Catégories
Uncategorized

Un programme éducatif pour la fratrie d’enfants cancéreux

Les frères et sœurs de personnes atteintes du cancer sont à risque de problèmes sociaux, affectifs et comportementaux.

Une étude pilote a été réalisée en Suisse, à l’Hôpital pour enfants de Zurich, pour mieux cibler les préoccupations de la fratrie.

Les jeunes qui ont participé aux rencontres et au programme éducatif étaient âgés de 8 à 18 ans. Ils ont confié avoir remarqué une amélioration de leur bien-être psychologique.

De plus, ces interventions d’aide n’auraient aucunement augmenté les symptômes de stress post-traumatique et l’anxiété.

Au total, 21 familles ont été recrutées à deux hôpitaux pour enfants en Suisse pour l’étude. Deux groupes ont été formés et ont reçu le traitement standard de la rencontre avec un psycho-oncologue.

Les groupes d’intervention ont également assisté à deux séances de 50 minutes couvrant l’information médicale, le développement des habiletés d’adaptation avec la thérapie cognitivo-comportementale et un livret psycho-éducatif pour les parents. L’intervention a été fournie dans les deux premiers mois du diagnostic, afin de déterminer son efficacité.

Les chercheurs concluent que le projet pilote devrait être adapté à la fratrie de moins de 8 ans et qu’un suivi sur deux séances serait encore plus bénéfique afin d’améliorer l’adaptation des jeunes quant au diagnostic.

Catégories
Uncategorized

Un programme éducatif pour la fratrie d’enfants cancéreux

Les frères et sœurs de personnes atteintes du cancer sont à risque de problèmes sociaux, affectifs et comportementaux.

Une étude pilote a été réalisée en Suisse, à l’Hôpital pour enfants de Zurich, pour mieux cibler les préoccupations de la fratrie.

Les jeunes qui ont participé aux rencontres et au programme éducatif étaient âgés de 8 à 18 ans. Ils ont confié avoir remarqué une amélioration de leur bien-être psychologique.

De plus, ces interventions d’aide n’auraient aucunement augmenté les symptômes de stress post-traumatique et l’anxiété.

Au total, 21 familles ont été recrutées à deux hôpitaux pour enfants en Suisse pour l’étude. Deux groupes ont été formés et ont reçu le traitement standard de la rencontre avec un psycho-oncologue.

Les groupes d’intervention ont également assisté à deux séances de 50 minutes couvrant l’information médicale, le développement des habiletés d’adaptation avec la thérapie cognitivo-comportementale et un livret psycho-éducatif pour les parents. L’intervention a été fournie dans les deux premiers mois du diagnostic, afin de déterminer son efficacité.

Les chercheurs concluent que le projet pilote devrait être adapté à la fratrie de moins de 8 ans et qu’un suivi sur deux séances serait encore plus bénéfique afin d’améliorer l’adaptation des jeunes quant au diagnostic.

Catégories
Uncategorized

Accoucher à la maison, une tendance qui prend de l’ampleur

On apprend sur Magicmaman qu’un nombre grandissant de futures mères choisissent de donner naissance à leur enfant à la maison. Seulement aux États-Unis, ce nombre d’accouchements a augmenté de 20 % entre 2004 et 2008, mais la tendance s’étend bien au-delà et gagne en popularité.

Une sage-femme de Las Vegas, qui ne manque pas de travail, confie : « Ce type d’accouchement concerne de plus en plus les personnes bien éduquées et bien informées ».

En fait, les raisons de cette démarche sont diverses : fuir l’environnement médical, éviter une césarienne à la suite d’une première expérience ou, dans les cas des Américaines, éviter des frais médicaux par manque de moyens financiers.

C’est le Centre de contrôle et de prévention des maladies (CDC) qui a effectué la recherche aux États-Unis. Les représentants du Collège américain des gynécologues-obstétriciens, quant à eux, déplorent la popularité grandissante de cette méthode d’accouchement. Selon eux, le danger est réel s’il y a complication ou urgence et les sages-femmes manquent de formation.

Pratiquement seul dans son camp, le Dr Joel Evans, gynécologue-obstétricien et directeur du Centre pour la santé des femmes à Stamford au Connecticut, soutient l’accouchement à domicile. Il explique : « Les femmes cherchent maintenant une alternative qui leur permet d’être traitées individuellement et non pas de suivre des protocoles qui augmentent le stress et l’anxiété lors de l’accouchement ».

Catégories
Uncategorized

Le cannabis soulage la douleur modestement

Fumer de la marijuana à des fins médicales aurait effectivement des effets bénéfiques pour les malades. Toutefois, ces effets sont plutôt modestes, selon les chercheurs de l’Université McGill à Montréal.
 
Le Journal de l’Association médicale canadienne rapporte que les personnes qui souffrent de lésions nerveuses après un accident ou une chirurgie ressentent un soulagement réel en fumant du cannabis.
 
Une faible dose de 25 mg fumée en une seule fois, trois fois par jour pendant cinq jours, leur permettra d’améliorer leur état. En plus, la marijuana améliore l’humeur et le sommeil, ce qui influence le soulagement.
 
« Cette étude marque un pas en avant important, car elle démontre l’effet analgésique du cannabis, pris à faible dose et sur une courte période, chez les patients souffrant de douleurs neuropathiques chroniques », affirme le Dr Mark Ware.
 
Maintenant, les chercheurs veulent se pencher sur les effets à long terme du cannabis à usage médical sur la santé des patients.