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Des robots distributeurs de médicaments

Le Centre hospitalier de l’Université de Montréal (CHUM) met officiellement en place un mode de distribution des médicaments effectuée par des robots.

Auparavant, cette tâche était effectuée par le personnel infirmier, qui aura plus de temps à consacrer à ses patients, espère le directeur général par intérim de l’établissement, M. Serge LeBlanc.

Chaque médicament, enveloppé dans des sachets individuels, sera vérifié par les pharmaciens avant d’être distribué par les robots.

Grâce à ce nouveau mode de distribution, le CHUM évalue que chaque infirmière pourra consacrer environ 30 minutes de plus à d’autres tâches. De plus, le risque d’erreur au niveau des ordonnances est réduit considérablement.

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Les antipsychotiques et l’arrêt cardiaque

Une recherche, publiée dans le New England Journal of Medicine, nous apprend que les patients à qui l’on prescrit la nouvelle génération d’antipsychotiques afin de traiter la schizophrénie, la démence ou l’anxiété sont à risque de souffrir d’une défaillance cardiaque.

Parmi les médicaments ciblés, on note le clozapine (Clozaril), la quetiapine (Seroquel), l’olanzapine (Zyprexa) et la rispéridone (Risperdal), des antipsychotiques atypiques approuvés par les autorités comme la Food and Drug Administration des États-Unis.

Le Dr Wayne Ray, qui a mené cette étude, a analysé les dossiers médicaux de 44 218 patients qui avaient consommé les « anciens » psychotiques et ceux de 46 089 qui prenaient la nouvelle génération de médicaments.

Il a découvert que ceux du deuxième groupe étaient 2,26 fois plus à risque de mourir d’une défaillance cardiaque que les sujets qui ne prenaient pas ce type de médication. Selon le chercheur, ce phénomène pourrait être attribué à la variation du flot de potassium dans le sang, essentiel pour un bon fonctionnement cardiaque.

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Un nouveau traitement pour le cancer de la prostate?

Selon le Dr Israel Barken et ses collègues, la noscapine, un dérivé de l’opium, réduit de 60 % la progression du cancer de la prostate chez des souris, qui n’ont pas souffert d’effets secondaires au cours du traitement.

Pour cette recherche, publiée dans la revue Anticancer Research, 10 rongeurs ont consommé quotidiennement de l’eau enrichie de noscapine pendant 56 jours.

Une autopsie a ensuite permis de déterminer que, chez les souris qui avaient bu la substance, les cellules cancéreuses étaient moins nombreuses que chez celles qui n’avaient bu que de l’eau.

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Feu vert au Degarelix

Un nouveau médicament injectable contre le cancer de la prostate, le Degarelix, a reçu l’autorisation de la Food and Drug Administration (FDA) américaine pour être commercialisé au pays de l’oncle Sam.

Ce traitement, qui vise les patients atteints d’un cancer à un stade avancé, inhibe la production de testostérone, ce qui ralentit la progression des cellules cancéreuses.

« Le cancer de la prostate est le deuxième cancer le plus mortel chez les hommes aux États-Unis et nous avons besoin de traitements supplémentaires pour ces patients », a noté le Dr Richard Pazdur, qui oeuvre pour la FDA.

Parmi les traitements offerts aux hommes qui souffrent du cancer de la prostate, il y a l’ablation, la radiation, la chimiothérapie et l’hormonothérapie.

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Les cocktails de médicaments

Une récente étude menée par des chercheurs de l’Université de Chicago nous apprend que 4 % des personnes âgées de 57 à 85 ans, soit une personne sur 25, consomment des mélanges dangereux de médicaments, s’exposant ainsi à des risques sérieux pour leur santé.

Ce sont surtout les hommes âgés de 75 à 85 ans qui ont cette habitude, prétend l’auteur derrière ces résultats, la Dre Stacy Tessler Lindau.

« Le grand public sait que prendre en même temps deux médicaments venant de deux ordonnances différentes peut être dangereux. Mais ce que les gens ne mesurent pas vraiment, c’est que les médicaments sans ordonnance peuvent aussi interagir avec des médicaments sur ordonnance et même d’autres en vente libre », a mentionné Mme Tessler Lindau.

29 % des participants à cette recherche consommaient plus de cinq médicaments sur ordonnance, des médicaments en vente libre ou des suppléments alimentaires.

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Nouvel étiquetage des antiépileptiques

La Food and Drug Administration (FDA) des États-Unis ordonne aux fabricants de médicaments contre les crises d’épilepsie de modifier leur étiquetage. En effet, ils devront indiquer clairement la mention « danger : risques suicidaires ».

Cette recommandation fait suite à une étude clinique qui mentionnait que la hausse des pensées suicidaires augmentait dans un ratio d’un patient sur 500.

« Tous les patients qui sont traités en ce moment ou qui commencent un traitement antiépileptique, quelle qu’en soit l’indication, devraient être surveillés pour des changements notables de comportement, indice de l’apparition ou de l’aggravation de pensées ou de comportement suicidaires, et de dépression », a indiqué la FDA.

Les médicaments visés sont, entre autres, le Lamictal de GlaxoSmithKline, le Topamax de Johnson & Johnson et le Lyrica de Pfizer.

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Volte-face de Santé Canada

L’agence de santé fédérale recommande aux parents de donner des médicaments contre la toux et le rhume aux enfants âgés de plus de six ans.

Santé Canada juge que les sirops antitussifs et les produits décongestionnants, lorsqu’ils sont administrés à des poupons, sont nuls en matière de résultat et présentent un certain risque.

« Nous demandons aux compagnies de revoir l’étiquetage de leurs produits de façon à ce qu’il soit inscrit que les médicaments ne devraient pas être recommandés pour les enfants de moins de 6 ans », a fait savoir le directeur du bureau des produits pharmaceutiques à Santé Canada, le Dr Marc Berthiaume.

Les fabricants ont donc jusqu’à l’automne prochain pour revoir leur étiquetage.

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Remboursement d’un médicament pour les cancéreux

La Régie de l’assurance maladie du Québec va désormais rembourser un médicament oral, l’EMEND (aprépitant), qui diminue les nausées et vomissements causés par la chimiothérapie.

Ce médicament, fabriqué par Merck, est le premier d’une nouvelle classe prescrite pour prévenir les symptômes de la chimiothérapie. Il offre l’avantage de diminuer la déshydratation chez les personnes souffrant d’un cancer et ainsi optimiser les traitements de chimiothérapie.

« Les nausées et les vomissements provoqués par la chimiothérapie sont parfois très sévères, au point où certains patients rencontrés dans ma pratique pensent parfois à reporter ou même abandonner leur traitement. Je me réjouis à l’idée qu’une nouvelle option soit maintenant offerte aux personnes recevant de la chimiothérapie pour les aider à prévenir l’apparition des symptômes ainsi qu’à poursuivre leurs activités quotidiennes et leur traitement », a souligné la pharmacienne Mélanie Simard.

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L’indiscipline des femmes aux prises avec l’ostéoporose

Selon une enquête canadienne, menée pour le compte de l’Association internationale des femmes médecins (MWIA), 40 % des femmes âgées de plus de 50 ans ne prennent pas leur médicament contre l’ostéoporose selon les recommandations de leur médecin.

Les raisons invoquées par les patientes sont l’oubli, dans 45 % des cas, ou encore les effets secondaires indésirables des médicaments. De plus, certaines répondantes ont mentionné qu’elles souhaitaient des traitements naturels.

Ces résultats inquiètent l’association, comme en témoigne la Dre Shelley Ross : « Les femmes savent qu’elles sont atteintes d’ostéoporose et que leur traitement est crucial afin de ralentir la perte osseuse. Malgré cela, beaucoup d’entre elles ne prennent pas leur médicament tel que prescrit. Cette situation est très alarmante, car les patientes doivent être fidèles à leur traitement afin de protéger leurs os. »

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L’indiscipline des femmes aux prises avec l’ostéoporose

Selon une enquête canadienne, menée pour le compte de l’Association internationale des femmes médecins (MWIA), 40 % des femmes âgées de plus de 50 ans ne prennent pas leur médicament contre l’ostéoporose selon les recommandations de leur médecin.

Les raisons invoquées par les patientes sont l’oubli, dans 45 % des cas, ou encore les effets secondaires indésirables des médicaments. De plus, certaines répondantes ont mentionné qu’elles souhaitaient des traitements naturels.

Ces résultats inquiètent l’association, comme en témoigne la Dre Shelley Ross : « Les femmes savent qu’elles sont atteintes d’ostéoporose et que leur traitement est crucial afin de ralentir la perte osseuse. Malgré cela, beaucoup d’entre elles ne prennent pas leur médicament tel que prescrit. Cette situation est très alarmante, car les patientes doivent être fidèles à leur traitement afin de protéger leurs os. »