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Des médicaments nouvelle génération sur la sellette

Une étude danoise parue dernièrement dans JAMA nous apprend que les risques pour le bébé ont été évalués quant à des médicaments nouvelle génération employés notamment pour traiter les troubles bipolaires et les migraines.

Ces médicaments antiépileptiques, s’ils sont ingérés durant le premier trimestre de grossesse, ne représentent finalement aucun risque de défectuosités de naissance majeures.
 
Mentionnons au passage que les mêmes médicaments, mais de la génération précédente, avaient présenté un lien avec les problèmes natals.
 
L’étude du Statens Serum Institut de Copenhague a porté sur 837 795 naissances ayant eu lieu au Danemark entre janvier 1996 et septembre 2008.

Les médicaments antiépileptiques nouvelle génération concernés sont la gabapentine, la lamotrigine, le lévétiracétam, l’oxcarbazépine et le topiramate.

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Un médicament contre les fraises de bébé

On a découvert par hasard un nouveau traitement contre les hémangiomes, selon les Archives of Otolaryngology – Head & Neck Surgery. Communément appelé une fraise, l’hémangiome est en fait une tumeur bénigne des cellules qui recouvrent les vaisseaux sanguins.

Assez fréquentes sur le cou et la tête des bébés (4 à 10 % des nouveau-nés), les fraises se reconnaissent à leur couleur rouge et à leur texture bosselée.
 
Or, des chercheurs soignant un enfant ayant des problèmes cardiopulmonaires et des hémangiomes ont remarqué qu’un médicament, le propranolol, avait fait pâlir les fraises.
 
Des tests ont bien entendu suivi. Une recherche menée par les Hospices Civils de Lyon a démontré des résultats probants pour 37 enfants sur 39. Le retour d’un hémangiome a par ailleurs été rare après le traitement, et celui-ci s’est avéré des plus efficace lorsqu’il était donné dès l’apparition de la lésion.

Ainsi, ce bêtabloquant pourrait venir à remplacer les corticostéroïdes auxquels on a recours en ce moment pour venir à bout des hémangiomes.

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Médicaments pour le TDAH : aucun risque cardiovasculaire

Il semble qu’il n’y a aucun risque d’accidents cardiovasculaires pour les enfants comme pour les adolescents qui prennent des médicaments pour leur trouble déficitaire de l’attention (TDAH).

Selon les résultats d’une équipe de l’Université de la Pennsylvanie à Philadelphie, les enfants qui suivent ce genre de traitement n’ont pas plus de risques de souffrir d’arythmie ventriculaire ou de mort subite.

Ces données sont le fruit de comparaisons entre des enfants qui prenaient lesdits médicaments et d’autres qui n’en ingéraient pas.
 
Rappelons-nous qu’en 2006, la Food and Drug Administration (FDA) des États-Unis avait demandé que les étiquettes de ces produits soient changées afin que l’on avise le public de risques potentiels. Certains cas de mort subite chez des enfants et des adolescents avaient sonné l’alarme quant à des risques cardiovasculaires.
 
Déjà, en début d’année, la FDA avait annoncé qu’à la suite de résultats préliminaires, des avis ne s’avéraient plus nécessaires.

Les résultats complets de cette étude sont parus dernièrement dans Pediatrics.

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La prise régulière de paracétamol augmente les risques de cancer du sang

Les personnes qui prennent du paracétamol, aussi appelé acétaminophène, la majorité des journées de la semaine doublent leur risque de développer une forme relativement rare de cancer du sang. Normalement, ce risque est de 1 %, mais ils passent à 2 % avec le médicament.
 
Ce sont des chercheurs américains qui arrivent à ces résultats après avoir suivi 65 000 personnes pendant six ans au Fred Hutchison Cancer Reasearch Centre à Seattle.
 
Selon le Telegraph, durant l’étude, 577 personnes (un peu moins de 1 %) ont développé un cancer du sang comme un lymphome ou un syndrome myélodysplasique. Ces personnes avaient majoritairement déclaré prendre du paracétamol régulièrement.
 
Dans le groupe où la grande majorité n’avait pas développé de cancer, 5 % disaient prendre l’analgésique moins de quatre fois par semaine. Cependant, ils étaient 9 % à prendre le médicament plus souvent dans le groupe des participants cancéreux.
 
Toutefois, d’autres recherches seront nécessaires pour valider les résultats, car certains chercheurs affirment qu’il n’existe aucun mécanisme connu liant le paracétamol au cancer du sang.
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Un médicament durant la grossesse causerait l’asthme

Selon Santé log, il y aurait un lien clair entre le paracétamol et l’asthme infantile. La prise de ce médicament par la future maman exposerait le fœtus à des risques.

Six études convergent donc pour statuer que le paracétamol est en lien avec l’asthme infantile et la respiration sifflante. En fait, trois de ces études présentent indéniablement une corrélation entre le paracétamol et les problèmes respiratoires.
 
Il semble précisément que les enfants dont la mère a pris ce médicament pendant sa grossesse couraient 21 % plus de risques d’avoir une respiration sifflante.

Toutefois, les chercheurs demandent aux femmes enceintes de ne pas sauter aux conclusions trop rapidement. D’autant plus qu’il existe d’autres facteurs de risque important quant à l’asthme infantile. Par exemple, le tabagisme passif comporte de graves risques pour la santé future de l’enfant.

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Étude controversée sur des femmes enceintes obèses

Pas moins de 400 volontaires testent en ce moment une pilule qui pourrait s’avérer une solution quant à la prévention de l’obésité et de ses maladies sous-jacentes. Il s’agit d’une étude controversée portant sur des patientes de trois hôpitaux anglais (Liverpool, Édimbourgh et Coventry).

Les femmes de cette étude, toutes obèses, mais non diabétiques, prennent donc de la metformine depuis près de 12 semaines. Elles peuvent en prendre jusqu’à trois fois par jour. Mentionnons au passage que la moitié des participantes prennent un placebo.
 
Selon le DailyMail, ce médicament, qui serait sans danger et qui est déjà pris par des diabétiques, pourrait empêcher ces femmes de mettre au monde un bébé obèse. La metformine réduirait l’apport de nourriture transmis à l’enfant.
 
On se demande bien sûr pourquoi des médecins se tournent vers cette voie, alors que ce problème pourrait être éradiqué par de meilleures habitudes alimentaires et de l’exercice. Il semble toutefois que l’épidémie d’obésité est trop importante et qu’il faut agir.
 
En ce moment, près de la moitié des femmes enceintes ont un surpoids ou sont obèses et plus de 15 % d’entre elles souffrent d’obésité. On pense de plus en plus qu’un fort poids de naissance est directement lié à un futur surpoids.

On a déjà reconnu que les problèmes de poids peuvent être créés dès que le bébé est dans le ventre de sa mère. De plus, un surpoids peut entraîner des problèmes de santé durant la grossesse, comme la prééclampsie.

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Un médicament en comprimer aussi efface que les inhalateurs contre l’asthme

Habituellement, les personnes asthmatiques ont recours aux inhalateurs pour soulager leurs symptômes. Pourtant, il existe depuis quelques années des médicaments en comprimés, à prendre quotidiennement, qui sont tout aussi efficaces.
 
Selon le New England Journal of Medicine, les médicaments connus sous les noms de Singulair et Accolate ne sont pas très prescrits contre l’asthme, mais certaines personnes qui n’aiment pas les inhalateurs les apprécieraient.
 
Plus simples d’utilisation, ces comprimés à prendre tous les jours sont des antagonistes des récepteurs des leucotriènes (ARLT) et traitent aussi bien les symptômes. C’est la conclusion à laquelle parviennent des chercheurs qui ont suivi 650 personnes âgées de 12 à 80 ans prenant soit des inhalateurs ou des comprimés.
 
On espère que les données de cette recherche inciteront davantage les médecins à prescrire les traitements en pilules pour les personnes asthmatiques.
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Un médicament contre le VIH efficace contre le cancer du col de l’utérus

Une équipe de l’Université de Manchester a découvert qu’un médicament couramment utilisé contre le VIH pourrait être très efficace pour prévenir le cancer du col de l’utérus, causé par le virus du papillome humain (VPH).
En effet, l’antiviral lopinavir aurait démontré de bons résultats. On souhaite maintenant passer à des essais cliniques pour confirmer les premières données obtenues en laboratoire, mentionne la revue Antiviral Therapy.
 
« Nous avons découvert que le lopinavir tue les cellules infectées par le VPH, de manière sélective, tout en préservant globalement les cellules saines. C’est une constatation très importante, car ces cellules ne sont pas cancéreuses, mais sont très proches de cellules présentes dans une infection précancéreuse du col de l’utérus. Le lopinavir tue ces cellules infectées par le VPH en réactivant un système antiviral bien connu », explique le Dr Ian Hampson.
 
Rappelons que pour le moment, aucun vaccin ne protège de toutes les souches du virus du papillome humain. Autrefois administré aux jeunes filles, un vaccin a récemment élargi sa cible jusqu’aux femmes de 45 ans. Les jeunes hommes peuvent également se faire vacciner contre le VPH.
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Une nouvelle option pour soigner la maculopathie

Des chercheurs de l’Institut national de l’oeil aux États-Unis ont découvert que le médicament Avastin serait tout aussi efficace que les injections de Lucentis pour traiter la maculopathie.
 
Cette maladie banale de l’œil est causée par un endommagement de la macula, mais peut entraîner la cécité.
 
Sur une étude effectuée auprès de 1 200 patients, on a remarqué que l’amélioration de la vue était la même avec les deux traitements. Seulement, Avastin coûte 50 $ par mois, alors que Lucentis en coûte 2 000 $ pour la même période.
 
Les deux médicaments sont fabriqués par Roche Genetech. Avastin est d’abord un traitement contre le cancer.
 
Durant l’étude, on a relevé plus d’effets secondaires chez le groupe ayant reçu le médicament bon marché, mais les experts affirment qu’en général, ils ne seraient pas liés au traitement.
 
Toutefois, des études plus étendues doivent être effectuées pour confirmer les résultats et démontrer hors de tout doute que les deux traitements contre la maculopathie sont sécuritaires.
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Le traitement de l’épilepsie influencé par le revenu?

Le Centre médical de l’Hôpital pour enfants de Cincinnati a relevé que 58 % des enfants n’ont pas suivi leur traitement contre l’épilepsie durant les 6 premiers mois qui ont suivi le diagnostic. Ces données touchent 124 enfants âgés de 2 à 12 ans.

Il semble que la prise non régulière de leurs médicaments serait due à la situation socio-économique de la famille. Un triste lien a donc été fait entre la pauvreté et le manque d’accès aux médicaments.
 
Ce manque peut compromettre les résultats d’un traitement, en plus d’influencer l’interprétation médicale quant à la réponse aux médicaments, puisqu’ils ne sont pas, dans ce cas, pris sur une base régulière comme il se devrait.

Les résultats complets de cette recherche s’étant étendue sur six mois sont parus dernièrement dans le Journal of the American Medical Association.