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Les hommes pourraient aussi bénéficier des traitements contre l’ostéoporose

Les hommes plus âgés qui sont à risque de fractures ou de développer des problèmes aux os pourraient bien tirer profit des mêmes médicaments contre l’ostéoporose prescrits généralement aux femmes.

C’est ce qu’avance une étude publiée dans le New England Journal of Medicine, rapportée par www.nlm.nih.gov.

Ces traitements, appelés les bisphosphonates, permettent de renforcer la solidité des os, en créant de la masse osseuse. Plusieurs hommes ont déjà testé ce genre de traitement, et plusieurs en ont vu les bénéfices, notamment pour les os du dos.

Le Dr Robert Recker déclare : « Les problèmes et les risques de fractures ne disparaissent pas parce que vous êtes un homme. Nous avons complètement ignoré ce problème chez les hommes. La moitié des femmes au-dessus de 40 ans vont subir au moins une fracture liée à l’ostéoporose dans leur vie, mais aussi le quart des hommes. C’est un problème substantiel et réel ».

Toujours selon le praticien, qui n’a pas participé à l’étude en question, il existe plusieurs moyens de soulager ces problèmes chez les hommes, tout comme chez les femmes.

« Les bisphosphonates en sont un », assure-t-il.

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Les médicaments sont un « bon premier pas » pour traiter l’alcoolisme

Deux médicaments qui sont souvent utilisés dans le traitement de l’alcoolisme seraient également appropriés à différentes étapes de la thérapie, affirme une étude publiée sur www.nlm.nih.gov.

Campral et ReVia sont deux traitements qui ne déclenchent pas de dépendance, et qui ne rendent pas le patient malade s’il les mélange avec de l’alcool. Voilà qui peut s’avérer pratique pour ceux qui souhaitent arrêter progressivement de consommer, mais sans avoir recours à une cure en centre de désintoxication.

64 tests cliniques d’évaluation ont permis aux chercheurs californiens, à l’origine de l’étude, de découvrir que le Campral permettait d’aider efficacement les patients déjà sobres à ne pas rechuter. Le ReVia, quant à lui, permet de baisser la consommation d’alcool chez les cas plus lourds, en enlevant une partie de « l’appel » de la bouteille.

Au total, c’est 11 000 dossiers de patients qui ont été suivis, et les conclusions sont claires aux yeux des spécialistes : ces médicaments fonctionnent.

Et tout cela a du sens pour les experts en dépendances, vu la façon dont ces médicaments agissent sur le cerveau. Tout cela est logique et bénéfique, selon le Dr. Raymond Anton, du Center for Drug & Alcohol Programs de l’Université de Caroline du Sud.

Crédit photo : www.FreeDigitalPhotos.net

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Les interactions entre médicaments et suppléments à éviter

Les gens qui consomment des médicaments d’ordonnance sont de plus en plus nombreux, et la mode des suppléments alimentaires atteint son paroxysme. S’il n’y a aucun problème dans le fait que les gens se soignent ou s’occupent de leur organisme, certains peuvent survenir lorsqu’on mélange les deux.

C’est ce qu’affirme une étude chinoise que rapporte santelog.com. Ainsi, les spécialistes s’inquiètent d’un nouveau phénomène lié aux interactions entre médicaments et suppléments alimentaires, comme les vitamines en capsule.

Les chercheurs chinois ont étudié 54 articles et 31 études afin de déterminer les effets néfastes possibles de ces interactions. De façon plus précise, on cible les gens traités pour des problèmes neurologiques et cardiovasculaires, ainsi que les consommateurs de médicaments et suppléments contenant du millepertuis, du magnésium, du calcium, du fer ou du ginkgo.

Les résultats tendent à confirmer les craintes de l’équipe de chercheurs. Quelque 882 interactions potentiellement risquées ont été dénombrées. Les principes actifs warfarine, insuline, digoxine et ticlopidine sont des éléments cernés, et il faudrait éviter de les mélanger avec des suppléments.

Des contre-indications sont aussi émises dans le cas de la graine de lin, de l’échinacée et de la yohimbine.

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Comprendre l’effet placebo

L’effet placebo, soit la faculté de guérir par un médicament ou un remède qui n’en est pas un réellement, est l’un des mystères médicaux qui fascinent le plus.

Comment une pilule qui n’en est pas une peut-elle soigner? Comment un patient peut-il se croire traité alors qu’il ne l’est pas?

Des chercheurs du Beth Israel Deaconess Medical Center(BIDMC) et de la Harvard Medical Schoolont tenté de répondre à ces questions, et bien d’autres, concernant le mystère entourant « l’effet placebo », rapporte www.nlm.nih.gov.

Utilisée constamment dans des cliniques et centres pharmacologiques à travers le monde, la méthode du placebo permet entre autres de vérifier les effets d’un médicament sur un groupe de personnes en les comparant avec un autre qui reçoit un placebo.

Pourquoi certaines personnes réagissent alors comme si elles recevaient un médicament véritable? La réponse pourrait se trouver dans le bagage génétique de chaque individu. Certains, par exemple, produiraient plus de dopamine, ce qui contribue à hausser la réponse de ceux-ci devant un placebo.

On appelle ces gens des « placebos-répondeurs », et ces derniers pourraient jouer un rôle majeur dans la conception future de certains essais cliniques. Les chercheurs pensent que l’on pourra bientôt prédire quelles personnes sont des « placebos répondeurs ».

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Un traitement contre l’épilepsie pour perdre du poids?

Un médicament, le zonisamide, vendu sous ordonnance et développé originalement pour traiter l’épilepsie, pourrait venir en aide aux gens qui désirent perdre du poids, affirment des chercheurs dans des propos rapportés par www.nlm.nih.gov.

Bien entendu, comme les solutions miracles n’existent pas vraiment en matière de lutte à l’obésité, cette médication devra être accompagnée d’un suivi par un spécialiste et d’une nutrition attentionnée.

Tout de même, des patients qui ont absorbé 400 milligrammes de zonisamide quotidiennement pendant un an ont perdu jusqu’à 7,5 livres, ce qui est au-dessus des moyennes enregistrées sur des patients qui ne comptaient que sur un régime et un programme d’exercices.

En contrepartie, certains effets secondaires ont été observés.

Le Dr Kishore Gadde, directeur de l’Obesity Clinical Trials Program du Duke University Medical Center à Durham, en Caroline du Nord, explique : « L’idée était de voir si l’on pouvait retrancher plus de poids si l’on associait un nouveau style de vie à ce médicament. Et la réponse est oui ».

Voilà une excellente nouvelle pour les gens aux prises avec des problèmes de poids qui voient leurs options non chirurgicales se limiter à très peu de choses.

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La vérité sur les médicaments

Les médicaments, s’ils sont une source de soulagement, de guérison et d’espoir, mais ils sont aussi source d’inquiétudes et de nombreux questionnements.

Topsanté s’est penché sur la question et rapporte que plusieurs médicaments sont rappelés annuellement pour cause d’effets secondaires, très graves dans certains cas, moins dans d’autres.

Si ce genre de situation est fréquent, cela ne signifie pas pour autant que les vérifications ne sont pas rigoureuses. Malheureusement, des cas de compagnies pharmaceutiques qui trichent lors des tests et examens de normes, ça arrive.

Inquiétant, il faut en convenir. De plus, les médecins semblent de plus en plus enclins à prescrire des médicaments, parfois plus d’un par patient, pour à peu près tous les symptômes présentés. Qu’elles soient utiles ou superflues, ces prescriptions à la chaîne ont de quoi laisser le public songeur.

On suggère d’éviter de changer constamment de médication et de se questionner sur le besoin réel de celle-ci. Si l’on veut poursuivre un traitement, pourquoi changer de type de médicament si le précédent fonctionnait bien et, surtout, sans effets secondaires?

Les gens ont souvent envie d’essayer le produit le plus récent sur le marché. Un comportement à éviter, tout comme voir les médicaments comme des solutions faciles, sans conséquence.

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L’abus de drogues prescrites en baisse chez les jeunes adultes américains

L’utilisation massive des drogues de prescription chez les jeunes de 18 à 25 ans est en baisse de 14 % aux États-Unis, rapporte nlm.nih.gov.

Cette statistique provient d’un rapport fédéral américain rendu public lundi dernier (24 septembre), qui couvre la période entre 2010 et 2011. Durant cette année, le nombre de jeunes adultes admettant utiliser des médicaments d’ordonnances pour des usages autre que médical serait passé de 2 millions à 1,7 million.

Toutefois, la donne n’a pas changé en ce qui concerne les jeunes de 12 à 20 ans, ainsi que la tranche des 26 ans et plus. Autre fait surprenant, selon le National Survey on Drug Use and Health, le taux de consommation d’alcool chez les mineurs est aussi en baisse depuis 2002.

L’usage des drogues illicites, quant à lui, demeure stable chez les jeunes Américains. On parle ici de 8,7 % des jeunes de 12 ans et plus, comparativement à 8,9 % l’an dernier.

La drogue illégale la plus utilisée demeure la marijuana, qui a été consommée par 7 % des Américains en 2011, comparativement à tout juste 6 % en 2007.

Le fait le plus inquiétant de ce rapport concerne l’héroïne, qui a vu sa clientèle augmenter de presque le double depuis 2007 (373 000 en 2007, 620 000 en 2011).

À noter cependant que la classique cigarette passe de 15 % d’usagers pour 2002 à 10,7 % en 2010, pour s’établir à 10 % tout juste en 2011.

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Le jus de pamplemousse rend les anticancéreux plus efficaces

La revue Clinical Cancer Research révèle qu’un verre de jus de pamplemousse par jour permettrait de bénéficier des mêmes effets que trois fois la dose de Rapamycine (ou Sirolimus). Il s’agit d’un médicament qui empêche le rejet des greffes, mais surtout qui a aussi des effets anticancer.

En effet, le jus de pamplemousse que l’on a souvent jugé initiateur d’une surdose de médicament, permettrait plutôt de ralentir le mécanisme de façon naturelle, réduisant par conséquent les doses des médicaments, ce qui entraînerait également une diminution des coûts des traitements.

138 patients avec un cancer incurable ont participé à la recherche. Ils ont été divisés en trois groupes, un qui n’a reçu que le sirolimus seul, un qui l’a reçu avec du Ketocanazole (un médicament qui augmente l’efficacité du traitement) et le troisième groupe a reçu le Sirolimus avec du jus de pamplemousse.

Dans le deuxième et troisième groupe, on a obtenu sensiblement les mêmes résultats, mais il ne faut pas oublier que le jus de pamplemousse est plus naturel que le Ketocanazole, donc cause moins d’effets secondaires indésirables.

Crédit photo : FreeDigitalPhotos.net

 

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Syndrome de Down : un médicament à la rescousse de la mémoire

La qualité de vie des gens atteints du syndrome de Down pourrait être grandement améliorée, car un médicament pourrait stimuler la fonction de leur mémoire et ainsi leur permettre de retenir une foule d’informations importantes. Chose qu’ils ne réussissent plus à faire.

« Jusqu’à maintenant, il n’y avait jamais eu de résultats positifs dans les tentatives d’améliorer les capacités cognitives chez les personnes atteintes du syndrome de Down au moyen de médicaments », explique Alberto Costa, auteur de l’étude de l’École de médecine de l’Université du Colorado.

Les résultats de la recherche qui a duré plus de quatre ans sont publiés dans la revue Translational Psychiatry.

Parmi les 38 adolescents qui ont participé à l’étude, la moitié a pris de la mémantine, et l’autre un placebo pendant 16 semaines. Ceux prenant de la mémantine ont montré une amélioration significative de la mémoire épisodique verbale. L’un des plus graves cas de l’étude a d’ailleurs vu ses compétences de mémoire être améliorées de 10 fois.

M. Costa, qui avait effectué des expériences positives en 2007 sur des souris, dit avoir pour objectif d’entreprendre des tests sur des enfants d’âge scolaire qui sont en pleine période de développement et sur lesquels il serait facile d’avoir un suivi et de percevoir des résultats rapidement.

D’ici cinq ans, l’expert désire aussi savoir si la mémantine peut freiner et même stopper l’apparition de la maladie d’Alzheimer chez les personnes atteintes du syndrome de Down.

Mentionnons que tous les enfants souffrant de la maladie de Down finissent par être atteints d’Alzheimer dans la trentaine.

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Régimes : Méfiez-vous des belles promesses

En cette période estivale où le culte du corps est à son maximum en raison des journées à la plage ou à la piscine, l’Agence de sécurité sanitaire en France rappelle de se méfier des belles promesses.
 
Perdre du poids a des conséquences sur la santé. Ainsi, pour que cela soit sans danger et efficace, la prise en charge médicale et des conseils professionnels sont grandement recommandés. L’approche doit être individualisée et prévue à long terme.
 
Attentions aux produits amaigrissants qui représentent souvent un danger pour la santé ou sont sans effet. Les médicaments comme la sibutramine et le rimonabant sont à proscrire, car ils sont trop nocifs.
 
En cas de nécessité médicale, certaines approches peuvent être envisagées lorsque le changement d’alimentation et les exercices physiques ne suffisent pas.
 
Ainsi, sous supervision médicale, on pourrait opter pour des médicaments comme orlistat ou Xenical, mais leur efficacité est plutôt modeste.
 
Une chirurgie bariatrique pourrait aussi être recommandée dans les cas lourds d’obésité, mais à condition également de changer son mode de vie, donc avoir une meilleure alimentation et faire des activités physiques.