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Des muscles reconstruits grâce aux vessies de porc

Des chercheurs américains auraient mis au point une nouvelle méthode de reconstruction et de régénération de muscles humains endommagés grâce à des vessies de porc, rapporte Top Santé.

Le processus, bien que surprenant, s’avère relativement simple. Selon les chercheurs de l’Université de Pittsburgh derrière le projet, il est possible d’implanter des parties de ces vessies préalablement dépouillées de leurs cellules directement dans la structure musculaire visée, et ainsi d’obtenir un résultat satisfaisant.

« Quand un grand volume de muscles est perdu, généralement à cause d’un traumatisme, le corps ne peut pas répondre suffisamment pour les remplacer. Au lieu de cela, du tissu cicatriciel peut se former, ce qui altère de manière significative leur résistance et leur fonction. Cette nouvelle étude est la première à montrer un remplacement de nouveau tissu musculaire fonctionnel chez l’homme. Ce sont les patients qui ne peuvent plus marcher, ne peuvent pas sortir de la voiture, ne peuvent pas monter et descendre d’une chaise, ne peuvent pas prendre des mesures sans tomber. Maintenant, nous avons un moyen de les aider à aller mieux », explique l’auteur de l’étude, Stephen Badlyak.

Une véritable percée qui pourrait changer des vies, comme l’explique M. Baddlyak.

Les conclusions de ce dernier et de son équipe ont été publiées dans le magazine scientifique médical Science Translational Medicine.

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Nouvelle percée dans le traitement de la cécité liée au glaucome

Une nouvelle étude vient contredire les certitudes entourant la cécité découlant du glaucome, rapporte The National Library of Medicine, et ouvre la porte sur une possibilité de traitement.

L’étude en question rapporte la création d’un nouveau système technologique d’entraînement de l’œil, qui pourrait permettre aux patients souffrant de cécité due au glaucome d’espérer recouvrer la vue.

Fonctionnant grâce aux nouvelles technologies et par le principe fort simple d’entraînement progressif quotidien, un peu comme des séances de gym pour les yeux, le système semble prometteur.

« Le glaucome est une maladie qui, tranquillement et sur une période de plusieurs années, endommage la rétine et le nerf optique de l’œil. Quand le tissu est endommagé, les troubles de vision sont la conséquence. Jusqu’ici, la perte de vision était considérée comme permanente », explique l’auteur de l’étude, Bernhard Sabel, également directeur du Medical Psychology de l’Université Otto-von-Guericke de Magdebourg, en Allemagne.

Une donnée qui pourrait maintenant changer, à la suite des résultats encourageants obtenus sur deux groupes de patients lors d’essais.

M. Sabel rappelle toutefois l’importance de la prévention et de la détection précoce du glaucome afin d’éviter les problèmes de vision ou la perte totale de celle-ci.

Les conclusions de l’étude ont été publiées dans le journal JAMA Ophthalmology.

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Le premier coeur artificiel finalement implanté en France

Toute une surprise en provenance de la France, alors que l’on confirmerait la toute première transplantation d’un cœur artificiel sur un patient de 75 ans, selon ce que rapporte Top Santé.

On attendait cette première au cours des prochains mois et des prochaines années, mais il était difficile de prévoir le moment ou encore le pays qui revendiquerait cet exploit médical.

Il semble que l’honneur revienne à une équipe de l’hôpital Georges Pompidou, de Paris, qui aurait transplanté avec succès ce cœur totalement artificiel, le 18 décembre dernier, dans le cadre d’une série d’essais cliniques qui devait pourtant rester secrète.

L’information ayant maintenant coulé, on apprend du même coup que l’on prévoit encore trois autres interventions du genre avant de conclure la première phase de ces essais cliniques audacieux.

L’équipe française ne s’emballe d’ailleurs pas, et souhaite qu’on respecte les délais prescrits avant de sauter aux conclusions.

« Il serait bien entendu prématuré d’en tirer des conclusions, car il s’agit d’une seule implantation et d’un délai post-chirurgical encore très court », lance d’ailleurs le DG de Carmat, la société créatrice du cœur artificiel en question.

Quoi qu’il en soit, il s’agit d’une grande étape franchie dans le domaine de la cardiologie, une réussite que le ministre français de la Santé n’a pas hésité à qualifier de « grande fierté pour la France ».

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Se protéger soi-même contre les erreurs médicales par la proactivité

The National Library of Medicine publie une liste de recommandations qui s’applique parfaitement à la population québécoise. Elle traite des mesures et des moyens à prendre pour prévenir le plus possible les erreurs médicales.

On le sait, le Québec est secoué par une crise de la santé depuis quelques années, son système n’ayant pas toutes les ressources et le personnel nécessaires.

De plus, le personnel présentement en place est souvent surutilisé, et donc fatigué, ce qui ouvre la voie à des erreurs de tout acabit en centre hospitalier.

Bien qu’il soit impossible de prévenir complètement ce type d’erreur, et ce, peu importe la zone géographique, l’association américaine propose d’abord de bien renseigner votre médecin traitant de votre historique médical, de vos allergies ainsi que de vos habitudes de consommation alimentaire et de médicaments (prescrits ou en vente libre).

Bref, ne gardez aucun renseignement par timidité, et l’on suggère de choisir son hôpital lorsque la situation le permet. Soyez alertes et documentez-vous auprès de sources et d’organisations de la santé fiables.

Un comportement proactif et responsable permet de donner une longueur d’avance au personnel médical qui vous traite et d’ainsi minimiser les chances d’erreurs médicales.

he National Library of Medicine publie une liste de recommandations qui s’applique parfaitement à la population québécoise. Elle traite des mesures et des moyens à prendre pour prévenir le plus possible les erreurs médicales.

On le sait, le Québec est secoué par une crise de la santé depuis quelques années, son système n’ayant pas toutes les ressources et le personnel nécessaires.

De plus, le personnel présentement en place est souvent surutilisé, et donc fatigué, ce qui ouvre la voie à des erreurs de tout acabit en centre hospitalier.

Bien qu’il soit impossible de prévenir complètement ce type d’erreur, et ce, peu importe la zone géographique, l’association américaine propose d’abord de bien renseigner votre médecin traitant de votre historique médical, de vos allergies ainsi que de vos habitudes de consommation alimentaire et de médicaments (prescrits ou en vente libre).

Bref, ne gardez aucun renseignement par timidité, et l’on suggère de choisir son hôpital lorsque la situation le permet. Soyez alertes et documentez-vous auprès de sources et d’organisations de la santé fiables.

Un comportement proactif et responsable permet de donner une longueur d’avance au personnel médical qui vous traite et d’ainsi minimiser les chances d’erreurs médicales.

Crédit photo : www.freedigitalphotos.net

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La plupart des erreurs médicales seraient gardées secrètes

Un constat qui pourrait en effrayer plus d’un fait état de plusieurs erreurs médicales qui sont demeurées secrètes, les praticiens choisissant de ne pas révéler l’information à leurs patients.

Il semble que ce soit un comportement courant dans les corps médicaux du monde entier, rapporte nlm.nih.gov.

Il est cependant bon de spécifier que la plupart des erreurs non révélées dont on fait mention n’ont eu pour ainsi dire aucune conséquence sur les patients visés.

Doit-on alors inquiéter davantage un patient lorsqu’une erreur sans conséquence est commise? Voilà la grande question d’éthique qui se pose ici.

Le Dr Asad Latif, auteur en chef de l’étude, se dit surpris de ces révélations, mais prend le temps de préciser que 98 % des erreurs commises n’ont pas de réels impacts sur la santé ultérieure des patients.

De plus, il semble que la majorité de ces erreurs soient commises en urgence et aux soins intensifs, alors que la pression est à son paroxysme.

Il ajoute qu’il serait prématuré de s’inquiéter de ce phénomène, et que d’autres études sont à prévoir pour relancer le débat.