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Prescription pour grossesse – faire l’amour 3 fois par semaine

De nombreux couples croient que pour concevoir un enfant, il faut faire l’amour uniquement pendant l’ovulation. Or, la date peut varier, et vous pouvez manquer le jour fatidique, ce qui n’est pas mieux.

Le mieux, selon des médecins français interrogés par famili.fr, c’est d’avoir des rapports sexuels très réguliers, 3 fois par semaine. Au-delà, on risque de faire l’amour sans qu’il y ait le moindre spermatozoïde dans le sperme, et en deçà, on a simplement moins de chances.

C’est ce que recommandent la Dre Joëlle Bensimhon et la Dre Laurence Lévy-Dutel. Libre à vous de rapprocher ces rapports réguliers (3 jours de suite) ou d’espacer (un jour sur 2). Les résultats sont apparemment les mêmes.

Ceci étant dit, Dre Lévy-Dutel insiste pour éviter de devenir des « automates » et favoriser les relations sexuelles dans un but de rapprochement, de complicité, et non d’obligation.

Sachez aussi que même en étant réguliers, moins de 10 % des couples réussissent à concevoir à l’intérieur des 3 premiers mois. En moyenne, il faut plutôt compter 7 mois. D’autre part, privilégiez une rencontre avec votre médecin avant d’entreprendre votre « pratique régulière ».

Si toutes ces démarches ont été faites, ne consultez pas le médecin à nouveau avant un délai d’un an. Par contre, au-delà de 35 ans, après 6 mois d’essai, il serait bon de faire le point avec le docteur.

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Le Liverpool Care Pathway – une euthanasie utilisée même chez les nouveau-nés

Le Liverpool Care Pathway est scruté à la loupe, à la suite de révélations choquantes de la part d’un médecin qui a souhaité demeurer dans l’anonymat.

En fait, à priori, le processus vise à mettre fin à la vie d’un vieillard dont les jours sont comptés. Il s’agit de lentement le priver de l’hydratation et des nutriments qui sont injectés par intraveineuse. Ce procédé permet une mort rapide (10 jours) et sans souffrance.

Cependant, le gouvernement britannique a ordonné qu’une enquête indépendante soit effectuée à la suite des déclarations d’un médecin. Dans l’article publié, selon telegraph.co.uk, des détails poignants y sont décrits sur les changements physiques atroces subis par les nourrissons, qui « rapetissent et se dessèchent ».

Bien que 130 000 personnes âgées meurent chaque année de cette façon, les familles des vieillards ou des nourrissons qui subissent le Liverpool Care Pathway ne sont jamais préparées voir ça.

En plus, comme le mentionne le médecin en question, « ils sont déjà en état de choc, puisque leur proche chéri mourra. Il est insupportable pour eux de le voir ainsi dépérir ».

L’autre préoccupation du gouvernement est que les familles ne sont pas toujours avisées que les nourrissons mourants sont soumis à ce processus. La grande majorité représente des nouveau-nés atteints d’anomalies génétiques.

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La FDA suggère de voir un médecin avant de consommer des boissons énergisantes

Les boissons énergisantes se retrouvent encore pointées du doigt pour certains cas de décès et de maladies, entre autres aux États-Unis.

Cette fois, l’Agence fédérale américaine de l’alimentation et des médicaments, la FDA (www.fda.gov) , n’hésite pas à lancer une alerte ainsi qu’une série de recommandations.

L’une d’entre elles est de carrément consulter son médecin de famille avant de se lancer dans la consommation de ces produits dits énergisants.

Tout ceci fait suite aux récents scandales qui ont éclaboussé la marque de boissons Monster, à qui l’on attribue la faute pour certains décès qui se sont produits récemment.

Cette fois, c’est la boisson 5-Hour Energy qui se retrouve au banc des accusés, alors que cette dernière serait responsable de certains cas de maladies et de morts subites. Plusieurs autres cas d’hospitalisation en lien avec ce produit ont été recensés au fil des dernières années, dans plus de 92 rapports.

Si l’effet de causalité de ces produits n’est pas démontré entièrement, les spécialistes avisent les consommateurs de ne pas prendre ces recommandations (ainsi que l’impact de ces boissons énergisantes) à la légère.

On recommande donc de se tourner vers son médecin et d’essayer de minimiser au maximum l’absorption de ces boissons.

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Le test maison pour la pression sanguine inefficace?

Les tests maison retrouvés un peu partout dans les foyers d’Amérique du Nord pourraient s’avérer inefficaces, selon une nouvelle étude.

C’est du moins ce que rapporte www.nlm.nih.gov, alors que des chercheurs remettent en doute la véracité des résultats proposés par certains de ces tests.

Cependant, ceux-ci fonctionneraient beaucoup mieux lorsque vient le temps de lire les données d’une personne plus âgée ayant déjà souffert de problèmes cardiaques, voire d’un AVC.

Le reste de la population devrait par contre se méfier. C’est ce que conclut l’étude, qui a suivi des patients sur une période d’un an.

Les chercheurs ont donc donné à un groupe des systèmes de tests de pression sanguine populaires et vérifié les données avec un groupe B.

Les résultats sont clairs pour Hayden B. Bosworth, professeur de médecine à l’Université Duke de Durham : « Il y a des différences marquées entre les données réelles et certains résultats affichés par ces tests. Cela fonctionne pour certaines personnes; il ne faut pas les bannir complètement. Il s’agit simplement de déterminer quels tests s’appliquent à quelles personnes. »

On suggère de consulter votre médecin pour avoir l’heure juste et d’entamer un contrôle efficace de la haute pression.

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Les jeunes conviés à surveiller leur taux de cholestérol eux aussi

Les jeunes adultes et les adolescents devraient déjà commencer à surveiller leur taux de cholestérol dans le sang, propose une étude rapportée par www.nim.nih.gov.

Plutôt que d’attendre à plus tard, lorsque les problèmes surviennent, les chercheurs suggèrent aux plus jeunes de faire du dépistage à cet effet, ce qui n’est pas sans soulever la controverse parmi la communauté scientifique et le public.

Les conclusions, publiées dans le Journal of the American College of Cardiology, tendent à conclure que les mutations naturelles encourues lors du vieillissement normal du corps prendraient une tangente de bonne santé cardiaque lorsque le mauvais cholestérol dans le sang demeure bas toute sa vie.

On affirme que les risques de problèmes cardiovasculaires sont réduits de trois fois par rapport à ceux qu’encourent les gens sous médication pour contrôler le cholestérol.

Mieux vaut prévenir que guérir, donc, est une maxime qui ne s’est jamais aussi bien appliquée que pour cette situation.

Les maladies cardiaques demeurent la principale cause de mortalité à travers le monde et sont responsables du tiers des décès aux États-Unis seulement.

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Enceinte et végétarienne

Selon plurielle.fr, il suffit d’un suivi médical régulier, puis du respect des principes de base pour passer à travers votre grossesse en respectant votre désir de conserver vos habitudes alimentaires.

À priori, le végétarisme signifie une prise en charge de votre alimentation et suggère déjà de bonnes habitudes. Cependant, vous devrez en parler à votre médecin, puisque vous devrez cette fois combler non seulement vos besoins, mais ceux de l’enfant à naître qui, lui, requiert plus.

Ainsi, au fil des mois, le résultat de vos prises de sang aidera votre spécialiste de la santé à voir avec vous de quelle façon pallier les carences, le cas échéant. Rappelez-vous avant tout que le fœtus nécessite de forts apports en fer, en calcium et en acide folique.

Assurez-vous donc de consommer du poisson, des œufs et des produits laitiers chaque jour, à moins d’avis contraire du médecin. Vous voudrez aussi vous tourner vers les céréales riches et les légumineuses, qui apporteront les protéines nécessaires à l’enfant.

En cas de malaise ou de doute quant à votre santé ou celle du futur bébé, consultez votre médecin et assurez-vous de prendre vos suppléments de vitamine C si vous ne consommez pas suffisamment d’aliments qui en contiennent.

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Comment choisir le bon pédiatre

Dès que vous savez que vous attendez un enfant, commencez à chercher un médecin. Une fois que vous aurez le bébé, vous n’aurez ni le temps ni l’envie de devoir en chercher un. Parlez-en à vos copines, qui pourront vous suggérer leur pédiatre.

Puis, renseignez-vous sur le passé et l’expérience des médecins qui vous intéressent. Une fois que la liste sera plus courte, appelez chaque cabinet afin de savoir si le médecin accepte de nouveaux patients. Vous pourrez aussi prendre rendez-vous pour rencontrer le premier pédiatre sur votre liste.

Finalement, vous devez impérativement vous sentir bien avec votre pédiatre et être à l’aise de lui poser toutes les questions qui vous passent par la tête.

Aussi, dites-vous que si cela ne fonctionne pas avec lui après un certain temps, vous pouvez changer de pédiatre sans trop de difficultés.

Rappelons que dans 76 % des cas, le médecin a l’entière confiance des parents. Toutefois, lorsqu’il est question des vaccins et d’autisme, ils trouvent les renseignements qu’ils cherchent auprès de différentes sources.

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L’importance de déclarer ses palpitations à son médecin

Une vaste étude publiée dans l’European Journal of Preventive Cardiology révèle que les palpitations et l’hypertension seraient deux facteurs de risques prédictifs de fibrillation auriculaire (FA).
 
Il s’agit de l’arythmie cardiaque la plus commune. Celle-ci multiplie par trois les risques d’insuffisance cardiaque, par cinq les risques d’accident vasculaire cérébral et double le risque de mortalité.
 
22 815 personnes de 25 à 96 ans ont été suivies pendant 11 ans en moyenne pour cette étude.
 
On constate que les palpitations augmentent les risques de fibrillation auriculaire de 62 % chez les femmes et de 91 % chez les hommes.
 
« Il n’est pas déraisonnable d’envisager une relation causale, car les palpitations décrivent subjectivement des battements cardiaques irréguliers ou une accélération du rythme cardiaque, et il est probable que ces événements correspondent à des cas d’arythmie, une caractéristique principale de la FA », explique le Dr Nyrnes Audhild.
 
Un mode de vie sain est la clé pour réduire l’apparition des palpitations.
 
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Les médecins ont peur de l’obésité infantile

Diabète de type 2, hypertension, obésité… des problèmes qui ne touchaient que les adultes il y a 30 ans et qui atteignent même les bébés aujourd’hui.

Il est très difficile pour les médecins de savoir quoi faire quand un bébé aussi jeune que deux ans est obèse et souffre de problèmes de santé reliés au surplus de poids.

C’est ce qu’a dévoilé à Radio-Canada le Dr Pierre Geoffroy de Toronto, qui s’inquiète pour les jeunes, mais aussi pour les médecins qui font face à l’épidémie d’obésité.

« Les médecins, nous sommes habitués de penser à un diagnostic. Tandis que l’enfant qui vient avec un problème d’obésité, ce n’est pas quelque chose qui nous vient facilement, car c’est un nouveau problème », explique-t-il.

Depuis 2008, le Dr Geoffroy tente de venir en aide du mieux qu’il peut aux professionnels de la santé en leur donnant une formation sur cette réalité déconcertante.

« Honnêtement, je ne peux pas voir comment les médecins que nous avons aujourd’hui vont pouvoir continuer à prendre soin de tous les gens qui vont avoir des séquelles comme le diabète de l’embonpoint chez les jeunes et les personnes très âgées », fait-il valoir.

À l’aube d’un nouveau dépôt budgétaire en Ontario, le monde médical met de la pression et espère que des choix financiers soient faits pour contrer l’obésité chez les jeunes, afin que les choses changent réellement. Il rappelle au gouvernement sa récente promesse révélant son projet de réduire de 20 % l’obésité infantile d’ici 2017.

Rappelons que l’obésité en Ontario, non loin de chez nous, a coûté à la province 4,5 milliards de dollars en frais directs et indirects en 2009.

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Accouchement : les femmes font-elles vraiment ce qu’elles veulent?

Une étude néerlandaise parue dans le Journal of Psychosomatic Obstetrics & Gynecology révèle des critères étonnants qui font en sorte qu’une femme peut ou non accoucher dans la position qu’elle souhaite.
 
Selon les données qui ont été recueillies auprès de 1154 femmes aux Pays-Bas, toutes celles qui ont voulu donner la vie en étant couchées sur le dos (59 %) ont pu le faire. Toutefois, la demande de celles qui voulaient le faire debout ou en position accroupie (20 %) n’a pas été acceptée dans tous les cas, et les autres futures mères (21,5 %) n’avaient pas de préférence pour la position adoptée le jour J.
 
Ce qui influencerait le choix de la sage-femme ou du médecin à accepter la position désirée? La durée du travail de la deuxième étape de l’accouchement, le niveau de l’éducation de la femme et si elle donne naissance à la maison ou en milieu hospitalier.
 
En résumé, les auteurs de l’étude expliquent que si la femme désire accoucher dans une position autre que couchée sur le dos, ceci ne semble être accordé que si le travail dure trop longtemps et que cela oblige à tester des positions différentes.
 
De plus, les femmes qui accouchent à domicile semblent plus libres de réaliser ce qu’elles désirent. Si elles veulent donner la vie en milieu hospitalier de façon accroupie ou debout, les futures mères doivent convaincre le médecin avec de bons arguments et s’être documentées à l’avance pour fournir des propos justifiables. Cela expliquerait pourquoi le niveau d’éducation entre en ligne de compte dans les critères plutôt étonnants de cette étude.