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Une combinaison de médicaments pour la perte de poids

Une nouvelle pilule composée de deux médicaments existants serait plus efficace que toute autre capsule utilisée en ce moment contre le surpoids et l’obésité.
 
Selon The Lancet, le Qnexa, qui est composé de la phentermine, médicament minceur à base d’amphétamine, et du topiramate, antiépileptique lié à la perte de poids, permettrait de perdre jusqu’à deux tailles de vêtements en un an pour les femmes qui prennent de fortes doses.
 
2 500 personnes ont reçu le Qnexa ou un placebo pendant un an. Le premier groupe a perdu beaucoup plus de poids.
 
Cependant, il reste encore du chemin à faire avant de commercialiser ce nouveau traitement, car la phentermine peut causer des problèmes cardiaques et le topiramate est lié aux malformations congénitales, aux problèmes de mémoire et aux changements d’humeur.
 
De plus, le médicament cause des effets indésirables comme des picotements, des étourdissements, de la constipation, de l’anxiété et des symptômes dépressifs.
 
Les autorités ont donc besoin de plus de données avant d’approuver la mise en marché du Qnexa.
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Les médicaments pour maigrir : le débat est lancé

Dans les six derniers mois, trois médicaments promettant la perte de poids ont été refusés par la Food And Drug Administration (FDA) aux États-Unis, apprend-on sur Medical News Today.

Le rejet de Contrave, Qnexa et Lorqess pourrait alimenter de nouvelles discussions, tant chez nos voisins du sud qu’ici.
 
Bien que ces médicaments représentent une possible solution au problème majeur d’obésité en Amérique, la FDA en a rejeté la demande d’approbation pour des raisons de santé publique.
 
Le Contrave ne pourra ainsi être approuvé avant que de nouvelles recherches soient faites sur les risques cardiovasculaires qu’il pourrait entraîner. Quant au Qnexa et au Lorqess, leur demande a tout simplement été rejetée par un comité décisionnel de la FDA.
 
Afin qu’un tel médicament soit accepté par la FDA, la preuve doit être faite qu’au moins 30 % des personnes qui l’ont pris ont perdu au moins 5 % de leur poids. De plus, après 1 an de prise du médicament, la différence de poids entre un groupe l’ayant reçu et celui d’un groupe témoin doit être elle aussi d’au moins 5 %.

Toutefois, ce 5 % pourrait ne pas convaincre pour autant la Food and Drug Administration, car le médicament en question pourrait ensuite être pris par 27 millions d’Américains souffrant d’obésité. Il s’agit du tiers de la population des États-Unis.

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Certains médicaments contre l’hypertension et le diabète font prendre du poids

Quatre études australiennes démontrent que les médicaments bêta-bloquants, couramment prescrits pour traiter l’hypertension, le diabète et les troubles cardiovasculaires, font prendre du poids à long terme.
 
Ces études totalisaient 11 468 participants souffrant de diabète ou d’hypertension. Comparativement au groupe témoin, ceux qui étaient traités avec les bêta-bloquants avaient toujours un surplus de poids de 5 à 20 kg de plus que ceux qui ne recevaient pas ce type de médicament.
 
Selon l’International Journal of Obesity les chercheurs ont constaté que les bêta-bloquants avaient tendance à abaisser de moitié la chaleur physiologique, nommée la thermogenèse. Cela cause une accumulation plus importante de gras dans les tissus et une plus grande oxydation des matières grasses dans l’organisme.
 
Lorsque cela se produit, les personnes ressentent une plus grande fatigue à l’effort, d’où le fait que l’on a également observé que les personnes traitées avec les bêta-bloquants étaient 30 % moins actives.
 
Si vous devez prendre ce type de médicament, surveillez votre alimentation et faites de l’exercice. Il est aussi possible de demander à avoir un autre type de médicament ou ceux de la nouvelle génération qui abaissent moins la température physiologique.
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Les médicaments fonctionnent seulement si l’on y croit

Des chercheurs d’Oxford, de Cambridge et de deux universités allemandes ont étudié le rôle de la pensée consciente sur la perception de la douleur. 
 
Ils ont placé un dispositif très chaud sur la peau de 22 volontaires et ont installé des intraveineuses pour administrer des analgésiques. Au départ, sur une échelle de 0 à 100, le seuil de douleur des participants était en moyenne de 66, mentionne le journal Science Translational Medicine.
 
Lorsque les chercheurs ont commencé à donner des analgésiques, sans le dire aux participants, cette cote a chuté à 55 sur 100. Étrangement, dès que les volontaires ont su qu’ils recevaient des analgésiques, le seuil de la douleur a chuté à 39. Ensuite, les chercheurs ont annoncé aux personnes qu’elles ne recevaient plus d’analgésiques et le seuil de douleur a remonté à 64, même si les médicaments continuaient d’être administrés.
 
De plus, l’activité cérébrale de chacun des participants a été mesurée par l’imagerie par résonnance magnétique (IRM). La zone de la douleur était plus active lorsque les personnes croyaient qu’elles ne recevaient pas d’analgésiques.
 
Les chercheurs affirment que les médecins devraient tenir compte de la perception des patients dans les traitements qu’ils reçoivent. Une personne qui a consulté plusieurs médecins pour traiter ses douleurs chroniques en vain sera négative dès le départ et ne pourra croire à un soulagement.
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Les grains entiers aussi efficaces que les médicaments contre la pression artérielle

Une équipe de l’Université d’Aberdeen, en Écosse, a demandé à 200 volontaires de manger trois portions de grains entiers par jour ou de ne pas en manger du tout pour évaluer les effets d’une telle alimentation sur la santé.
 
Il est reconnu qu’une alimentation riche en fibres diminue le cholestérol sanguin et améliore la santé digestive. Selon l’American Journal of Clinical Nutrition, les chercheurs ont constaté que les céréales complètes diminuaient la tension artérielle, et ce, aussi efficacement que les médicaments couramment utilisés à cet effet.
 
Les personnes qui ont mangé des grains entiers ont vu leur pression artérielle systolique s’abaisser. Cela réduit du même coup l’incidence des crises cardiaques de 15 % et les risques d’accidents vasculaires cérébraux (AVC) de 25 %.
 
Une portion équivaut à environ 16 grammes de grains entiers, soit l’équivalent d’une demi-tasse d’avoine, de riz brun ou d’une tranche de pain à grains entiers.
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Une bonne nouvelle pour les mamans épileptiques

Les résultats d’une étude attendue sur les effets de certains médicaments pris par les mères épileptiques sont très rassurants, pouvons-nous lire dans Neurology.

Des médicaments tels que la carbamazépine, la lamotrigine ou la phénytoïne ne causent aucun effet sur le QI du bébé lorsque la maman allaite.

Des chercheurs de l’Université Emory à Atlanta ont suivi 194 patientes épileptiques qui devaient prendre des médicaments pour empêcher leurs crises.

Sur les 199 bébés conçus par ces femmes, 42 % étaient allaités. Trois ans plus tard, des tests de quotient intellectuel ont été passés par tous ces enfants.

La différence était si mince que l’on peut la qualifier d’inexistante. En effet, le QI des enfants allaités était de 99 en moyenne, alors que celui des autres était de 98.

Toutefois, ceux dont la mère prenait du valporate, qu’ils aient été allaités ou non, avaient un QI plus faible.

L’Académie américaine de neurologie recommande donc d’éviter ce médicament durant la grossesse, pour cause de dommages aux capacités cognitives et d’autres problèmes de naissance.

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Les médicaments contre l’insomnie et l’anxiété augmentent les risques de mortalité

Les médicaments contre l’anxiété et l’insomnie augmenteraient de 36 % les risques de mortalité, selon une étude québécoise d’une équipe de chercheurs de l’École de psychologie de l’Université Laval.
 
La Revue canadienne de psychiatrie mentionne que ces médicaments affectent la coordination et la vigilance, augmentant du même coup les risques d’accidents, de chutes ou de fractures chez les personnes âgées et de difficultés respiratoires plus importantes chez les personnes qui ont des problèmes pulmonaires.
 
Les travaux ont été effectués sur 14 000 Canadiens âgés de 18 à 102 ans et suivis de 1994 à 2007.
 
« Les médicaments pour traiter l’insomnie et l’anxiété ne sont pas des bonbons et il ne faut pas croire qu’il est anodin d’en consommer », mentionne la professeure Geneviève Belleville.
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Les médicaments pour solidifier les os causeraient le cancer de l’oesophage?

Voilà des résultats tout à fait contradictoires avec ceux d’une récente étude qui se fondait pourtant sur la même base de données composée de 80 000 personnes.
 
Cette fois, les chercheurs affirment avoir suivi les participants deux fois plus longtemps que leurs précédents collègues.
 
Après quelques comparaisons et analyses, on en arrive à la conclusion que les personnes qui prennent depuis un moment des médicaments pour solidifier les os, comme dans le cas de l’ostéoporose, sont légèrement plus susceptibles de souffrir d’un cancer de l’œsophage.
 
Le Journal of the American Medical Association mentionne que le risque pour une personne âgée de 60 à 79 ans est normalement de 1 sur 1000, alors que pour les personnes ayant eu 10 prescriptions ou plus de médicaments pour les os pendant au moins cinq ans, les risques sont plutôt de 2 sur 1000.
 
On précise toutefois que cette étude n’est qu’une observation et on refuse de conclure que les médicaments contre l’ostéoporose causent directement le cancer de l’œsophage.
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Vers une standardisation des médicaments pour enfants

Pour la toute première fois, l’Organisation mondiale de la santé (OMS) publie son guide modèle sur l’utilisation des médicaments destinés aux enfants.
 
De récentes études mentionnaient qu’il y avait trop de médicaments prescrits aux jeunes enfants ou que les prescriptions étaient inadéquates. L’OMS veut maintenant standardiser le tout.
 
Bien que le guide ne soit pas encore offert au grand public, il permettra aux professionnels de la santé d’avoir accès à des informations sur l’usage, la posologie, les effets indésirables et les contre-indications de plus de 240 médicaments destinés aux enfants de 0 à 12 ans.
 
« Pour être efficaces, les médicaments doivent être choisis avec soin et la dose doit être ajustée en fonction de l’âge, du poids et des besoins de l’enfant. Sans guide mondial, de nombreux professionnels de la santé ont dû prescrire des médicaments en s’appuyant sur des données très limitées », explique le Dr Hans Hogerzeil, directeur du département Médicaments essentiels et politiques pharmaceutiques de l’OMS.
 
Rappelons que les erreurs de dosage peuvent avoir de graves conséquences sur la santé.
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Trop de médicaments inutiles pour les bébés

30 % des bébés de moins d’un an régurgitent régulièrement ce qu’ils viennent de boire. Malheureusement, les pédiatres affirment que trop de médicaments anti-RGO (reflux gastro-œsophagien) sont prescrits inutilement à ces poupons.
 
Dans la grande majorité des cas, aucune médication n’est nécessaire. Si le bébé boit bien, grossit bien, n’a pas de douleur et ne pleure pas, il n’y a pas lieu de s’inquiéter; ces troubles finiront par disparaître.
 
Ainsi, des médicaments comme le Primperan et le Motilium sont souvent utilisés inutilement. Peu d’études ont prouvé leur efficacité contre les RGO. Pour ce qui est de la dompéridone, elle est efficace seulement pour les enfants plus âgés.
 
De plus, les spécialistes réunis au Congrès des sociétés de pédiatrie, qui se tient en ce moment à Paris, pointent aussi du doigt le Mopral, l’Inexium et l’Ogast, qui ont seulement démontré une efficacité dans les cas de vrais reflux gastro-œsophagiens, selon Le Parisien.
 
On a également évoqué les fluidifiants bronchiques contre la toux, qui ont récemment reçu des contre-indications pour les enfants de moins de deux ans. Malheureusement, dans la plupart des cas de bronchite, on doit seulement bien moucher l’enfant et attendre que cela passe.