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Un nouveau traitement retarderait la progression du cancer

Avec cette combinaison de médicaments visant spécialement la progression du mélanome avancé, les scientifiques ont remarqué un délai supplémentaire, d’environ quatre mois, avant que les patients deviennent résistants à leur thérapie, rapporte nlm.nih.gov.

Le mélanome est le plus sérieux, et souvent mortel, des cancers de la peau. Dans la moitié des cas, la croissance de la tumeur est causée par la mutation génétique qui garde une protéine (BARF) activée en permanence.

Les médicaments administrés à ces patients sont en mesure d’inverser le processus de la tumeur dans 90 % des cas, mais le problème se situe dans le fait que ceux-ci développent rapidement une résistance au traitement. Le cancer reprend donc quelques mois plus tard.

À la suite de plusieurs études qui corroboraient ces théories, les chercheurs du Massachusetts General Hospital Cancer Center ont tenté de rendre tangibles ces théories, et auraient réussi.

Selon ce que l’on constate, la plupart des patients ayant reçu cette combinaison de médicaments auraient allongé leur capacité de traitement de quatre autres mois, sans résistance.

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Deux nouveaux médicaments pour combattre l’obésité

Le Belviq et le Qsymia ont officiellement été approuvés en juillet dernier. Le Belviq agit en coupant la faim, tandis que le Qsymia diminue les effets sur le corps de la perte de poids en empêchant l’organisme de réagir comme s’il faisait face à la « famine ».

« Ces médicaments fonctionnent grâce à la biologie pour réduire l’appétit, diminuer la faim et améliorer la satiété », explique la spécialiste de l’obésité, Donna Ryan.

Toutefois, les patients qui consommeront ces médicaments devront quand même suivre une diète, manger moins et faire davantage d’activité physique, puisque le Belviq et le Qsymia ne feront que les aider à moins manger.

Les effets secondaires liés à la consommation de ces produits sont la constipation ainsi que le picotement des orteils et des doigts. De plus, les patients pourront avoir de la difficulté à saliver.

Le Qysmia peut aussi augmenter les battements cardiaques et peut entraîner des malformations congénitales. Le Belviq peut également intervenir avec des traitements contre les migraines ou la dépression.

Rappelons qu’il existe une corrélation probante entre la détection dans l’urine d’une forte concentration de BPA et la prévalence à l’obésité.

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De nombreux médicaments pointés du doigt par deux professeurs

Deux professeurs de médecine, Bernard Debré et Philippe Even, dévoilent une liste de médicaments qu’ils déclarent inutiles et même dangereux pour la santé, dans leur livre Le Guide des médicaments.
 
« Sur 4000 molécules passées au crible, nous arrivons à la conclusion qu’un médicament sur deux est inutile, que 20 % présentent des risques, et que 5 % sont même potentiellement très dangereux. Mais les retraits d’autorisation de mise sur le marché sont rares, en raison de la pression qu’exerce l’industrie pharmaceutique sur les autorités de santé », déclare Philippe Even.
 
La liste des médicaments a été mise en ligne sur le site du Nouvel Observateur.
 
Les deux professeurs, qui sont sans doute loin de faire l’unanimité chez les professionnels du milieu, s’attaquent surtout aux statines contre le cholestérol ou même aux pilules contraceptives de 3e et 4e générations, qui causent plus de risques de phlébite et d’embolie pulmonaire.
 
Plusieurs experts craignent également que ces révélations alarment inutilement les malades.
 
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Le pamplemousse déconseillé avec de nombreux médicaments

(PARIS-AFP) – La consommation de pamplemousse « au cours d’un traitement médicamenteux » est fortement déconseillée par la revue médicale française indépendante Prescrire en raison d’interactions possibles avec des « dizaines de médicaments ».

Le pamplemousse est connu depuis des années pour agir sur le métabolisme de « nombreux médicaments » avec des effets indésirables graves parfois observés, souligne cette revue dans son numéro de septembre.

Des dizaines de médicaments sont concernés par ces possibles interactions avec l’agrume. Parmi ceux-ci : les statines contre le cholestérol, les benzodiazépines (tranquillisants), les immunodépresseurs (inhibiteurs du système immunitaire) ou encore les inhibiteurs calciques, substances utilisées pour traiter des troubles cardiaques.

« La gravité des quelques observations publiées est à elle seule une bonne raison de ne pas consommer du pamplemousse, notamment du jus de pamplemousse, au cours d’un traitement médicamenteux », juge la revue dans un communiqué.

On ignore les mécanismes précis expliquant ces interactions. De nombreuses substances présentes dans le pamplemousse ont été mises en cause. D’après certaines « hypothèses », le pamplemousse provoquerait l’inhibition d’enzymes qui métabolisent habituellement les médicaments, conduisant à des risques de surdosage.

Dans d’autres cas, plus rares, on observe au contraire une diminution de la concentration de substances médicamenteuses dans le sang, ce qui nuit à l’efficacité du produit.

Les effets indésirables observés peuvent être graves : destruction musculaire (rhabdomyolyse), insuffisance rénale aiguë, tremblements invalidants, chocs hémorragiques, avec « parfois une évolution mortelle », selon la revue.

Alors que le rôle potentiellement perturbateur du pamplemousse est connu depuis des années, des travaux plus récents indiquent que d’autres jus, notamment le jus d’orange, pourraient également exposer à des effets indésirables de médicaments, selon cette revue connue pour donner des évaluations indépendantes sur les nouveaux médicaments.

Les interactions avec les aliments, lorsqu’elles existent, sont toutefois clairement indiquées dans les notices des médicaments en question. Celles-ci mentionnent les aliments à éviter et la nature du risque encouru.

En outre, il appartient au médecin et au pharmacien de mettre en garde le patient contre d’éventuelles interactions alimentaires.

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Quoi apporter en voyage avec bébé?

La plupart des adultes surchargent beaucoup trop souvent leur valise d’une foule de vêtements inutiles qu’ils ne porteront jamais en voyage. Pourquoi répéter le scénario pour bébé?

Selon Le Parisien, de petits vêtements de coton qui sèchent rapidement au besoin et qui n’irritent pas la peau sont ce qu’il y a de mieux. Il faudrait toujours avoir avec soi des vêtements faciles et rapides à enfiler, deux bons gilets chauds pour les jours frais et des chandails qui couvrent les épaules de bébé.

Pour les médicaments, à moins de partir en camping en forêt ou que bébé ressente un malaise en pleine nuit, une pharmacie demeure toujours accessible. Ainsi, on peut avoir une trousse avec des produits de petits formats.

Avec le soleil, les yeux et la peau des enfants sont fragiles. Il faudrait penser à les protéger avec des verres incassables de type 4, un parasol de poussette ou un habit de baignade anti-UV.

Une fois à l’eau, une couche qui ne gonflera pas, lavable et anti-fuite, sera bien appréciée.

Finalement, une foule d’accessoires, comme des sièges pour manger, lits et baignoires en version pliable existent en magasin pour faciliter la tâche aux vacanciers.

Pour le transport, trainez la suce et des lingettes, et ayez toujours à la main une dose de Cocculine homéopathique pour les maux de cœur, une pipette de paracétamol pour le mal d’oreilles en avion. N’oubliez pas de faire des arrêts fréquents, si possible, sur la route.

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Cancer chez les enfants : nouvelle combinaison de médicaments

Un cocktail de médicaments pourrait être efficace sur les enfants atteints d’un neuroblastome, tumeur maligne solide extra-crânienne, la plus fréquente chez les jeunes enfants.

Ces médicaments augmenteraient en fait l’efficacité d’un nouveau gène prometteur, dans un traitement ciblé. Des chercheurs de l’Institute of Cancer Research à Londres ont trouvé un moyen de vaincre la résistance des cellules cancéreuses avec un médicament appelé Crizotinib, qui a récemment montré des résultats positifs chez les enfants atteints d’un cancer.

Le Crizotinib a déjà été homologué par la Food and Drug Administration américaine pour une utilisation dans les cancers des adultes.

L’étude, dirigée par l’Institute of Cancer Research en collaboration avec le Dana-Farber Cancer Institute et le Children’s Hospital de Boston, est publiée cette semaine dans la revue Cancer Cell.

Dans l’étude, les scientifiques détaillent leur nouvelle stratégie de combiner le Crizotinib avec une deuxième classe de médicaments pour combattre la résistance des cellules cancéreuses.

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L’utilisation de médicaments fertilisants mène à de plus petits bébés

« C’est rassurant, ces bébés restent dans une fourchette de grandeur normale pour leur sexe et leur âge », explique le chercheur et pédiatre du Liggins Institute de l’Université d’Auckland en Nouvelle-Zélande, Tim Savage.

En fait, les chercheurs ont remarqué que ces bébés nés avec l’aide de traitements pour la fertilité étaient de deux centimètres à un pouce moins grands que les autres nés naturellement.

Toutefois, ces chiffres étaient plus élevés chez les petits garçons, puisqu’ils étaient en moyenne plus courts de trois centimètres à plus d’un pouce.

De plus, l’utilisation de stimulants ovariens seulement est deux fois plus populaire chez les femmes désireuses d’avoir un enfant que la fertilisation in vitro et représente 5 % de toutes les naissances des pays développés.

La cause de cette différence de taille reste encore à déterminer. Les experts ignorent si ces enfants atteignent leur taille normale à l’âge adulte.

Rappelons que de plus en plus de femmes ont recours à ce type de traitement, alors que nombre de femmes croient qu’elles pourront tomber facilement enceintes lorsque leur horloge biologique sonnera, et ce, même s’il se fait tard.

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Une combinaison de médicaments plus efficace

On administre souvent de la zidovudine, ou AZT, aux bébés de séropositives qui n’ont pas été allaités et dont la mère n’a pas eu de traitement durant la grossesse. Ce produit aide à prévenir la transmission de la maladie de la mère au poupon.

Cette stratégie n’est pas toujours efficace. Les chercheurs de l’UCLA ont découvert que la combinaison de deux ou trois médicaments, donnés au poupon 48 heures après sa naissance, pouvait réduire le risque de contraction du VIH de moitié, comparativement à l’AZT.

Toutefois, les scientifiques ont remarqué que la combinaison de deux médicaments était moins toxique pour le bébé que la combinaison de trois d’entre eux.

« La facilité de l’utilisation, la toxicité réduite, l’accessibilité ainsi que le bas prix suggèrent que la combinaison de la zidovudine et la névirapine est une option intéressante pour la prophylaxie chez les enfants à haut risque de transmission périnatale de l’infection VIH-1 », explique la professeure en maladies pédiatriques infectieuses, Dre Karin Nielsen-Saines.

Les petits qui sont nés de mères infectées et qui ne reçoivent pas de thérapies antirétrovirales ont 25 % plus de chances de devenir séropositifs durant la grossesse ou à la naissance. Leurs risques augmentent de 40 % lorsqu’ils sont allaités.

Rappelons que de prendre des médicaments anti-VIH durant la grossesse ne représenterait pas un danger pour les nourrissons, la croissance du fœtus ou la mère.

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Trop peu de médicaments adaptés aux enfants

En fait, l’Académie souhaiterait voir en vente plus de médicaments spécialement adaptés aux enfants dans le traitement de pathologies graves. Dans certains domaines, le manque se fait plus criant.

« Il manque énormément de médicaments pédiatriques, il en manque surtout dans certaines classes particulières, comme les anticancéreux, les psychotropes et en cardiologie », explique une membre de l’Académie et chef du service de pharmacie pédiatrique de l’hôpital Dedré, la Pr Françoise Brion.

En Europe, plus de 100 millions d’enfants bénéficient de médicaments pour de petits problèmes de santé comme les gastro-entérites. Toutefois, plus le problème est grave, moins de médicaments sont disponibles. 400 tumeurs solides extra-crâniennes ne sont pas traitées par des médicaments adaptés aux petits.

Certains docteurs iront même, faute d’options, prescrire des médicaments qui ne sont pas autorisés sur le marché et approuvés pour les adultes.

Il faudrait donc, selon les experts, harmoniser la préparation de médicaments et faciliter l’approvisionnement en ingrédients nécessaires pour les fabriquer.

Rappelons aussi que les enfants sont plus susceptibles d’être malades que les adultes, car il y a peu d’essais cliniques qui sont effectués pour mettre au point des médicaments pour les guérir.

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Traiter l’anxiété par l’ordinateur

Aux États-Unis, un enfant sur huit souffrirait d’anxiété, selon l’Anxiety and Depression Association of America.

Sachant que les enfants anxieux deviennent souvent des adultes très anxieux, les experts se sont tournés vers une alternative aux médicaments.

Le programme créé s’appelle Attention Bias Modification (ABM). Il réduit l’anxiété en attirant l’attention des enfants sur autre chose, de façon à réduire leur tendance à insister sur des menaces potentielles et à changer leur façon de penser.

De plus, le traitement ABM peut être diffusé à travers l’Internet et administré par des gens qui ne sont pas des médecins.

De plus, le traitement peut être personnalisé selon le patient.

« Les désordres psychologiques sont complexes et ce ne sont pas tous les patients qui répondront très bien à tous les traitements. C’est génial d’avoir de nouvelles méthodes qui sont basées sur la neuroscience et les preuves cliniques », explique le professeur de la School of Psychological Sciences de l’Université de Tel-Aviv, Yair Bar-Haim.

Rappelons que cette nouvelle a de quoi rassurer les experts, puisque les bambins qui souffrent de graves troubles liés au stress sont de plus en plus nombreux et de plus en plus jeunes.