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De plus en plus de professionnels alcooliques

Il semblerait que de plus en plus de professionnels deviennent alcooliques, ce qui écarte l’image type habituellement véhiculée par les médias.
 
Selon le Daily Mail, dans les dernières années, les médecins, avocats, dentistes et vétérinaires ont été de plus en plus nombreux à demander des traitements de réadaptation pour se débarrasser de leur problème d’alcool.
 
Toutefois, dans leur cas, il y a souvent une honte de plus rattachée au problème, en raison du fait qu’ils ont des professions où ils aident habituellement d’autres personnes. Parfois, ils demandent des traitements à l’étranger afin de ne pas se faire reconnaître près de chez eux.
 
Les médecins seraient deux fois plus nombreux que les autres à succomber au vice de l’alcool. On estime qu’un médecin sur quinze souffrira d’alcoolisme tôt ou tard, et il sera donc trois fois plus susceptible de faire une cirrhose du foie.
 
D’autre part, ce sont environ 24 % des avocats qui seront alcooliques au cours de leur carrière.
 
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Certains médecins ne savent pas tenir un bébé

Une étude britannique démontre que les médecins généralistes possèdent parfois si peu de connaissances en pédiatrie que certains ne savent même pas comment tenir un bébé.
 
Selon le professeur Ian Kennedy, les autorités gouvernementales devraient mettre de l’argent dans une formation supplémentaire des médecins généralistes et infirmiers afin qu’ils puissent prendre correctement en charge les enfants et les jeunes.
 
Cette portion de la population est souvent négligée par les généralistes. L’étude a été commandée après que certains cas de carences dans les soins des enfants aient grandement été médiatisés.
 
Malheureusement, le Telegraph mentionne que le rapport est plutôt alarmant puisque certains médecins ne savent même pas tenir un bébé dans leurs bras.
 
Rappelons que le Royaume-Uni se situe au bas de la liste des 25 pays industrialisés pour le bien-être des enfants.
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Les parents devraient mieux communiquer avec les médecins

Une étude rapportée par le site internet Canada.com mentionne que les parents donnent souvent des vitamines à leurs enfants, mais ne le disent pas à leur médecin, malgré les risques d’interaction avec d’autres médicaments.
 
Par exemple, la vitamine C, qui semble inoffensive, peut interagir avec les anticoagulants en prolongeant ou en augmentant leurs effets. Elle peut également augmenter l’absorption du fer et les effets des acétaminophènes. Cette vitamine ne doit jamais être prise en même temps que ces autres médicaments. Chez certaines personnes, elle interfère également avec les traitements de chimiothérapie.
 
C’est vrai qu’il est plutôt rare d’avoir ce genre d’effets avec les vitamines, mais il est toujours préférable de ne pas le cacher à son médecin. Lui seul saura si les médicaments qu’il prescrit sont sécuritaires avec les vitamines.
 
L’étude a été réalisée avec 1 804 enfants et près de 600 recevaient des vitamines de façon quotidienne, hebdomadaire ou occasionnelle.
 
Le tiers des parents ne disent pas au médecin ce qu’ils donnent à leurs enfants. Plus du tiers des enfants qui prenaient des vitamines étaient handicapés, avaient des maladies chroniques, de l’asthme, un cancer ou le diabète, donc ils recevaient d’autres médicaments.
 
De plus, il est toujours préférable de ne jamais prendre les vitamines au même moment que les autres médicaments. Dans les complications les plus sévères, certains organes peuvent être grandement affectés.