Catégories
Uncategorized

Nouvel espoir contre la maladie d’Alzheimer

L’Aricept est déjà utilisé pour traiter des formes modérées de démence comme la maladie d’Alzheimer. Mais les chercheurs viennent de découvrir avec surprise que ce médicament peut aussi freiner la maladie à un stade plus avancé. 

Selon le New England Journal of Medicine, les patients qui continuent de prendre l’Aricept connaissent un déclin cognitif beaucoup moins important que ceux qui ont pris un placebo. On note aussi de meilleurs résultats de mémorisation, d’orientation et d’expression orale.
 
«Les effets bénéfiques constatés en poursuivant un traitement avec l’Aricept ont été cliniquement importants et supérieurs à ce qui avait été observé chez des patients atteints d’une forme moins aiguë d’Alzheimer», expliquent les médecins.
 
Le principal auteur des travaux, le professeur Robert Howard du King’s College London ajoute : «Alors que les malades avancent vers des formes plus graves d’Alzheimer, les médecins sont confrontés à la décision difficile de continuer à les traiter avec l’Aricept car jusqu’à présent il y avait peu d’indications cliniques pour les guider. Maintenant, pour la première fois, nous disposons d’indications solides et irréfutables que ce médicament aide les patients à des stades plus avancés et graves de cette maladie. »
 
Rappelons que selon les données de l’Organisation mondiale de la santé, la maladie d’Alzheimer touche 18 millions de personnes.
 
Catégories
Uncategorized

Bébé prématuré: un nouveau médicament approuvé

Le Sufaxin traite les troubles pulmonaires qui affectent les bébés prématurés.  

Produit par Discovery Laboratories, il a été approuvé par la U.S. Food and Drug Administration, pour prévenir le syndrome de détresse respiratoire. Il s’agit d’une affection pulmonaire grave qui touche les nourrissons nés prématurément, c’est-à-dire avant 37 semaines de gestation. 
 
Les poumons des enfants, nés trop tôt, ne peuvent pas produire un liquide essentiel qui recouvre les poumons et les empêche de s’effondrer. 
 
La plupart des bébés qui présentent un syndrome de détresse respiratoire montrent les premiers signes de problèmes respiratoires dans les premières heures après la naissance, a expliqué l’organisme américain par voie de communiqué.
 
Sufaxin, le cinquième médicament approuvé par la U.S. Food and Drug Administration pour ce syndrome, a été évalué dans des études cliniques sur près de 1 300 nouveau-nés prématurés. Soulignons qu’il existe des effets secondaires, notamment la pâleur de la peau et la nécessité d’une interruption du traitement.
 
Catégories
Uncategorized

Pamplemousse et médicaments : un mélange nocif

La Food and Drug Administration (FDA) rappelle de ne pas consommer du jus de pamplemousse si vous prenez des médicaments de type Lipitor ou encore Allegra.
 
Il peut y avoir une interaction dangereuse entre le jus de pamplemousse et certains médicaments. Cela peut notamment interférer dans l’absorption des remèdes.
 
Par exemple, dans le cas des médicaments anti-cholestérol comme Lipitor, une substance du jus interfère dans le métabolisme du médicament et cause des effets indésirables, comme des dommages au foie et une insuffisance rénale.
 
Pour les médicaments comme Allegra, ils deviennent simplement moins efficaces.
 
Les pommes et les oranges peuvent également interférer avec certains produits.
 
Donc, évitez le jus de pamplemousse et aussi le fruit lui-même, et en cas de doute, il est préférable de consulter un professionnel de la santé.
 
Catégories
Uncategorized

Examens approfondis sur un médicament contre la sclérose en plaques

Santé Canada a choisi d’effectuer des examens plus approfondis sur le médicament Gilenya, également connu sous le nom de marque Fingolimod.
 
Ce médicament est utilisé pour traiter la sclérose en plaques. Approuvé par Santé Canada depuis mars 2011, on le prescrit lorsque les autres traitements ont échoué ou qu’ils ne sont pas tolérés par le patient.
 
Seulement, les effets secondaires graves suscitent l’inquiétude.
 
À l’étranger, on rapporte 11 décès, mais on ignore si ces cas sont directement liés à l’utilisation du Gilenya ou s’ils sont dus à la combinaison de plusieurs facteurs. Quatre des 11 décès sont le résultat de crises cardiaques et d’arythmie. Pour les autres, on ignore encore les causes.
 
Bien qu’aucun cas ne soit signalé au Canada et que l’on ne recommande pas de cesser d’utiliser le médicament, Santé Canada examine plus profondément le produit. Jusqu’ici, on mentionne que les avantages l’emportent sur les inconvénients.
 
Les patients doivent consulter leur médecin, et on demande à ces derniers de faire un électrocardiogramme avant la prise du médicament et de faire un suivi de la pression artérielle et de la fréquence cardiaque.
 
Catégories
Uncategorized

Épilepsie : un médicament pour contrer les crises d’absence

L’enfant est éveillé, mais il est dans un état second. Dans son cerveau, des signaux de haute fréquence se bousculent, viennent et repartent rapidement, et provoquent des crises d’absence des centaines de fois par jour chez les enfants atteints d’épilepsie.

Pour remédier à cette situation et permettre à ces petits d’être concentrés, d’avoir une vie normale et de réussir à l’école notamment, un nouveau médicament, appelé pour le moment Z941 Z944, pourrait être efficace.

Des tests sur des rats en laboratoire ont permis d’éviter 80 à 90 % des crises d’absence chez les rongeurs.

Les résultats de l’étude de chercheurs de l’Université de la Colombie-Britannique, publiés dans la revue Science Translational Medicine, laissent croire que le médicament pourrait avoir le même effet sur les enfants. Les premiers tests sur des cellules humaines clonées le prouvent déjà.

Selon des scientifiques australiens, une mutation dans les canaux calciques de type T du cerveau qui laisse entrer un flux trop élevé de calcium serait à l’origine des crises d’absence épileptiques.

Le nouveau médicament, qui peut être pris en comprimés, permettrait de bloquer le passage du flux.

Toutefois, des ajustements et des études supplémentaires devront être effectués pour que le médicament n’entre pas en conflit avec d’autres fonctions corporelles, comme le rythme cardiaque qui a besoin des canaux calciques.

Les médicaments utilisés pour traiter l’épilepsie ne sont pas totalement aptes à gérer les crises d’absence et provoquent souvent des effets secondaires graves, comme de la somnolence et des troubles de la vision.

Outre l’épilepsie, il semblerait que la douleur chronique pourrait être traitée par ce nouveau remède.

Catégories
Uncategorized

Un nouveau traitement possible de l’ostéoporose

Des essais cliniques se sont avérés concluants concernant une puce implantée dans le corps pour distribuer une dose de médicament pour traiter l’ostéoporose.
 
Ces essais, effectués au Danemark sur sept femmes de 65 à 70 souffrant d’ostéoporose, démontrent que la puce peut diffuser le médicament Teriparatide grâce à une commande à distance, et ce, aussi efficacement que les injections quotidiennes habituellement utilisées.
 
« Les malades n’auront plus à se souvenir de prendre leur médicament ou à subir les douleurs des injections multiples nécessaires pour traiter l’ostéoporose », explique le Dr Robert Farra au Science Translational Medecine.
 
« Ce système permet de diffuser rapidement un médicament dans le sang, comme avec une injection. Les médecins pourront ainsi ajuster à distance et en douceur la thérapie de leurs malades en se servant d’un ordinateur ou d’un téléphone portable », ajoute le Dr Farra.
 
Ce dispositif pourrait même être utilisé pour traiter d’autres maladies comme le cancer.
 
Catégories
Uncategorized

Il est possible de réduire la douleur sans médicament

Le Psychological Science rapporte une nouvelle étude qui confirme qu’il est possible de réduire la douleur sans médicament.
 
Il a déjà été démontré que l’effet placebo était efficace. Cela consiste à remettre un médicament sans effet aux personnes en leur faisant croire qu’elles reçoivent un véritable remède. De plus, s’occuper l’esprit réduit aussi la douleur.
 
Les chercheurs voulaient donc savoir si les deux méthodes utilisaient les mêmes circuits cérébraux, car dans les deux cas, on a noté qu’une zone du cortex préfrontal était impliquée.
 
33 personnes ont participé à la recherche. Dans un premier temps, on a soumis leur peau à de la chaleur. Dans un deuxième temps, certaines personnes ont reçu une crème présentée comme un puissant analgésique, et d’autres ont eu une crème dite hydratante.
 
Certaines de ces personnes devaient également se soumettre à une tâche de mémorisation complexe. Ensuite, on a inversé les crèmes dans les groupes.
 
On constate qu’il y a réellement eu une diminution de la douleur avec l’effet placebo autant qu’avec une tâche intellectuelle, mais on confirme que les deux n’utilisent pas les mêmes circuits cérébraux, car ensemble, leurs effets s’additionnent et la douleur devient encore moins importante.
 
Catégories
Uncategorized

L’arthrite juvénile idiopathique peut causer le cancer

L’apparition de tumeurs malignes chez les enfants atteints d’arthrite juvénile idiopathique (AJI) n’est pas due à la prise de médicaments couramment utilisés pour le traitement de cette maladie, tels que le méthotrexate et l’étanercept, mais elle est plutôt la conséquence de la maladie en soit.

C’est ce que stipule une étude de l’Université de l’Alabama à Birmingham, parue dans Arthritis & Rheumatism.

En effet, les patients atteints d’AJI ont un risque quatre fois plus élevé de développer des tumeurs malignes et cancéreuses que les autres enfants qui n’ont pas cette maladie ou encore que ceux qui souffrent d’un autre problème de santé, comme l’asthme ou un trouble de l’attention avec hyperactivité.

Plusieurs éléments de preuve circonstancielle ont suggéré une association entre l’AJI et le cancer. L’inhibition d’immunosuppresseurs TNF augmenterait notamment le risque de malignité. Il semblerait également que certaines tumeurs malignes, les leucémies aiguës en particulier, pourraient être confondues avec l’AJI et initialement mal classées ou mal diagnostiquées.

Les experts tiennent à mentionner que pour confirmer leurs conclusions, des études plus importantes et encore à plus long terme devront être effectuées pour en connaître davantage sur le lien entre le cancer, l’AJI et son traitement.

Catégories
Uncategorized

Y a-t-il un lien entre le VIH et les troubles psychiatriques chez les enfants?

Les conclusions portent encore à confusion. Plus d’examens seront nécessaires pour arriver à une image claire, car les résultats de cette étude sont variables, mixtes et parfois contre-intuitifs, confient les chercheurs de l’Université Stony Brook dans un rapport publié en ligne dans Archives of Pediatrics & Adolescent Medicine.

Les chercheurs de cette étude avancent tout de même, pour le moment, qu’il y aurait quelques associations entre les troubles psychiatriques, le VIH et certains traitements anti-rétroviraux tels que ceux contenant l’inhibiteur de la transcriptase inverse (nNRTI), l’éfavirenz.

Leur conclusion suggère qu’il pourrait y avoir des liens entre les troubles du comportement et le virus lui-même ou des médicaments anti-rétroviraux utilisés pour le traiter.

Ils ont constaté que 106 des 319 participants (33 %) répondaient aux critères d’au moins un trouble psychiatrique. Au moins 25 % d’entre eux étaient atteints de graves symptômes dépressifs.

Les chercheurs tiennent à mentionner que l’éfavirenz est associé à des effets secondaires neurologiques tels que des rêves vifs, mais n’a pas été associé à la sévérité des symptômes psychiatriques dans le cadre de cette étude.

Catégories
Uncategorized

Nouveau traitement contre les fibromes?

Le New England Journal of Medicine dévoile une étude sur une nouvelle option possible pour enrayer les fibromes.
 
Deux études mentionnent que de faibles doses de la pilule du lendemain freinent les saignements et rétrécissent la taille des fibromes.
 
Les fibromes se forment dans l’utérus. Il s’agit de tumeurs bénignes fréquentes chez les femmes vers la fin trentaine ou le début quarantaine. Elles sont douloureuses et accompagnées de saignements et de problèmes de fertilité. Elles disparaissent habituellement après la ménopause.
 
Les fibromes sont souvent difficiles à traiter et habituellement, la seule option est une hystérectomie, soit l’ablation complète de l’utérus. Dans certains cas, une chirurgie pour les retirer est possible ou du moins rétrécir leur taille avec des ultrasons.
 
Maintenant, on étudie l’efficacité d’une faible dose de la pilule du lendemain Esmya afin de savoir si, à long terme, cela pourrait éviter la chirurgie aux femmes. Des tests sont en cours aux États-Unis.