs se demandent comment les autorités peuvent se permettre de se priver de toutes ces ressources disponibles sur le marché.

C’est le cas de Danielle Fréchette, qui dirige l’étude commandée par le Collège royal des médecins et chirurgiens du Canada.

« Pour nous, un neurochirurgien ou n’importe quel autre médecin spécialiste qui est sans emploi est problématique quand on pense aux listes d’attente des patients. Comment est-ce qu’on peut s’organiser pour répondre à leurs besoins? Il faut penser aux patients et aux listes d’attente que subissent ces patients. Pourquoi est-ce qu’on ne peut pas arrimer la production du système de formation avec les ressources qui sont disponibles et arrimer les ressources avec les besoins de la population? » s’interroge Fréchette, avec une pointe d’impatience bien sentie.

Le Collège royal des médecins et chirurgiens du Canada doit tenir un sommet l’hiver prochain, afin de voir comment cette situation pourrait être améliorée.

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Quand le iPhone devient le iDocteur

Le Telegraph (UK) propose un article des plus intéressants sur les capacités actuelles et futures de l’iPhone et des téléphones intelligents en matière de santé.

Si on connaissait déjà quelques-unes des applications proposées, d’autres piquent la curiosité, stimulent l’imaginaire ou surprennent carrément.

Notamment, le journaliste scientifique correspondant Richard Gray mentionne l’application qui permet de « lire » les battements du cœur et de définir l’état de santé d’un individu, comme un électrocardiogramme retrouvé en centre hospitalier.

La pression sanguine, la respiration, la toux et même les signes de commotion cérébrale peuvent également être analysés par un simple téléphone intelligent, tout comme l’ouïe et les capacités visuelles.

Mais il y a plus. Une application de l’iPhone permettrait également d’analyser les cycles du sommeil, alors qu’une autre peut « lire » dans vos empreintes digitales. Bien sûr, une autre pourra tout simplement analyser les symptômes proposés et en arriver à un diagnostic initial virtuel.

La liste se poursuit et continuera de s’allonger, démontrant que les nouvelles technologies peuvent et pourront améliorer certains de soins de santé ainsi que leur proximité, mais pourront également réduire les coûts annuels liés à la santé et désengorger certains départements.

Richard Gray espère voir des études cliniques confirmer officiellement les propriétés médicales possibles des téléphones comme le iPhone, et ainsi changer littéralement une partie de la face du monde médical tel qu’on le connaît.

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Des professionnels de la santé qui mentent à leurs patients

Il ne faut pas être le plus rusé des limiers pour se rendre compte que certains membres des corps médicaux et des travailleurs de la santé décident parfois de nous mentir, souvent pour notre propre bien.

Ce qui est moins familier, c’est d’entendre ces mêmes professionnels nous l’avouer! C’est pourtant exactement ce que dévoile le Telegraph (UK), alors qu’une étude britannique confirme ce dont plusieurs se doutaient déjà.

L’étude, en provenance de l’Université Newcastle, parle même d’une moyenne de plus de 70 % des intervenants en centre hospitalier ou en clinique qui avouent mentir à leurs patients!

Certains des mensonges impliquent de ne pas révéler un décès sur-le-champ, d’acquiescer à une personne aux prises avec des problèmes de démence ou encore de minimiser un état de santé jugé pourtant assez grave.

Il semble que malgré les taux alarmants de mensonge reconnus, il appert que ceux-ci sont le plus souvent du temps inscrits dans une stratégie psychologique visant soit à ménager un patient, soit à lui procurer un état d’esprit jugé pertinent par le spécialiste ou le médecin lors d’un moment précis.

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L’influence de la lune sur le coeur serait bien réelle

La pleine lune et ses effets sur l’être humain sont bien connus, et ce, depuis la nuit des temps. Or, il ne s’agit en fait que de théories, puisqu’elles sont souvent rejetées par la communauté scientifique qui n’aime pas ce genre d’histoires.

Voilà maintenant que certains spécialistes, dont des chirurgiens, avouent être en mesure de tracer et d’admettre un lien entre le cycle de lune, particulièrement la pleine lune, et des réactions cardiaques, selon le Daily Mail (UK).

Ces révélations et observations sont compilées dans une étude, effectuée à l’hôpital du Rhode Island, qui a suivi 210 patients entre 1996 et 2011.

Tous ces patients ont subi une chirurgie sérieuse à un moment ou à un autre, et la tendance tend à démontrer que ceux qui ont eu la « chance » de se retrouver sur la table d’opération alors que la lune est à son plus faible avaient de meilleures statistiques de survie.

« On a découvert que les chances de mourir des suites d’une procédure étaient grandement réduites durant la décroissance de la lune… », explique entre autres le chirurgien cardiothoracique et chercheur en chef, Frank Sellke.

Bien que plusieurs personnes n’acceptent carrément pas l’existence du phénomène, on est en droit de se demander combien d’autres théories concernant les effets de la lune pourraient être confirmées si celle-ci s’avère exacte!

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Se protéger soi-même contre les erreurs médicales par la proactivité

The National Library of Medicine publie une liste de recommandations qui s’applique parfaitement à la population québécoise. Elle traite des mesures et des moyens à prendre pour prévenir le plus possible les erreurs médicales.

On le sait, le Québec est secoué par une crise de la santé depuis quelques années, son système n’ayant pas toutes les ressources et le personnel nécessaires.

De plus, le personnel présentement en place est souvent surutilisé, et donc fatigué, ce qui ouvre la voie à des erreurs de tout acabit en centre hospitalier.

Bien qu’il soit impossible de prévenir complètement ce type d’erreur, et ce, peu importe la zone géographique, l’association américaine propose d’abord de bien renseigner votre médecin traitant de votre historique médical, de vos allergies ainsi que de vos habitudes de consommation alimentaire et de médicaments (prescrits ou en vente libre).

Bref, ne gardez aucun renseignement par timidité, et l’on suggère de choisir son hôpital lorsque la situation le permet. Soyez alertes et documentez-vous auprès de sources et d’organisations de la santé fiables.

Un comportement proactif et responsable permet de donner une longueur d’avance au personnel médical qui vous traite et d’ainsi minimiser les chances d’erreurs médicales.

he National Library of Medicine publie une liste de recommandations qui s’applique parfaitement à la population québécoise. Elle traite des mesures et des moyens à prendre pour prévenir le plus possible les erreurs médicales.

On le sait, le Québec est secoué par une crise de la santé depuis quelques années, son système n’ayant pas toutes les ressources et le personnel nécessaires.

De plus, le personnel présentement en place est souvent surutilisé, et donc fatigué, ce qui ouvre la voie à des erreurs de tout acabit en centre hospitalier.

Bien qu’il soit impossible de prévenir complètement ce type d’erreur, et ce, peu importe la zone géographique, l’association américaine propose d’abord de bien renseigner votre médecin traitant de votre historique médical, de vos allergies ainsi que de vos habitudes de consommation alimentaire et de médicaments (prescrits ou en vente libre).

Bref, ne gardez aucun renseignement par timidité, et l’on suggère de choisir son hôpital lorsque la situation le permet. Soyez alertes et documentez-vous auprès de sources et d’organisations de la santé fiables.

Un comportement proactif et responsable permet de donner une longueur d’avance au personnel médical qui vous traite et d’ainsi minimiser les chances d’erreurs médicales.

Crédit photo : www.freedigitalphotos.net

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Vers un « registre » des erreurs médicales?

De plus en plus de gens, de spécialistes et d’observateurs demandent à ce que le public puisse connaître les erreurs médicales commises au pays, afin de pouvoir en savoir plus sur les lieux et les gens qui les traitent.

Il s’agit d’un concept qui soulève la polémique, notamment chez plusieurs médecins, mais qui se base tout de même sur une bonne logique.

C’est ce que semble penser le Collège des médecins et chirurgiens de l’Ontario, rapporte Radio-Canada, alors que l’association propose justement de rendre accessible le bilan des erreurs médicales au grand public.

Comme on aurait pu s’y attendre, les protecteurs et représentants des médecins et de leurs droits de travail s’indignent un peu de cette proposition, prétextant qu’il en va de la réputation de leurs clients et confrères.

Les deux avis se valent, mais avouons qu’une erreur ne devrait pas nécessairement nuire à la réputation d’un précieux praticien, alors que deux ou trois devraient commencer à relever du domaine public.

Qu’en pensez-vous?
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Google prisé par les médecins généralistes

Vous vous dépêchez à vous rendre à l’ordinateur afin de demander à la bible Google des réponses en matière de santé? Votre médecin aussi…

En effet, Top Santé rapporte une étude-sondage qui révèle que près de la totalité des praticiens (96 %) utilisent le moteur de recherche le plus utilisé sur le web, Google.

Si la nouvelle peut sembler inquiétante de prime abord, il faut comprendre que les médecins répondants au sondage affirment s’informer à partir de sources fiables et officielles, et non sur n’importe quel site pris au hasard, une erreur que commet souvent le commun des mortels en quête de réponses.

De plus, internet permet une plus grande efficacité dans le transfert des données et des nouvelles avancées partout dans le monde. Google peut s’avérer utile afin de connaître les nouvelles récentes du monde médical, à condition de savoir où s’informer.

On conseille de puiser des informations du côté des sites officiels des différentes organisations mondiales de la santé, ainsi que des fédérations et agences certifiées.

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Les médecins mal informés sur les effets pervers de certains médicaments

On le sait, l’industrie pharmaceutique est probablement l’une des plus puissantes, influentes et sournoises en cette ère moderne, engrangeant des profits faramineux avec des traitements et des pratiques parfois douteuses.

Ceux qui ignorent encore le phénomène ou qui vouent une confiance aveugle envers ces multinationales productrices de médicaments devront s’éveiller au problème rapidement, car une nouvelle étude publiée hier (10 avril) révèle encore des faits étonnants et inquiétants, selon Radio-Canada.

Selon des praticiens nord-américains et français sondés, il est en effet commun pour eux d’augmenter les prescriptions d’un médicament donné à la suite d’une visite d’un représentant d’une compagnie.

De plus, ils avouent être souvent mal informés des effets négatifs de ces traitements, certains effets secondaires pervers demeurant dans l’ombre…

Au final, c’est le patient consommateur qui se voit floué, ou mal informé, afin que tout le monde puisse entrer dans ses profits.

Publiée dans le Journal of General Internal Medicine, l’étude ne fait que confirmer l’importance de se maintenir en santé par une bonne hygiène de vie et de bonnes habitudes alimentaires, et qu’il est primordial de se questionner sur nos besoins réels en médicaments lorsqu’un problème se présente.