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Jean-François Breau révèle pourquoi il n’a pas choisi la médecine comme profession

Jean-François Breau était l’invité de Je viens vers toi cette semaine, en compagnie de Marc Labrèche et de ses chakras.

C’est lors de son passage sur le plateau que le chanteur a discuté du métier qu’il était cencé exercer avant de devenir célèbre et de travailler dans le milieu musical.

Un sujet qu’il a abordé lorsque l’animateur a voulu savoir pourquoi le chanteur, qui a brièvement étudié en médecine à Moncton pour devenir cardiologue, n’a finalement pas choisi de continuer.

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«J’étais trop distrait. J’allais… en fait c’est bien compliqué, c’est l’université de Moncton, mais en plus de Shippagan. Puis, c’était à 25 minutes de chez nous. J’allais là le matin, je restais chez mes parents… c’était parfait comme scénario pour que je ne paie pas trop cher et que je me concentre sur mes études. Mais, il y avait un piano dans le café étudiant (…) C’est de sa faute au piano, tu comprends?», confie Jean-François avec un brin d’humour, mais beaucoup de sérieux, on le devine.

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Capture Noovo

Qui sait, peut-être sauve-t-il des vies avec sa musique…

On ne peut toutefois pas blâmer celui qui est désormais membre de Salebarbes d’avoir finalement choisi son cœur à lui en faisant le métier qu’il aime!

Saviez-vous qu’il avait étudié en médecine?

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Google Glass fait son entrée en bloc opératoire

C’est fait, les fameuses Google Glass ont fait leur entrée au bloc opératoire, alors que plusieurs hôpitaux ont tenté l’expérience au cours des derniers mois, rapporte le New York Times.

C’est le cas du Dr Selene Parekh, un chirurgien orthopédique du Centre Medical Duke, et du Dr Oliver J. Muensterer, un chirurgien pédiatrique.

Même si l’on rapporte ces cas comme des premières, il semble que certains chirurgiens utilisent la technologie Google Glass depuis un bon moment, de façon plus ou moins officielle.

Le Dr Oliver J. Muensterer, quant à lui, a récemment publié les résultats de ses expériences avec les lunettes de Google.

Les commentaires des chirurgiens sur les Google Glass sont assez unanimes. On estime que la technologie sera utile en santé au cours des prochaines années.

« Peut-être pas cette version, mais une version développée dans le futur et spécialement conçue pour les soins de santé, avec tous les problèmes corrigés », précise le Dr Muensterer.

Les Google Glass permettent notamment d’enregistrer et de partager les données et informations d’une opération, bénéficiant aux autres spécialistes de partout dans le monde. Au final, les applications médicales des Google Glass semblent infinies pour plusieurs médecins, dont celle de sauver des vies par une meilleure analyse des premiers répondants. 

Un dossier fascinant à suivre, qui n’en est qu’à ses balbutiements. Voyez le rapport du Dr Muensterer.

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Solution alternative pour les maux légers durant la grossesse

Top Santé rappelle que l’homéopathie, la phytothérapie et les huiles essentielles peuvent aider la femme enceinte à soulager certains maux.

L’homéopathie serait sans danger pour la mère et le fœtus. La composition des différents « médicaments » naturels est grandement diluée et sans effets secondaires en ce qui a trait aux granules.

Sinon, il existe d’autres remèdes homéopathiques sous diverses formes, comme des onguents, sirops, pilules ou autres. Consultez un spécialiste pour vous guider vers le bon produit et la posologie recommandée.

La phytothérapie est également utile, entre autres pour calmer les nausées ainsi que le stress et l’anxiété. Vous retrouvez souvent les ingrédients sous forme de tisanes. Sinon, confiez vos symptômes à un spécialiste.

Pour celles qui préfèrent les huiles essentielles, sachez que certaines ne sont pas recommandées, alors que d’autres sont au contraire fortement suggérées pour soigner les femmes enceintes. Pharmacienne et auteure d’un guide des huiles essentielles, Danièle Festy conseille de s’informer auprès d’un expert.

Les huiles essentielles sont puissantes et efficaces. Cependant, elles doivent être pures à 100 % et utilisées pour les bonnes raisons, notamment des irritations, un rhume ou des hémorroïdes.

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Amélioration notable du taux de survie chez les patients en cardiologie

The National Library of Medicine rapporte des statistiques proposées par la Clinique Mayo, aux États-Unis, et qui dressent un bilan positif des avancées dans le domaine de la cardiologie au cours des dernières années.

Tellement qu’il semble que de moins en moins de patients admis en cardiologie meurent d’une maladie ou d’un trouble cardiovasculaire. Ces patients auraient maintenant plus de chances de mourir d’une autre maladie que de succomber aux traitements d’un trouble cardiovasculaire.

Ces étonnantes révélations se basent sur les observations effectuées par des spécialistes de la Clinique Mayo au cours de trois périodes distinctes, soit de 1991 à 1996, de 1997 à 2002, et de 2003 à 2008.

« Nous avons découvert que les patients aux prises avec une maladie cardiovasculaire établie dans l’ère moderne ont environ une chance sur trois de mourir des suites de ce problème, contre deux chances sur trois de mourir à la suite d’un autre problème, non cardiaque », résume le Dr Rajiv Gulati, de la Clinique Mayo.

Un phénomène étonnant, mais qui confirme bien les superbes avancées et percées observées au cours des dernières décennies dans le monde médical, notamment en cardiologie.

Ces observations ont été publiées dans le journal Circulation en février.

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Percée technologique majeure en matière de dépistage du cancer du poumon

Excellente nouvelle que celle rapportée par Radio-Canada voulant que des chercheurs canadiens soient parvenus à mettre au point un logiciel capable d’aider les spécialistes à détecter le cancer du poumon plus tôt chez les patients qui en sont atteints.

Analysant chaque situation et permettant un diagnostic plus rapide, basé notamment sur les caractéristiques physiques de chaque patient, le logiciel permet également de définir la meilleure option de traitement possible.

Moins de risque d’erreurs médicales, moins de douleurs inutiles, moins de chances de voir un patient être pris en charge trop tard, voilà autant de bonnes nouvelles qui accompagnent la création de ce système informatique.

Les spécialistes derrière le projet espèrent voir cette nouvelle façon de faire s’implanter rapidement en oncologie un peu partout à travers le pays, et ainsi améliorer les traitements, mais aussi la prévention.

Cette dernière n’est pas excellente, selon les informations obtenues, et les Canadiens ne subissent pas de dépistage systématique de la maladie.

Il est donc d’autant plus important de voir apparaître de nouvelles méthodes comme celle-ci, afin d’enrayer au maximum ce type de cancer, qui représente une forte portion, en moyenne, des décès au Canada.

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Étude sur l’aluminium dans les vaccins

On apprend sur Le Figaro que le Haut Conseil de la santé publique (HCSP) en France révèle dans un récent rapport que l’adjuvant de certains vaccins, qui contient de l’aluminium, ne serait aucunement lié aux divers troubles dont la population s’est plainte, dont des problèmes musculaires et cognitifs.

Les injections visées sont celles du vaccin diphtérie-tétanos-polio, celui contre les hépatites A et B et le papillomavirus. Malgré que l’adjuvant soit utilisé depuis plus de 80 ans, le HCSP a tout de même mis sur pied une équipe consultative qui s’est penchée sur la question.

En conclusion, elle a recommandé la poursuite des vaccinations comme prévu au calendrier et rappelle les dangers potentiels pour la santé globale qu’une baisse de la couverture vaccinale pourrait avoir.

Dans ce rapport, on peut lire : « Le HCSP estime que les données scientifiques disponibles à ce jour ne permettent pas de remettre en cause la sécurité des vaccins contenant de l’aluminium, au regard de leur balance bénéfices/risques ».

Bien que considérées comme infondées, les inquiétudes des patients n’arrivent pas de nulle part. Plusieurs études passées ont déjà suggéré la toxicité de l’adjuvant aluminique.

Entre autres, il avait été prouvé que les cellules immunitaires véhiculant l’aluminium pouvaient migrer dans le cerveau de souris et y rester. Or, l’aluminium est toxique pour les cellules cérébrales.

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Possible lien entre l’anorexie et l’autisme

Une étude américaine parue dans le BioMed Central Journal Molecular Autism suggère que les jeunes femmes souffrant de troubles alimentaires présentent un profil proche de celui d’enfants souffrant d’autisme.

Plus de 1660 jeunes filles saines et 66 autres qui étaient atteintes d’anorexie ont eu à répondre à un questionnaire habituellement destiné aux jeunes autistes. C’est en comparant ces résultats que les chercheurs ont pu en venir à cette conclusion.

Les traits communs sont, entre autres, un intérêt particulier pour l’ordre, peu d’empathie, une tendance à être autocentré et une fascination pour les détails.

Cependant, l’anorexie est un trouble diagnostiqué plus souvent chez la femme, tandis que l’autisme l’est surtout chez l’homme.

Face à ces données, Bonnie Auyeung, l’une des chercheuses de l’étude, remarque : « Cette nouvelle étude suggère qu’une proportion de femmes atteintes d’autisme auraient pu être mal diagnostiquées, car quand elles arrivent à l’hôpital, elles présentent des signes d’anorexie ».

Il ne s’agit tout de même là qu’une suggestion, alors que d’autres éléments pourraient être en cause. En effet, une personne atteinte d’anorexie pourrait, à cause de la faim, développer le même genre de trait de caractère mentionné plus haut.

« Néanmoins, l’étude permet de mieux comprendre les personnes souffrant d’anorexie et la façon dont elles peuvent être traitées », ajoutent les chercheurs.

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De l’espoir en matière de lésion de la moelle épinière

Les personnes atteintes de lésions de la moelle épinière ont souvent un système immunitaire affaibli, ce qui les rend plus sensibles aux infections. 

Alors que les causes de l’immunodépression n’étaient pas encore connues, des chercheurs au Center for Brain and Spinal Cord Repair de l’Ohio State University Wexner Medical Center ont constaté qu’un trouble appelé dysréflexie autonome peut provoquer une immunosuppression. Ils ont également trouvé une façon de restaurer la fonction immunitaire chez les souris blessées.

La dysréflexie autonome est une complication potentiellement dangereuse d’une blessure de la moelle épinière. Elle est causée par une surexcitation du système de réflexes spinaux automatiques. Des situations quotidiennes des plus simples activent ces réflexes chez les gens atteints de lésions de la moelle épinière, comme aller à la selle ou uriner.

C’est avec des médicaments qui inhibent la noradrénaline et les glucocorticoïdes que les chercheurs croient pouvoir aider. Des résultats positifs sur les souris encouragent les spécialistes à pousser plus loin.

Le Dr Popovich a déclaré : « Après une lésion de la moelle épinière, sa capacité pour commander le système immunitaire est compromise. En conséquence, ces personnes deviennent sensibles à l’infection et en meurent souvent. Pour ceux qui survivent, les infections peuvent altérer le peu de fonction qu’il leur reste après la blessure de la moelle épinière ».

« Bien que nous ne savons pas encore comment guérir les patients, nous avons découvert qu’il est possible de restaurer la fonction immunitaire chez les souris blessées à la moelle épinière », a-t-il ajouté.

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L’ail cru contre le cancer du poumon

Une étude conduite par des chercheurs chinois, dont on parle sur Daily Mail (UK), révèle qu’en consommant de l’ail cru, ne serait-ce que 2 fois par semaine, on réduirait de plus de 44 % les risques de développer un cancer pulmonaire.

Plus surprenant encore, les bénéfices se sont montrés presque aussi encourageants face aux fumeurs. Le tabagisme, considéré comme principale cause du cancer du poumon, verrait ses risques associés au cancer diminuer de 30 %.

L’ingrédient clé qui semble être responsable de ces bienfaits est une substance chimique appelée allicine. Celle-ci est libérée lorsque la gousse est écrasée ou hachée, et aurait un effet anti-inflammatoire et antioxydant.

En tout, ce sont les habitudes de vie et alimentaires de 4924 participants (1424 personnes atteintes d’un cancer pulmonaire et 4500 sujets en santé) qui ont été étudiées.

Les résultats, publiés dans la revue en ligne Cancer Prevention Research, ont montré que les patients qui mangeaient de l’ail cru au moins deux fois par semaine étaient beaucoup moins susceptibles d’avoir un cancer du poumon, qu’ils soient fumeurs ou non.

Diverses études ont précédemment levé le voile sur de nombreux bénéfices liés l’ail, notamment sur certaines tumeurs malignes, comme le cancer du côlon. Les chercheurs de l’Université de l’Australie du Sud ont aussi déjà suggéré que l’ail pouvait réduire le risque de tumeurs de l’intestin de près d’un tiers.

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Un implant cérébral contre les crises d’épilepsie

Voici la nouvelle thérapie proposée par la professeure Rebecca L. Williams-Krnesky et ses collègues du Legacy Research Institute à Portland, de l’Oregon Health and Sciences University et de l’Université Tufts de Boston.

L’épilepsie est une affection neurologique qui génère des crises variant selon le type d’épilepsie de la personne atteinte, les crises de convulsions étant les plus reconnues par la population générale.

Chez les personnes souffrant d’épilepsie, la survenue d’une crise est souvent due à un état de fatigue inhabituel, un manque de sommeil ou un état anxieux. Dans une minorité de cas, la lumière d’un stroboscope à elle seule peut déclencher une crise.

Tel qu’expliqué sur Santé Log, les résultats de leur recherche sur des animaux démontrent que l’implant de soie, libérant un neuromodulateur appelé adénosine, est capable de réduire considérablement les crises épileptiques.

Le niveau élevé de méthylation de l’ADN est lié à l’épilepsie. En libérant plus d’adénosine, la méthylation est diminuée, et donc, les crises aussi.

Les implants sont faits de soie biodégradable et se dissolvent en 10 jours. Pendant ce temps, ils libèreraient suffisamment d’adénosine pour couvrir 3 mois de traitement.

Les résultats ayant été concluants auprès d’animaux devraient mener à des essais cliniques sur l’humain sous peu afin, entre autres, de déterminer les dosages appropriés et la durée de libération.