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Un Québécois sur trois ignore sa prescription

Radio-Canada rapporte une statistique étonnante qui porte à réflexion, alors qu’une nouvelle étude affirme que le tiers des Québécois ne respecte pas les ordres du médecin lorsque celui-ci effectue une prescription.

Un Québécois sur trois, donc, ignorerait le traitement prescrit par son médecin, un résultat qui étonne les chercheurs de l’Université McGill en tête de l’étude. Malgré tout, la statistique ressemble au résultat obtenu chez nos voisins du sud, alors que les États-Unis affichent des résultats semblables en la matière.

Les raisons de ces refus d’obtempérer ne sont pas encore connues, puisque l’étude en question ne comprend pas de sondage à cet effet. On ne peut donc que spéculer sur les résultats obtenus par l’épidémiologiste Robyn Tamblyn, mais on peut s’attendre à ce que la peur des médicaments et leurs coûts parfois très élevés soient au cœur du phénomène.

38 % des prescriptions d’antidépresseurs, par exemple, ne seraient pas respectées par les patients, un sommet dans cette étude. Encore plus inquiétant, un nombre élevé de prescriptions de médicaments contre l’insuffisance coronaire, l’hypertension artérielle, le cholestérol et le diabète ne sont également pas respectées.

Les conclusions et statistiques de l’étude ont été publiées dans les Annals of Internal Medicine.

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Les médicaments contre l’anxiété pourraient réduire l’espérance de vie

Vivre moins anxieux, mais moins longtemps, voilà possiblement le résultat obtenu par ceux qui consomment certains des médicaments anti-anxiété bien connus retrouvés sur le marché.

C’est le constat et la supposition que fait le Dr Scott Weich de l’Université de Warwick, qui publie une étude sur le sujet, rapporte le NY Times.

La recherche du Dr Weich et de ses collègues s’appuie sur sept ans d’analyse des dossiers de près de 35 000 patients, qui ont tous consommé certains des médicaments contre l’anxiété les plus connus, comme le Valium, le Xanax, l’Ambien, le Sonata et le Lunesta, au cours de cette période.

Après avoir compilé les données et ajouté plusieurs facteurs, les chercheurs arrivent à la conclusion que les patients qui utilisent fréquemment ces médicaments ont deux fois plus de chances de mourir prématurément que les autres.

« Cette recherche s’ajoute aux preuves qui s’accumulent que ces drogues sont dangereuses. Je prescris ces médicaments, et ils sont difficiles à abandonner. Moins de temps vous passez sous ces traitements et mieux c’est », lance le Dr Weich.

L’étude de ce dernier a été publiée par le BMJ.

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Les médicaments contre l’anxiété pourraient réduire l’espérance de vie

Vivre moins anxieux, mais moins longtemps, voilà possiblement le résultat obtenu par ceux qui consomment certains des médicaments anti-anxiété bien connus retrouvés sur le marché.

C’est le constat et la supposition que fait le Dr Scott Weich de l’Université de Warwick, qui publie une étude sur le sujet, rapporte le NY Times.

La recherche du Dr Weich et de ses collègues s’appuie sur sept ans d’analyse des dossiers de près de 35 000 patients, qui ont tous consommé certains des médicaments contre l’anxiété les plus connus, comme le Valium, le Xanax, l’Ambien, le Sonata et le Lunesta, au cours de cette période.

Après avoir compilé les données et ajouté plusieurs facteurs, les chercheurs arrivent à la conclusion que les patients qui utilisent fréquemment ces médicaments ont deux fois plus de chances de mourir prématurément que les autres.

« Cette recherche s’ajoute aux preuves qui s’accumulent que ces drogues sont dangereuses. Je prescris ces médicaments, et ils sont difficiles à abandonner. Moins de temps vous passez sous ces traitements et mieux c’est », lance le Dr Weich.

L’étude de ce dernier a été publiée par le BMJ.

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Un médicament contre le cholestérol en traitement de la sclérose en plaques?

The National Library of Medicine rapporte les conclusions d’une petite étude britannique qui semble démontrer une certaine efficacité d’un médicament contre le cholestérol en traitement de la sclérose en plaques.

Le médicament en question est le simavastin, commercialisé sous le nom de Zocor, qui semble prévenir la contraction du cerveau dans les cas de sclérose en plaques.

On parle même d’une réduction de ce symptôme pouvant aller jusqu’à 43 % chez certains patients en deuxième stage progressif de sclérose en plaques, une excellente nouvelle.

Le Zocor permettrait donc d’établir une nouvelle façon de faire en traitement de la maladie, si d’autres tests plus poussés venaient à confirmer son double effet.

« L’effet est sous réserve et nécessite une plus grande étude de phase 3, mais semble prometteur pour tous les types de sclérose en plaques. Parce qu’il s’agit d’un médicament (Zocor) déjà approuvé, dont on connaît le profil et qui s’avère peu coûteux, il pourrait devenir possible de l’utiliser assez rapidement si d’autres études confirment l’effet suggéré », résume bien la Dre Jacqueline Palace, neurologiste consultante pour l’Université Oxford.

Les conclusions de l’étude ont été publiées dans l’édition du 19 mars du Lancet.

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Nouvelle avancée dans la quête d’un traitement contre la leucémie

Radio-Canada rapporte une avancée spectaculaire et importante en recherche contre la leucémie et dans la quête pour un traitement de la maladie.

Il appert que des chercheurs de l’Université de Montréal et des spécialistes de la Banque de cellules leucémiques du Québec de l’Hôpital Maisonneuve-Rosemont seraient finalement parvenus à stabiliser et maintenir des cellules souches leucémiques à l’extérieur d’un organisme humain.

Ce qui peut sembler ne pas être une bonne nouvelle du tout s’avère pourtant l’une des clés afin de permettre aux chercheurs d’étudier plus efficacement ces cellules, afin d’en comprendre les comportements.

Les chercheurs, après avoir identifié deux composantes spécifiques, peuvent maintenant « conserver » des cellules souches leucémiques en dehors du corps pour une période pouvant aller jusqu’à sept jours.

On peut donc s’attendre à une augmentation de la qualité des recherches en laboratoire dans la quête d’un traitement contre la leucémie et au développement de nouveaux médicaments contre la maladie, selon cette même source.

Les résultats obtenus par les chercheurs montréalais ont été publiés dans le magazine Nature Methods.

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Près d’un homme dépressif sur deux préfère la psychothérapie

Avec la hausse vertigineuse de la consommation de médicaments au Québec et au Canada, qui vient d’ailleurs de fracasser un record pour 2012-2013, on s’inquiète de plus en plus du phénomène de surconsommation.

C’est particulièrement vrai en ce qui concerne les antidépresseurs, que l’on semble enclin à prescrire dans plusieurs cas. Or, une nouvelle étude trace un portrait différent de la réalité, rapporte Radio-Canada.

La recherche dévoile qu’un homme sur deux atteint de dépression aimerait mieux un traitement par psychothérapie plutôt que par médication, et donc par antidépresseurs. Les chiffres sont encore plus éloquents du côté des femmes, alors que trois femmes sur quatre opteraient elles aussi pour la thérapie et les soins psychologiques.

C’est après avoir sondé 88 patients que les chercheurs ont pu en arriver à cette conclusion, qui trace un portrait différent de ce que la perception populaire nous propose en ce moment.

Encore faut-il que les médecins soient à l’écoute de ces demandes, et qu’ils ne soient pas trop rapides à sortir le carnet de prescription…

L’étude rapportée a été publiée dans le magazine Journal of Affective Disorders.

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Les ventes de médicaments toujours en hausse au Canada

Rien n’indique que les Canadiens consomment moins ou tentent de consommer moins de médicaments qu’auparavant, alors que les statistiques indiquent une nouvelle hausse de consommation et de ventes de ces produits pharmaceutiques.

Ces révélations sont celles de l’Institut canadien d’information sur la santé, qui publie une nouvelle fois son rapport en matière de santé au Canada. On note une hausse considérable et un nouveau record de ventes de médicaments au pays, avec des chiffres avoisinant les 30 millions de dollars.

La seule « bonne nouvelle », cependant, se cache du côté de statistiques de dépenses en médicaments des citoyens, qui bénéficient largement de l’accès aux médicaments génériques sur le marché.

« Si on regarde l’Alberta, par exemple, la contribution des médicaments génériques a augmenté beaucoup au cours des dix dernières années. C’était autour de 20 %, il y a une dizaine d’années, pour arriver maintenant à plus de 40 % au niveau des médicaments génériques. Cette situation-là varie d’une province à l’autre », résume Claude Lemay, porte-parole de l’Institut canadien d’information sur la santé, en entrevue à Radio-Canada.

M. Lemay explique aussi que le changement d’attitude des gouvernements envers les médicaments génériques y est pour quelque chose.

Malgré tout, il faut admettre que ce nouveau record de ventes demeure inquiétant, et qu’une sensibilisation en matière de surconsommation de médicaments reste à faire au pays.

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Un regroupement canadien veut un meilleur accès aux médicaments contre le cancer

Un regroupement canadien, la coalition CanCertitude, va de l’avant et demande un accès plus universel aux médicaments pour les personnes atteintes de cancer, rapporte Radio-Canada.

CanCertitude, qui regroupe près de trente organismes, croit que les patients ontariens et des provinces de l’Atlantique, notamment, n’ont pas droit au même traitement que les autres, et affirme que la couverture santé n’est pas adéquate dans bien des cas.

On sait que les traitements par médicaments dans les cas de cancer se chiffrent souvent dans les milliers de dollars, un stress que les patients n’ont pas besoin de subir en période déjà extrêmement tendue.

Sauf que pour plusieurs spécialistes, à commencer par l’oncologue ontarien Sandy Sehdev, l’avenir de la lutte au cancer passe justement par des traitements oraux. Une amélioration de l’accès aux médicaments s’impose donc.

Les traitements intraveineux contre le cancer sont présentement pris en charge par l’État, parce qu’ils sont offerts en centre hospitalier.

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Un traitement efficace contre l’hépatite C approuvé au Canada

Santé Canada vient de franchir une étape importante dans la quête d’un traitement de l’hépatite C au pays, rapporte notamment Radio-Canada, alors que l’on confirme l’approbation d’une nouvelle forme de thérapie.

S’étalant sur 12 semaines, la triple thérapie en question semble prometteuse et révolutionnaire, alors que déjà plusieurs cas de rémissions sont recensés chez l’humain.

On parlerait même d’un taux d’efficacité de traitement pouvant aller jusqu’à 80 %, et Santé Canada décide d’emboîter le pas en approuvant sur son territoire deux médicaments clés à cette nouvelle forme de traitement de l’hépatite C.

Avec un taux d’efficacité élevé et des effets secondaires réduits, la thérapie permet un espoir sans précédent pour les personnes atteintes de la maladie, et promet même de s’améliorer au cours des prochaines années.

Il faudra maintenant démêler la couverture des frais, que l’on évalue à près de 50 000 $ par traitement, pour savoir qui se verra refiler la facture finale. Chose certaine, il faudra trouver un moyen de procurer le traitement aux gens qui en ont besoin, peu importe la manière.

En terminant, les spécialistes rappellent qu’environ 60 000 Canadiens seraient atteints de l’hépatite C sans le savoir, un problème de taille.

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Êtes-vous inquiet lorsque votre enfant fait de la fièvre?

Selon Top Santé, les parents paniquent encore en situation de fièvre et en oublient l’ABC pour la soigner, engorgeant trop souvent les urgences et cliniques médicales.

L’Institut national de la santé et de la recherche médicale (INSERM) a procédé à un sondage auprès de parents de 6500 enfants âgés de 1 à 12 mois, dont la fièvre durait depuis moins de 2 jours.

La bonne nouvelle, c’est que les parents interrogés savaient 9 fois sur 10 comment mesurer la température, peu importe la méthode (rectale, orale, aisselle, auriculaire). Cependant, moins d’un parent sur cinq savait quelles mesures prendre.

Rappelez-vous qu’un enfant fait de la fièvre uniquement lorsque sa température corporelle atteint 38,5 °C ou 101,3 °F. Les 3 choses à faire :

– Faire boire l’enfant fréquemment, sans que la boisson soit trop froide.

– Éviter de trop couvrir l’enfant.
 
– Aérer la pièce dans laquelle l’enfant se trouve.

Et ne donnez qu’un seul médicament contre la fièvre. Ne combinez jamais deux médicaments différents. Évitez le bain glacé, à moins d’avis d’un médecin.

Si vous avez des inquiétudes, appelez Info santé ou consultez un pharmacien avant de vous rendre à l’urgence.