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Les Espagnols applaudissent le personnel médical

Des résidents espagnols ont fait une haie d’honneur, façon coronavirus, aux personnels médicaux pour les soutenir dans leur lutte sans merci pour combattre la COVID-19.

Des images sur les réseaux sociaux montrent des Espagnols sur leur balcon saluant d’applaudissements ce personnel se rendant travailler dans les hôpitaux.

Cet élan de solidarité n’est pas sans rappeler les Italiens, eux aussi confinés à résidence et qui chantent en coeur, réunis sur leurs balcons respectifs.

Partout dans le monde, on assiste à un élan de solidarité alors que la pandémie de coronavirus COVID-19 s’est étendue à 158 pays.

L’Espagne est le deuxième pays européen le plus touché par la crise après l’Italie. Plus de 5700 Espagnols ont contracté la maladie à ce jour.

Le premier ministre espagnol, Pedro Sanchez, a mis en quarantaine quasi totale le pays samedi dernier. 

Les Espagnols ne peuvent sortir de chez eux que pour aller travailler ou pour d’autres raisons de première nécessité comme acheter à manger.

Photo : Capture d’écran Facebook

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Nike crée une chaussure pour les infirmières et médecins

La chaussure appelée Nike Air Zoom Pulse a même été créée après consultations d’infirmières et médecins.

Les concepteurs ont voulu créer de nouvelles chaussures qui répondent aux exigences de ces employés qui passent de longues journées debout.

Selon les recherches de Nike réalisées auprès de l’Hôpital pour enfants Doernbecher de Portland en Oregon, les infirmières qui travaillent 12 heures par jour marchent entre six et huit kilomètres.

Nike a donc voulu une chaussure qui s’enfile et se retire facilement, facile à nettoyer et offrant un bon système de traction en toutes conditions, même en cas de situations d’urgence.

Il en résulte une chaussure avec une semelle en caoutchouc, une semelle intercalaire Zoom Air pour offrir un bon support et le confort, un système sans lacet et une bande élastique pour retenir le talon bien en place.

Diverses couleurs de la chaussure Nike Air Zoom Pulse sont proposées. Ces nouvelles chaussures conçues pour le personnel médical seront en vente dès le 7 décembre prochain.

Photo : Nike

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De nouvelles recommandations pour évaluer les saignements et les ecchymoses chez les enfants

La revue médicale Pediatrics a publié de nouvelles recommandations s’adressant aux médecins et aux autres professionnels de la santé, concernant les enfants qui se présentent en clinique ou aux urgences avec des saignements ou des ecchymoses importants.

Même si l’équipe médicale soupçonne que l’enfant est victime de violence, on devrait être très prudent et tenter d’exclure auparavant des troubles de coagulation, qui peuvent également causer ces symptômes.

« Lorsque l’enfant présente des saignements ou des ecchymoses qui donnent à penser qu’il y a eu des sévices, les médecins doivent tout de même considérer qu’il pourrait y avoir d’autres causes médicales », note le rapport, selon Medscape.

Les auteurs expliquent qu’un diagnostic inapproprié pourrait avoir des conséquences dramatiques pour la famille, par exemple des accusations non justifiées envers les parents, ou le placement de l’enfant en dehors de son milieu familial.

Lorsque les marques de violence ne sont pas claires, les médecins devraient donc effectuer des tests sanguins, poser des questions sur l’historique familial et faire un examen complet de l’enfant.

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Les médecins ont besoin d’aide pour mieux traiter les commotions chez les enfants

La revue médicale Pediatrics rapporte les résultats d’un sondage mené auprès de 145 médecins de famille ou œuvrant dans une clinique traitant des urgences. Parmi ceux-ci, 91 % avaient traité au moins un enfant qui avait une commotion cérébrale, et 92 % ont recommandé au moins un patient à un spécialiste des commotions durant les trois mois précédents.

Les auteurs du sondage ont noté que les médecins avaient obtenu des résultats très variables dans la manière de reconnaître les signes et les symptômes des commotions cérébrales.

Ils ont également souligné que les cliniques familiales sont le meilleur endroit pour traiter et effectuer un suivi par rapport aux commotions, mais doivent connaître le protocole à mettre à place.

Le nombre de commotions cérébrales chez les enfants a quadruplé depuis 2009, a révélé l’auteur, le Dr Mark Zonfrillo, tel que rapporté par Medical News Today.

Un programme spécial de formation sur les commotions cérébrales a été instauré cette année par des experts provenant d’un hôpital pour enfants de Philadelphie, permettant à plus de 100 médecins de se familiariser avec les exigences reliées à cette condition.

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Les enfants cardiaques tendent à rester avec leur spécialiste même une fois adultes

Selon un récent sondage mené auprès des cardiologues pédiatriques membres de l’American Board of Pediatrics, plus des trois quarts d’entre eux continuaient à suivre au moins 20 patients de plus de 18 ans.

Les autorités en santé recommandent qu’une transition formelle entre le médecin pédiatrique et un spécialiste pour adultes soit faite entre 18 et 21 ans.

Les médecins interrogés ont aussi indiqué que leur pourcentage de patients adultes diminuait proportionnellement à l’âge de ceux-ci : par exemple, seulement 13 % des médecins avaient au moins 20 patients âgés de 40 ans et plus. Cette tendance signifie que le transfert vers un cardiologue pour adultes se fait généralement bel et bien, mais plus tard que ce qui est recommandé.

La raison la plus souvent citée pour poursuivre la relation avec les patients une fois devenus adultes était un attachement émotif envers ceux-ci ou envers leurs parents. Par contre, un manque de personnel qualifié pour traiter les patients adultes souffrant de maladies cardiaques congénitales était aussi mentionné par 76 % des médecins.

Les cardiologues pédiatriques ont noté qu’ils auraient besoin de plus de ressources pour bien effectuer la transition, ajoutant que la mise en place d’équipes de soins multidisciplinaires serait souhaitable pour ces patients, tel que rapporté par MedPageToday.

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Le vocabulaire des médecins peut blesser un enfant avec un surplus de poids

En fait, ces derniers trouveraient les termes « large » et « prise de poids excessive » plus appropriés afin d’établir un lien entre les enfants et les parents.

« Les termes qui sont plus neutres, moins critiques et moins stigmatisants devraient être employés. La plupart des familles voudront ce type de langage plus sensible. Et c’est que les cliniciens devraient vouloir, aussi, puisque c’est ce que les familles veulent », explique le chercheur au Département de Pédiatrie de l’Université de l’Alberta, Geoff Ball.

Certains parents, à l’usage de ces termes plus crus, se sentent blâmés pour le poids de leur enfant.

De plus, les parents estiment que c’est le rôle du médecin d’aborder le sujet, tandis que les médecins, de leur côté, trouvent la chose délicate et sont réticents puisqu’ils ne veulent pas offenser la famille et nuire à la relation qu’ils entretiennent avec leur patient.

Il est d’autant plus important que les experts entretiennent une relation de confiance avec leurs patients et leurs parents puisqu’il a récemment été prouvé que les connaissances des parents au sujet du surpoids de leur enfant comportaient d’importantes lacunes.

Rappelons que la majorité des parents ne sont pas conscients de ce qui cause l’embonpoint chez leurs enfants.

Crédit photo : FreeDigitalPhotos.net

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La chirurgie contre le diabète

Il s’agit des premières études où l’on compare les chirurgies de réduction de l’estomac aux médicaments contre le diabète causé par l’obésité.
 
La plus courante de ces opérations est le pontage gastrique, qui consiste à réduire la grosseur de l’estomac.
 
En fait, les chirurgies aideraient davantage le corps des patients à atteindre un niveau de glucose normal dans le sang que les médicaments à eux seuls. Certains d’entre eux, même, auraient comme effet secondaire de faire prendre du poids au patient, ce qui n’aide en rien la situation.
 
De plus, certains patients ont pu cesser de s’injecter de l’insuline seulement trois jours après leur intervention chirurgicale.
 
Toutefois, les médecins ne veulent pas affirmer qu’il s’agit d’un remède au diabète, puisque les chances que la maladie revienne demeurent. Il s’agit malgré tout d’une « avancée majeure », selon le docteur John Buse de l’Université de la Caroline du Nord.
 
Cependant, les médecins croient que l’opération devrait être suggérée plus tôt aux patients diabétiques, pas seulement en dernier recours.
 
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Fécondation in vitro : les femmes ne suivent pas les recommandations des médecins

Entre juin 2009 et mars 2010, un groupe de 118 femmes qui disaient avoir une vie beaucoup plus saine au moment de leurs traitements de fertilité par rapport aux cinq années précédentes ont rempli un sondage quotidien pendant leur cycle de 28 jours.

Il semblerait que malgré le coût dispendieux de cette intervention et le risque de déception accru, plusieurs prennent le tout à la légère.

Même si on leur avait dit de couper l’exercice pour éviter d’augmenter la taille des ovaires et l’inconfort, au moins neuf personnes sur dix ont répondu faire de l’exercice une fois par semaine.

Environ la moitié des femmes ont continué à boire de l’alcool et fumer la cigarette pendant leur cycle, et trois sur quatre ont continué à consommer des boissons contenant de la caféine. Une femme sur dix a pris un médicament à base d’herbes, même si les cliniques médicales déplorent la chose, ne sachant pas vraiment ce que ces derniers contiennent réellement.

Les chercheurs rappellent aux médecins d’être plus exigeants envers leurs patientes et de mieux les informer des conséquences.

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Échographies : ne pas révéler le sexe du bébé pour sauver la vie de fillettes canadiennes

Ne pas révéler le sexe de l’enfant à naître avant la 30e semaine de la grossesse afin d’éviter des avortements de foetus féminins trop fréquents dans certains groupes d’immigrants asiatiques au Canada, voilà la solution que suggère un important journal médical canadien.

Quoique plus rare en Amérique du Nord, le foeticide en fonction du sexe de l’enfant touche des millions de personnes en Inde et en Chine.

Lorsque cette action est faite au Canada, celle-ci est à la demande de parents d’origine indienne, chinoise, coréenne, vietnamienne ou philippine.

Des études basées sur le recensement de 2000 aux États-Unis ont confirmé des ratios déséquilibrés en faveur des garçons dans les familles d’origine asiatique, en raison de cette réalité morbide.

Dans son éditorial, le rédacteur en chef par intérim du Journal de l’Association médicale canadienne (CMAJ), le Dr Rajendra Kale, déclare que ne pas révéler le sexe du foetus avant la 30e semaine de grossesse « est un prix modeste à payer pour sauver des milliers de filles au Canada ».

« Si le Canada est incapable de contrôler cette pratique répugnante, quel espoir peut-on avoir en Inde et en Chine? » a-t-il dit, insistant sur le fait que l’information sur le sexe du foetus est « médicalement sans importance ».

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Obésité infantile : Les médecins ne communiquent pas assez avec les parents

Votre enfant a un tour de taille imposant et pourtant, votre médecin reste muet comme une carpe concernant ses kilos en trop. Vous n’êtes pas les seuls dans ce cas.

Seulement 22 % des parents ont été informés par leur médecin du surpoids de leur bambin, selon une étude américaine menée de 1999 à 2008 par le National Health and Nutrition Examination Survey (NHANES).

Pour arriver à cette conclusion, les chercheurs ont suivi 4985 enfants de 2 à 15 ans.

Même si ce pourcentage a évolué durant l’enquête, seulement 58 % des parents d’enfants obèses se rappelaient en avoir été informés par un professionnel de la santé. Ces résultats montrent à quel point la situation est critique.

Pour lutter contre l’obésité infantile, l’information aux parents pourrait bien devenir une priorité. Les médecins ont le devoir de les prévenir pour qu’ils prennent les mesures nécessaires.

Une modification des habitudes alimentaires et une augmentation de l’activité physique sont des solutions pour que les enfants retrouvent un poids santé.