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Traiter le diabète grâce à l’horloge biologique

Selon les travaux de l’équipe de l’Université de Californie à San Diego, le composé chimique découvert ne gère pas la production de glucose dans le foie, mais affecte l’activité d’une protéine clé qui régule les mécanismes de notre horloge biologique.
 
Déjà, par le passé, des études avaient suggéré que le diabète et l’obésité pouvaient avoir un lien avec un dérèglement de notre horloge biologique.
 
Maintenant, grâce à une petite molécule facilement transformable en médicament, on pourrait modifier les mécanismes internes et traiter les troubles métaboliques comme le diabète de type 2.
 
Rappelons que le diabète est caractérisé par une augmentation du glucose dans le sang.
 
Cette maladie peut entrainer des troubles cardiaques et des accidents vasculaires cérébraux, en plus d’être un facteur de risque pour l’insuffisance rénale et la cécité.
 
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La FDA approuve un nouveau traitement contre l’obésité

L’Agence américaine des médicaments (FDA) vient d’approuver la commercialisation du médicament Lorcaserin des laboratoires Arena Pharmaceuticals pour traiter l’obésité.
 
C’est la première fois en plus de 13 ans que la FDA donne son approbation à la mise en marché d’un traitement anti-obésité.
 
Un comité d’experts indépendant avait recommandé ce traitement. Pourtant en 2010, ce même comité s’y était opposé, car on s’inquiétait du développement du cancer du sein sur des rats.
 
Ce traitement sera destiné aux personnes dont l’indice de masse corporelle est de 30 ou plus, ou encore de 27, mais avec une maladie liée au poids, comme l’hypertension ou le diabète de type 2.
 
« L’obésité menace le bien-être des patients et constitue une inquiétude majeure de santé publique. L’approbation de ce traitement, utilisé de façon responsable et combiné à un régime alimentaire et à un mode de vie sains, offre une option de traitement aux Américains qui sont obèses ou en surpoids et souffrant d’au moins une pathologie liée à leur excès poids », déclare la Dre Janet Woodcock, directrice du Centre d’évaluation des médicaments de la FDA, par voie de communiqué.
 
Lors des essais cliniques, les personnes avaient perdu en moyenne de 3 à 3,7 % de leur poids en un an.
 
Parmi les effets secondaires déclarés du Lorcaserin, on mentionne des maux de tête, des nausées, des étourdissements et de la fatigue.
 
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Une nouvelle approche thérapeutique face au cancer

Les scientifiques travaillent constamment à chercher des traitements contre le cancer qui seraient non seulement efficaces, mais offriraient aussi moins d’effets secondaires.
 
Des chercheurs de l’Université de Californie à San Francisco ainsi que du Mont-Sinaï travaillent sur une nouvelle approche multi-cibles, la polypharmacologie, qui ciblerait plusieurs molécules spéciales afin de perturber le processus de la maladie.
 
Cela consiste à trouver les balles intelligentes ou les produits chimiques qui attaquent un gène ou une protéine spécifique impliqué dans le développement du cancer.
 
« Nous avons toujours été à la recherche de telles molécules intelligentes. Il s’agit d’un fusil qui vise non pas une cible, mais un ensemble d’objectifs. Cela multiplie les chances d’arrêter le cancer sans provoquer “trop” d’effets secondaires », explique le Pr Kevan Shokat.
 
Déjà, cette nouvelle approche moins toxique, donc présentant moins d’effets secondaires, donne des résultats prometteurs sur des mouches à fruits.
 
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Un médicament pour se motiver à faire de l’exercice

Si la seule pensée de faire de l’exercice vous décourage, sachez que des chercheurs suisses auraient peut-être trouvé un moyen de vous donner un peu de courage.
 
Alors que tous cherchent la pilule miracle pour maigrir, ces chercheurs ont abordé le problème de l’obésité sous un autre angle et ont découvert que l’hormone érythropoïétine (Epo) pouvait donner envie de faire de l’exercice.
 
Lorsque l’hormone a été injectée dans le cerveau de souris, ces dernières se sont mises à s’activer davantage, et ce, sans augmenter leur niveau de globules rouges, qui est pourtant la fonction naturelle de cette protéine.
 
Selon le Faseb Journal, cette découverte ouvre la voie à des thérapies beaucoup plus larges éventuellement, allant de la maladie d’Alzheimer à l’obésité, en passant par les maladies mentales comme la dépression.
 
En effet, on a récemment découvert que l’Epo pouvait aussi modifier les troubles de l’humeur et la dépression.
 
Une petite dose pour augmenter notre motivation ferait donc en sorte de favoriser l’activité physique et de faciliter la perte de poids, par conséquent.
 
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Un médicament contre le diabète pourrait réduire les lésions cérébrales traumatiques

Une équipe de l’Université de Tel-Aviv vient de faire une découverte importante avec l’exendine-4, un médicament antidiabétique déjà approuvé.
 
Administré peu de temps après un traumatisme, ce médicament aurait la faculté de prévenir les lésions cérébrales au cerveau.
 
Ces dommages ont de lourdes conséquences habituellement. Bien que le taux de décès ne soit pas élevé, cela peut altérer les capacités mentales, le comportement ou encore conduire à un changement radical de personnalité.
 
Des tests effectués sur des animaux avec l’exendine-4 semblent fort prometteurs et réduisent considérablement l’étendue des dommages, rapporte l’Experimental Neurology.
 
Bien entendu, des études plus approfondies sont nécessaires afin de confirmer les résultats, mais également pour trouver la formule idéale qui permettra de réduire les dommages cérébraux à long terme sur les victimes de traumatismes.
 
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Grossesse : la fièvre de maman peut conduire à l’autisme chez l’enfant

Troubles du spectre autistique, problèmes de communication et retards de développement guettent davantage les enfants nés de mères qui ont eu de la fièvre durant leur grossesse.
 
Malgré cela, il semblerait que celles qui traitent leur fièvre avec des médicaments à base d’ibuprofène ou d’acétaminophène diminuent leurs risques.
 
En effet, selon une étude de l’UC Davis MIND Institute parue dans le Journal of Autism and Developmental Disorders, la fièvre pouvant être liée au développement de troubles neuraux chez l’enfant peut être relativisée, alors que des médicaments pour diminuer la température peuvent changer la donne.
 
L’étude confirme : « Une médication anti-fièvre durant la grossesse peut réduire ou éliminer le lien apparent entre fièvre maternelle et autisme ».
 
Ainsi, les mères fiévreuses traitées pourraient finalement ne pas courir plus de risques qu’une autre femme.
 
Pour arriver à ces conclusions, 191 femmes ayant souffert de fièvre durant leur grossesse et leurs enfants ont été examinés. Parmi elles, 76 confirmaient avoir été traitées par médication, et 115 n’avaient pas consommé d’ibuprofène ou d’acétaminophène, ou encore la médication n’avait pas eu d’effet sur leur état.
 
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Un nouveau médicament contre le cancer?

Des chercheurs grenoblois de l’Institut Laue-Langevin travaillent sur la création d’un médicament liquide aimanté qui pourrait traiter le cancer.
 
En fait, une équipe de l’Université Bristol en Grande-Bretagne est parvenue récemment à fabriquer un savon aimanté qui réagit aux champs magnétiques. Ce produit permettrait de mieux nettoyer les marées noires.
 
L’équipe de Grenoble est partie de ce savon et travaille la structure moléculaire de celui-ci afin de trouver un moyen de créer un médicament contre le cancer qui serait aimanté.
 
« D’ici deux ans, il sera possible à d’autres scientifiques de procéder à des essais en laboratoire d’un médicament liquide aimanté qui pourrait cibler les cellules cancéreuses et éviter de détruire les cellules saines, comme c’est le cas avec certains traitements actuels », mentionne la chercheuse Isabelle Grillo.
Toutefois, il faudra attendre encore une bonne dizaine d’années avant que le médicament en question fasse son apparition.
 
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Fécondation in vitro : les médicaments utilisés peuvent-ils causer la mort de la mère?

De plus en plus de preuves démontrent que la stimulation de la production d’ovules par le biais de forts médicaments peut provoquer des anomalies dans les embryons et nuire à la santé de la mère, rapporte le Daily Mail.

Par la prise de ces médicaments, la femme court un risque accru de développer un syndrome de l’hyperstimulation ovarienne (SHO), une maladie rare et potentiellement mortelle qui peut aussi causer de l’insuffisance rénale et de graves problèmes respiratoires.

Le SHO est désormais l’une des plus grandes causes de mortalité maternelle en Angleterre et au Pays de Galles. Entre 1991 et 2007, 30 000 cas de cette maladie ont été enregistrés au Royaume-Uni, affirmait Geeta Nargund, professeure et chef du département de procréation médicalement assistée de l’hôpital St George à Londres, lors d’une conférence annuelle à Copenhague.

Selon elle, le Royaume-Uni, comme bien d’autres endroits dans le monde où la technique de fécondation in vitro est « agressive », devrait s’inspirer de pays comme la Hollande, la France et la Belgique qui adoptent une technique plus « douce » consistant à utiliser des médicaments moins forts.

Cette méthode peut réduire légèrement les chances de tomber enceinte, mais elle est moins dangereuse pour la santé et permet de mieux récupérer après les traitements.

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Grossesse : les médicaments anti-VIH représentent-ils un danger pour bébé?

Le ténofovir, vendu sous le nom de Viread, est un traitement contre l’infection au VIH qui se prend avec d’autres médicaments pour le traitement des personnes vivant avec le VIH/sida.

Les mères traitées par le fumarate de ténofovir (Viread) durant la grossesse en font usage pour préserver leur santé, mais aussi pour éviter de transmettre l’infection à leur enfant.

L’exposition au Viread in utero ne donnerait pas de bébés plus petits à la naissance. Cependant, lorsque le bébé a un an, il pèserait un peu moins, serait légèrement moins grand et la circonférence de sa tête aurait en moyenne un centimètre de moins que les autres bébés.

C’est ce que révèle une étude qui se veut rassurante de l’Eunice Kennedy Shriver National Institute of Child Health et Human Development (NICHD-NIH), dont les résultats paraissent dans la revue AIDS.

Les données de 2000 poupons américains nés de mères VIH-positives pendant une période de sept ans (2003-2010) ont été prises en considération pour cette enquête, qui révèle que la consommation de ténofovir a grandement augmenté au fil des ans, passant de 14 % en 2003 à environ 43 % en 2010.

Des études supplémentaires seront nécessaires pour connaître les effets à long terme sur les enfants de la prise de médicaments anti-VIH par la mère.

Aux États-Unis, dès l’âge de deux ans, le Viread peut être aussi prescrit à l’enfant séropositif.

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Ces bébés dépendants des opiacés

C’est le terrible constat qu’ont fait des chercheurs de l’Université du Michigan qui ont publié leurs résultats en ligne dans le Journal of American Medical Association.

Entre 2006 et 2009, il a été démontré que le nombre de nouveau-nés ayant le syndrome de sevrage néonatal a triplé comparativement à il y a 10 ans, et que les femmes enceintes consommant des opiacés a quintuplé.

C’est donc environ 16 % des adolescentes enceintes et environ 7,5 % des femmes enceintes âgées de 18 à 25 ans qui consomment des drogues illicites.

Pour la majorité des nouveau-nés qui avaient un manque, celui-ci était dû à l’utilisation d’opiacés par la mère durant la grossesse. Bien entendu, d’autres drogues et médicaments pouvaient être concernés par la recherche.

Les bébés avec un syndrome de sevrage néonatal sont plus à risques d’avoir un faible poids à la naissance et de rencontrer des complications respiratoires et des difficultés à se nourrir.

En plus de passer en moyenne 16 jours à l’hôpital, ces petits coûtent cher au système de santé. Aux États-Unis, guérir un nourrisson de sa dépendance à une drogue peut engendrer des frais d’hospitalisation évalués entre 39 400 $ et 53 400 $.

Mentionnons qu’entre 1999 et 2008, les causes de décès en lien avec la consommation d’opiacés et les ventes de ces analgésiques ont quadruplé chez nos voisins du sud.

Pour les chercheurs, il s’agit d’une urgence de santé publique et d’un problème de société qui devraient attirer davantage l’attention de tous les paliers gouvernementaux et des professionnels de la santé.