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Bientôt un nouveau traitement contre le diabète

De nombreux diabétiques doivent quotidiennement s’injecter des doses d’insuline afin de contrôler leur maladie. Habituellement, les injections sont surtout pour les personnes avec le diabète de type 1, mais le tiers des celles ayant le diabète de type 2 doivent aussi avoir recours aux douloureuses piqûres.
 
The Lancet mentionne que les injections quotidiennes pourraient être remplacées par un traitement trois fois par semaine. Cela provoquerait moins de perturbations du mode de vie des personnes atteintes.
 
Des chercheurs ont fait des essais sur 245 personnes avec le diabète de type 2. Certaines avaient un médicament oral quotidien, d’autres des doses de Degludec trois fois par semaine et les autres avaient des injections quotidiennes d’insuline.
 
Le diabète a pu être bien contrôlé dans les trois groupes, mais avec le traitement trois fois par semaine, il y avait moins de complications, comme des convulsions rencontrées parfois, et la fréquence des crises d’hypoglycémie était moindre.
 
Bien entendu, les recherches doivent se poursuivre, mais cela représente un bon espoir de venir en aide aux diabétiques prochainement.
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Dangers d’un médicament pour femme enceinte

La Food and Drug Administration aux États-Unis vient d’émettre un avis important quant à un médicament donné aux femmes enceintes, nous apprend Medical News Today.

La terbutaline est employée depuis un bon moment pour prévenir les accouchements prématurés. Or, son administration est maintenant bannie à cause d’évidents problèmes cardiaques et de décès.

Ce médicament était utilisé à la base pour prévenir et traiter des bronchospasmes liés à l’asthme, à la bronchite et à l’emphysème. On lui a par la suite reconnu la vertu d’empêcher les naissances prématurées.

Toutefois, depuis ce changement dans son utilisation en 1976 jusqu’à 2009, 16 décès de femmes enceintes ont été relevés.

De plus, 12 cas de problèmes cardiovasculaires sévères reliés à l’administration de la terbutaline ont été rapportés de 1998 à 2009, dont des cas d’arythmie cardiaque, d’hypertension et d’œdème pulmonaire.

Le traitement à la terbutaline est désormais proscrit aux femmes enceintes, qu’il soit sous forme orale ou par injection.

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Le zinc serait excellent pour combattre le rhume

Après avoir analysé quinze études cliniques sur le sujet, des chercheurs affirment que le zinc est excellent non seulement pour prévenir le rhume, mais aussi pour le combattre en réduisant sa durée et la gravité de ses symptômes.
 
On croit donc que le zinc pourrait éventuellement remplacer la vitamine C, couramment utilisée pour combattre le rhume.
 
Dans les études, on a constaté que les personnes qui avaient pris des sirops et pastilles de zinc toutes les deux heures pendant qu’elles avaient un rhume étaient deux fois plus susceptibles d’en guérir en moins d’une semaine, comparativement aux personnes ayant pris un placebo.
 
De plus, les enfants ayant pris du zinc une fois par jour pendant cinq mois avaient moins de rhumes également.
 
Par contre, les experts mettent en garde la population, car on ignore encore la dose qui serait la meilleure pour vaincre le rhume. Aucune recommandation formelle ne peut donc être faite pour le moment.
 
Dans les études, des doses allant de 30 à 160 mg par jour ont été utilisées pour combattre le rhume, alors qu’en prévention, les doses étaient de 15 mg quotidiennement.
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Un nouveau traitement prometteur contre le C. difficile

Des scientifiques ont créé un nouvel antibiotique, la fidaxomicine, qui est capable de réduire considérablement la récurrence des infections à la bactérie Clostridium difficile (C. difficile).
 
Jusqu’à présent, seul le médicament vancomycine était donné aux patients infectés. Toutefois, le nouveau traitement élimine mieux la bactérie, et ce, sans détruire la flore intestinale.
 
La fidaxomicine a réduit de 45 % la récurrence de l’infection lors des essais cliniques sur 629 personnes entre mai 2006 et août 2008.
 
« L’essai clinique montre une réduction significative de la récurrence de l’infection par la bactérie C. difficile, comparé aux résultats obtenus avec la vancomycine », explique le coauteur de l’étude, le Dr Thomas Louie.
 
Selon le New England Journal of Medicine, le C. difficile est une menace de plus en plus grande et cause des épidémies un peu partout dans le monde chaque année. Ainsi, un nouveau médicament plus efficace devrait être bien accueilli, mais pour le moment, la fidaxomicine n’est pas approuvée aux États-Unis ni au Canada.
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Nouvel espoir contre le cancer du poumon

Le tamoxifène, un médicament anti-œstrogène que l’on utilise pour traiter certains cancers du sein, réduirait les risques de mortalité dans les cas de cancer du poumon, selon une étude publiée dans la revue américaine Cancer.
 
Les chercheurs se sont penchés sur ce médicament après avoir observé que les femmes en ménopause qui suivaient une thérapie hormonale à l’œstrogène avaient un risque accru de mourir d’un cancer du poumon.
 
On s’est donc questionné à savoir si bloquer les œstrogènes pourrait réduire les risques de cancer.
 
Après avoir suivi 6 655 femmes avec le cancer du sein, dont 46 % avaient reçu le tamoxifène, les scientifiques ont constaté que celles qui avaient eu l’anti-œstrogène avaient 87 % moins de risques de mourir d’un cancer du poumon.
 
« Si de futures études confirment nos conclusions et déterminent que les agents anti-œstrogènes améliorent la survie des personnes atteintes de cancer du poumon, cela pourrait avoir des conséquences substantielles sur la pratique clinique », explique celle qui a mené l’étude, la Dre Elisabetta Rapiti.
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Une nouvelle façon de traiter l’hypertension

Une étude risque de remettre en question la présente méthode pour traiter l’hypertension.
 
Selon des recherches menées à l’Université de Cambridge, il vaut mieux traiter l’hypertension avec deux médicaments en même temps dès le départ. Cela réduit la pression de 25 % comparativement à la présente méthode qui enchaîne différents médicaments les uns après les autres au fil des mois, rapporte The Lancet.
 
En commençant par deux médicaments au même moment, l’hypertension est maîtrisée plus rapidement et efficacement, en plus des effets secondaires qui sont moindres.
 
Les chercheurs sont parvenus à cette conclusion après avoir étudié le cas de 1 250 personnes souffrant de pression artérielle élevée.
 
Il s’agit d’une importante découverte qui remet en cause la méthode utilisée depuis de nombreuses années. En prenant les médicaments en série, l’organisme arrive à les neutraliser chacun leur tour, affirment les scientifiques. Avec deux en même temps, l’organisme de parvient pas vraiment à le faire.
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On s’inquiéterait trop de la fièvre

Selon une étude dont les conclusions sont parues dans le Journal of the American Medical Association, une forte fièvre éblouirait les parents quant aux réels problèmes de santé de l’enfant.

Une forte fièvre devrait être considérée comme un phénomène courant et normal plutôt que la raison première d’une entrée à l’hôpital.

Il semble en effet qu’un grand nombre de parents en oublient de s’inquiéter de la déshydratation de l’enfant par exemple, tellement ils considèrent le nombre inscrit au thermomètre.

Un autre point relevé dans cette étude du Centre médical de l’Université de New York est que la posologie des médicaments pour enfants est peu claire.

Comme on sait, l’administration trop faible d’un médicament contre la fièvre n’a aucun effet, tandis qu’une trop forte dose peut devenir dangereuse.

De plus, la concentration de l’acétaminophène et de l’ibuprofène n’est jamais la même et a changé au cours des dernières années.

On rappelle donc de toujours se fier au poids de l’enfant pour doser ces médicaments et, surtout, de devenir vigilant aux autres symptômes d’une maladie.

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Une charte des médicaments durant la grossesse

Il demeure aujourd’hui incertain de prendre un médicament ou un autre durant la grossesse, car on ignore souvent les risques encourus pour le bébé.

Des membres du Children’s Hospital Boston Informatics Program (CHIP) aux États-Unis ont donc élaboré une charte sur le sujet.

Pour ce faire, ces chercheurs ont détaillé 619 médicaments reconnus pour avoir un haut facteur de risque pour le fœtus. On savait aussi quelles protéines et quels gènes ceux-ci pourraient influencer.

Le CHIP a donc pu démontrer que les médicaments influant sur les gènes associés aux malformations congénitales étaient les plus dangereux.

Bien que des recherches subséquentes soient nécessaires à la mise au point de cette charte, on peut déjà en lire les détails dans le Reproductive Toxicology.

Les chercheurs soulignent finalement que les femmes enceintes ne doivent pas omettre de prendre des médicaments qui leur sont nécessaires.

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Une combinaison de médicaments pour mieux traiter le cancer du sein

Pour la toute première fois, des chercheurs ont testé l’efficacité de l’herceptine combinée avec le Tykerb au premier stade d’un cancer du sein.
 
L’équipe du Dr Jose Baselga, du Massachusetts General Hospital Cancer Center, a découvert que la combinaison des deux médicaments améliorait les chances de guérison des femmes atteintes par la maladie. Deux fois plus de femmes ont vu leur tumeur régresser.
 
455 femmes ont participé à l’étude. Elles ont reçu soit un des deux médicaments ou les deux. Elles ont aussi été traitées avec de la chimiothérapie et du Paclitaxel.
 
50 % de celles qui avaient eu l’herceptine et le Tykerb combinés ne montraient pas de signe de propagation du cancer lors de la chirurgie pour retirer la tumeur, alors que 25 à 30 % de celles qui n’avaient reçu qu’un des deux médicaments ne montraient aucun signe de progression.
 
Par contre, le Tykerb provoque de la diarrhée et, surtout, la combinaison des deux médicaments coûte 6 000 $, soit deux milles de plus qu’avec l’herceptine. Aussi, ce ne sont pas toutes les provinces canadiennes qui en assument les frais.
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Nouvelle avenue pour les bébés de mères toxicomanes

Un nouveau médicament, la buprénorphine, permettrait aux bébés nés de mères toxicomanes de rester moins longtemps à l’hôpital et de vivre un sevrage plus supportable, et ce, à un moindre coût.

Les résultats d’une étude publiée dans le New England Journal of Medicine indiquent en effet que ce médicament est tout aussi efficace chez la mère et chez son bébé que la méthadone.

Dans le cadre de cette étude, les bébés qui ont reçu de la buprénorphine ont eu besoin de moins de morphine que ceux soignés avec la méthadone pour traiter leur syndrome d’abstinence néonatale.

De plus, moins de jours ont été nécessaires au traitement de ce syndrome (4,1 au lieu de 9,9). Les poupons ont donc été hospitalisés moins longtemps, soit 10 jours au lieu de 17,5.

Beaucoup d’espoir réside donc en ce médicament qui pourrait réduire en plus les coûts liés au sevrage de la mère et de l’enfant. Finalement, les bébés en cause connaîtraient un soulagement plus rapide de leurs souffrances.