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Les médicaments contre les brûlures d’estomac durant la grossesse : aucun danger

Une femme enceinte peut prendre des médicaments, sous ordonnance ou non, pour soulager ses brûlures d’estomac sans s’inquiéter.

Une étude danoise parue dans le New England Journal of Medecine, basée sur plus de 840 000 naissances de 1996 à 2008, soutient que les problèmes de naissance ne peuvent être que finement liés aux médicaments cités.

Sur le lot, 3,4 % des bébés dont la mère avait pris des médicaments contre les brûlures d’estomac avaient reçu un diagnostic de problèmes majeurs de naissance, contre 2,6 % pour ceux dont la mère n’en avait pas pris.

Les analyses ont été faites en deux parties. Pour l’une, il s’agissait des femmes qui avaient ingéré de tels médicaments 4 semaines avant la conception jusqu’à la 12e semaine de gestation. Pour l’autre, les femmes en avaient pris de la semaine 0 jusqu’à la semaine 12 de gestation. Cela correspond au premier trimestre de grossesse.

Il n’y a donc aucun lien assez fort qui peut être soutenu, et ce, même en ayant retiré tous les autres facteurs de risque pouvant influer sur les résultats.

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Les médicaments contre le rhume étant retirés, les visites chez le médecin diminuent

Selon Pediatrics, la fréquence et la durée des visites médicales auraient chuté depuis que des médicaments contre le rhume et la toux ont été retirés des rayons en 2007.

C’est ce que suggère une étude réalisée par le Dr Daniel S. Budnitz et ses collègues du CDC (Center for Disease Control et Prevention) d’Atlanta.

Ils ont pu tirer ces conclusions après avoir analysé un échantillon de 60 entrées à l’hôpital reliées à des besoins pédiatriques. Il semble que les entrées d’enfants de moins de 2 ans aient chuté 14 mois avant et 14 mois après le retrait des médicaments contre le rhume.

Parallèlement, les hospitalisations reliées à l’administration incorrecte ou sans supervision de ces médicaments sont encore une réalité.

En fait, les hospitalisations dues aux médicaments contre le rhume représentent les deux tiers de toutes les entrées, un nombre qui demeure le même avant et après leur retrait du marché.

Il est donc préférable d’éviter d’administrer de tels médicaments à des enfants âgés de moins de deux ans, voire quatre, en raison des effets secondaires.

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Aurait-on trouvé la fontaine de jouvence?

La revue Cell nous apprend que les scientifiques viennent de faire un pas de plus vers un médicament qui pourrait ralentir le vieillissement.
 
Depuis un moment déjà, la science a découvert qu’un apport calorique moindre ralentissait le processus de vieillissement et améliorait la santé à long terme.
 
Cette fois, les chercheurs de l’Université Wisconsin-Madison ont découvert que l’enzyme SIRT3 pouvait ralentir la mort des cellules si l’on en augmentait son niveau dans l’organisme.
 
L’augmentation de la SIRT3 freine les radicaux libres qui provoquent bien des désagréments reliés à la vieillesse, comme les rides, la peau relâchée et la raideur des articulations.
 
Le tabagisme, les bains de soleil, la grande consommation de friture et le stress augmentent ces radicaux libres, faisant donc en sorte d’accélérer le vieillissement des cellules.
 
Cette découverte pourrait mener à la création d’un médicament qui permettrait de prolonger la vie. Les recherches doivent toutefois se poursuivre encore quelques années.
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La résonance magnétique pourrait prédire le traitement d’un enfant anxieux

Des neuroscientifiques de l’Université de Georgetown ont observé la réaction de 13 garçons et 10 filles lorsqu’ils passaient une imagerie par résonance magnétique. Les participants souffraient tous de problèmes d’anxiété.

Selon les chercheurs, la réaction de l’enfant souffrant de troubles anxieux indique si son cas nécessite une thérapie ou des médicaments.

Pour arriver à leurs conclusions, ils ont montré aux sujets des images de visages heureux et apeurés, ainsi que d’autres émotions clairement reconnaissables.

Les résultats de l’étude, parus dans Pediatrics, supposent que les enfants âgés de 8 à 16 ans ont moins de chances de réussite dans une thérapie de 8 semaines s’ils ont eu peur en voyant un bonhomme sourire en entrant dans le scanneur.

À l’opposé, ceux qui ont ressenti la peur en voyant des visages présentant cette même émotion sont de meilleurs sujets à la thérapie.

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Les enfants de mères épileptiques réussissent moins à l’école

Une récente étude publiée dans Epilepsia nous en apprend un peu plus sur l’effet des médicaments antiépileptiques multiples sur le bébé à naître.

Celle-ci a été réalisée conjointement par deux universités suédoises. Les chercheurs ont suivi des femmes entre 1973 et 1986. Elles avaient toutes pris des anticonvulsifs pendant leur grossesse.

Ils ont ensuite regardé les résultats scolaires des 1 235 enfants nés de ces femmes, après qu’ils aient obtenu leur diplôme d’études secondaires. Les chercheurs ont pu les comparer avec ceux des autres enfants, qui étaient au nombre de 1 307 083.

Rappelons que la prémisse de cette recherche était de prouver que les médicaments pour maîtriser l’épilepsie avaient des effets néfastes sur l’enfant. On soupçonnait notamment des dommages cognitifs, des retards psychomoteurs et un plus faible quotient intellectuel.

Il en est finalement ressorti que les enfants ayant été exposés à certains traitements de la mère couraient plus de risques de ne pas terminer leurs études secondaires. Ils avaient aussi moins de chances de réussir avec une mention d’excellence.

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Antidépresseurs et risques encourus pour le bébé

Les femmes enceintes devraient redoubler de prudence si elles prennent du Prozac ou un médicament similaire.

Des chercheurs marseillais viennent en effet de reconnaître certains effets sur le nouveau-né. Pour ce faire, ils ont mené des recherches sur des souris.

En observant les souriceaux nés après qu’on ait administré du Prozac à la mère, ils ont remarqué que l’un de ses composants influait sur certains des réflexes des petits.

Il semble que la fluoxétine, une substance présente dans ce médicament et aussi dans d’autres types d’antidépresseurs, empêche le nouveau-né de réguler comme il se doit sa respiration.

Plus précisément, elle empêcherait l’adaptation du système nerveux du bébé lorsque celui-ci doit augmenter sa fréquence respiratoire. Les cas cités demandant cette augmentation sont les coliques, la tétée et les pleurs. Le nourrisson doit aussi augmenter cette fréquence quand il se trouve dans une pièce enfumée.

Il semble donc que cette molécule se transmette de la mère à l’enfant par le sang ou par le biais de l’allaitement.

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On retire un médicament homéopathique pour bébés

Le produit Teething Tablets, destiné à soigner les maux de gencives, a fait l’objet d’un rappel, nous apprend La Presse. Le mauvais dosage d’une plante vénéneuse en est la cause.

Celle-ci, la belladone, contient une importante quantité d’alcaloïdes toxiques. D’après la FDA, son dosage est inégal d’un comprimé à l’autre, d’où le rappel obtenu auprès du fabricant.

Selon le laboratoire homéopathique Hyland’s, ce médicament est offert sur le marché depuis 1945.

La FDA a par ailleurs relevé plusieurs plaintes des consommateurs quant aux effets secondaires dus à la belladone, dont des attaques, une difficulté à respirer, une léthargie, un sommeil excessif, une faiblesse musculaire, des rougeurs cutanées, une constipation, une difficulté à uriner ou une agitation.

Les Teething Tablets ont pu être vendues aux États-Unis, car les médicaments homéopathiques n’y font l’objet d’aucune règlementation.

L’entreprise Hyland’s s’est toutefois déjà défendue d’intoxiquer les bébés, affirmant en 2007 que les comprimés concernés ne contenaient que 0,2 microgramme des alcaloïdes toxiques de la belladone. Ainsi, d’après elle, il faudrait faire ingérer autour de 1 000 comprimés à un bébé de 5 kg pour que celui-ci ressente des effets nocifs.

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Un médicament contre l’arthrite juvénile

Les parents d’enfants atteints d’arthrite juvénile peuvent enfin voir la lumière au bout du tunnel. L’entreprise pharmaceutique Roche a déposé une demande d’homologation pour l’Actemra.

Ce traitement est une alternative à ce qui est déjà proposé pour la maladie. En effet, le traitement actuel consiste en l’administration de fortes doses de corticoïdes, qui peuvent entraîner des effets secondaires.

L’Actemra est utilisé en ce moment contre la polyarthrite rhumatoïde, mais il pourrait traiter une certaine forme d’arthrite juvénile.

L’entreprise suisse a donc fait une demande d’homologation aux agences américaine et européenne du médicament.

Dès l’âge de 18 mois, les bébés peuvent être atteints de ce mal qui consiste en une inflammation des articulations. D’autres symptômes peuvent s’y ajouter, comme de la fièvre, des rougeurs ou encore de l’anémie. De plus, un grossissement de la rate ou du foie peut survenir des suites de cette maladie.

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Un médicament pour mieux dormir

Dans un environnement bruyant comme la ville, il est parfois difficile pour certaines personnes de trouver le sommeil.
 
L’équipe du Dr Ellegogen a voulu savoir comment fonctionnait le cerveau durant le sommeil.
 
Avec 12 hommes et femmes volontaires qui ont été observés en clinique pendant trois nuits, les chercheurs ont pu voir comment le thalamus, cette partie du cerveau qui envoie des impulsions électriques aux autres parties du cerveau, fonctionnait, rapporte Top Santé.
 
Plus le thalamus est actif, moins la personne sera perturbée par le bruit durant son sommeil. Les médecins souhaitent donc que cette découverte leur permette de créer un médicament antibruit qui stimulerait l’activité du thalamus et permettrait à plus de gens, dont ceux qui souffrent d’insomnie, de dormir profondément.
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Bientôt un médicament contre la dépression post-partum

Les Archives of General Psychiatry rapportent que des psychiatres élaborent en ce moment un complément alimentaire qui pourrait prévenir les dépressions post-partum.
 
Cette petite pilule serait entièrement composée de produits naturels et serait totalement compatible avec l’allaitement, ce qui n’est pas le cas avec les antidépresseurs. Elle aiderait à stabiliser l’humeur de la nouvelle maman.
 
La dépression postnatale touche 13 % des nouvelles mères. Celles-ci deviennent tristes, irritables, manquent d’appétit et se sentent inutiles. Dans les cas les plus graves, ces symptômes perdurent jusqu’à un an après la naissance.
 
On a découvert que la dopamine et la sérotonine, des substances qui équilibrent l’humeur dans le cerveau, sont diminuées par l’enzyme MOA-A (monoamine-oxydase A). Les femmes qui viennent d’accoucher ont un taux de MOA-A jusqu’à 43 % supérieur aux autres femmes. On souhaite donc réduire cette enzyme qui absorbe trop de dopamine et de sérotonine.
 
Rappelons que le manque de soutien et l’isolement sont les principaux facteurs des dépressions post-partum.