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Prescription de médication pour le TDAH chez les enfants de moins de 4 ans

Une nouvelle tendance américaine qui agite les parents et spécialistes. Des nourrissons se retrouvent avec des médicaments comme l’Adderall, un stimulant contrant les effets du TDAH.

Selon She Knows, l’American Academy of Pediatrics n’approuve même pas le Ritalin et l’Adderall chez les enfants de 4 ans et moins, et déjà, c’est très précoce. Ainsi, plus de 10 000 enfants de 2 à 3 ans reçoivent de la médication non adaptée pour eux aux États-Unis.

Un pédiatre du nom de Russell Saunders a soulevé cette mauvaise pratique dans le Daily Beast. « Le comportement qui indiquerait un trouble de déficit d’attention avec hyperactivité chez un enfant de 9 ans et totalement normal chez un jeune de 2 ans. »

Comme l’indique Saunders, certains d’entre eux, éventuellement, seront traités pour le TDAH, alors que d’autres ont seulement besoin d’encadrement de la part des parents.

Les effets secondaires de cette médication sont dangereux, et encore plus chez les nourrissons. Le manque de sommeil et d’appétit peut gravement nuire au développement et à la croissance.

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Antipsychotiques en hausse chez les jeunes en famille d’accueil

Les antipsychotiques ne sont pas nécessairement désignés pour le TDAH, et une étude a été réalisée en ce sens. Les groupes comparés étaient les jeunes souffrant de TDAH, les différents groupes d’âge, les gens admissibles au régime d’assurance médicament et la présence d’une famille d’accueil.

Les spécialistes ayant participé à l’étude sont Mehmet Burcu et Julie Zito de l’Université du Maryland, Aloysius Ibe de l’Université Morgan State et Daniel Safer de l’institut médical Johns Hopkins.

Au terme de la recherche, ils ont découvert que près du tiers des enfants de 2 à 17 ans ayant reçu le diagnostic du TDAH et vivant en famille d’accueil prenaient des antipsychotiques atypiques. Les plus souvent prescrits étaient la rispéridone, l’aripiprazole et la quétiapine.

Les experts sont alertés, puisque cette médication doit être donnée sous surveillance, être utilisée de façon sécuritaire et pendant une durée limitée. Son utilisation est en hausse dans les familles d’accueil.

Il est évident pour le Dr Harold S. Koplewicz qu’il y a « une tendance inacceptable au sein des spécialistes en psychiatrique infantile », et que cela doit cesser.

Les résultats ont été présentés dans la revue Child and Adolescent Psychopharmacology.

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Antipsychotiques en hausse chez les jeunes en famille d’accueil

Les antipsychotiques ne sont pas nécessairement désignés pour le TDAH, et une étude a été réalisée en ce sens. Les groupes comparés étaient les jeunes souffrant de TDAH, les différents groupes d’âge, les gens admissibles au régime d’assurance médicament et la présence d’une famille d’accueil.

Les spécialistes ayant participé à l’étude sont Mehmet Burcu et Julie Zito de l’Université du Maryland, Aloysius Ibe de l’Université Morgan State et Daniel Safer de l’institut médical Johns Hopkins.

Au terme de la recherche, ils ont découvert que près du tiers des enfants de 2 à 17 ans ayant reçu le diagnostic du TDAH et vivant en famille d’accueil prenaient des antipsychotiques atypiques. Les plus souvent prescrits étaient la rispéridone, l’aripiprazole et la quétiapine.

Les experts sont alertés, puisque cette médication doit être donnée sous surveillance, être utilisée de façon sécuritaire et pendant une durée limitée. Son utilisation est en hausse dans les familles d’accueil.

Il est évident pour le Dr Harold S. Koplewicz qu’il y a « une tendance inacceptable au sein des spécialistes en psychiatrique infantile », et que cela doit cesser.

Les résultats ont été présentés dans la revue Child and Adolescent Psychopharmacology.

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Le TDAH serait une maladie soit trop diagnostiquée soit simplement inventée

Selon The Examiner, le spécialiste Richard Saul remet en question le bien-fondé du TDAH. Selon lui, il n’existe pas de telle maladie. Les médecins refusent simplement de traiter les problèmes sous-jacents auxquels font face tant d’adultes et d’enfants souffrant des symptômes associés.

Le déficit d’attention avec hyperactivité a été décrit pour la première fois en 1980 et est apparu la même année dans l’American Psychiatric Association’s Diagnostic and Statistical Manuel (DSM), le manuel utilisé par les différents intervenants en psychologie et psychiatrie.

Le nombre d’enfants diagnostiqués du TDAH est passé de 7,8 % en 2003 à 11 % en 2011. Sur ce nombre, 2 enfants sur 3 reçoivent de la médication. Selon Saul, de tous ceux qui se sont présentés à son cabinet, enfant ou adulte, un nombre important présentaient une problématique sous-jacente. Ainsi, il croit que ce terme et la maladie elle-même devraient disparaître du DSM.

Dr Saul affirme que le trouble du déficit d’attention avec hyperactivité est plutôt une accumulation de symptômes, et c’est pourquoi il recherche toujours les causes réelles. Selon lui, le TDAH « est une excuse », et non une réalité.

Le livre de Richard Saul s’intitule ADHD Does Not Exist: The Truth About Attention Deficit and Hyperactivity Disorder

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La médication contre le TDAH peut causer des érections douloureuses

C’est la Food and Drug Administration (FDA), agence fédérale aux États-Unis, qui vient de mettre en garde contre le méthylphénidate, un ingrédient qui peut entraîner le priapisme.

Le priapisme est une condition grave qui nécessite un traitement médical urgent. Il s’agit d’une érection prolongée sans stimulation, et qui ne permet pas au pénis de retrouver son état au repos même au-delà de 4 heures.

Le méthylphénidate se retrouve dans la médication administrée aux enfants atteints de TDAH, comme le Ritalin, le Concerta et le Daytrana.

Les dommages aux tissus du pénis peuvent être permanents et entraîner, ironiquement, la dysfonction érectile. La FDA a fait part de cette mise en garde à la suite d’une étude sur les cas de priapisme entre 1997 et 2012.

En tout, 14 cas ont été relevés, dont 12 étaient des enfants de moins de 18 ans, avec une moyenne d’âge de 12 ans. Ils informent néanmoins que 4 des cas soumis ont souffert de priapisme même en retirant la médication.

Selon Science World Report, la FDA demande à ce que les étiquettes de ces médicaments soient modifiées afin d’aviser de cet effet secondaire rare.

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Hausse importante du TDAH durant la dernière décennie

Le sondage a été rendu possible grâce aux données du rapport de 2011-2012 du National Survey of Children’s Health. Les informations récoltées concernent les enfants de 4 à 17 ans.

CBC rapporte que 6,4 millions d’enfants aux États-Unis souffrent de TDAH, soit 2 millions de plus qu’en 2003. Il s’agit d’une hausse de 42 % en 10 ans.

Dans un communiqué, la responsable de l’étude, Susanna Visser, des Centers for Disease Control and Prevention, a expliqué : « Ces résultats démontrent qu’un nombre important de jeunes enfants pourraient profiter de la thérapie comportementale recommandée en âge préscolaire ».

Le TDAH atteint désormais 1 jeune fille sur 11 et 1 garçon sur 5 à l’école secondaire. Or, si les symptômes ne sont pas traités, ils peuvent entrainer des difficultés au sein de la famille et à l’école, ainsi que se traduire en difficultés relationnelles et sociales.

Selon Science World Report,  les données rapportent que 15 à 19 % des enfants souffrant de TDAH n’ont reçu aucun traitement, que ce soit thérapeutique ou médical. Parmi ceux-ci, 1 enfant sur 3 s’est retrouvé dans les « cas sévères » du trouble comportemental.

D’où l’importance, pour les parents, de consulter rapidement un spécialiste.

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Surdose de médicament en hausse chez les préadolescents

Selon Science World Report, une recherche a mis en lumière des données qui effraient. Dès 10 ou 11 ans, les enfants prennent par eux-mêmes des médicaments qui sont en vente libre comme de l’ibuprofène et de l’acétaminophène.

Or, ils sont trop jeunes pour que les adultes leur fassent confiance, ce que les parents font malgré tout. Le Dr Gaylord Lopez, directeur du Centre Anti-poison, déplore qu’il en soit ainsi. « Conservez les instructions relatives au dosage et lisez les instructions pour vous assurer que vous ne donnez pas 2 médicaments avec le même ingrédient, comme l’acétaminophène »,conseille-t-il.

Lopez demande également aux parents de garder les médicaments « hors de la portée des enfants ». Pour des enfants de 10 ou 11 ans, le problème est qu’ils peuvent s’en procurer facilement ailleurs.

L’objectif requiert plutôt une sensibilisation auprès de nos enfants. Uniquement aux États-Unis, ce sont environ 58 000 enfants qui se retrouvent hospitalisés pour surdose d’ibuprofène ou d’acétaminophène. « Ils sont trop habitués à en prendre contre la douleur ou la fièvre », rapporte encore Lopez.

Soyez donc attentif aux habitudes de vos enfants et avisez-les du danger couru si la posologie n’est pas respectée.

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Médication contre les nausées sans danger apparent pendant la grossesse

L’objectif de la recherche menée au Danemark était de déterminer le degré de sécurité d’utilisation des anti nauséeux sous prescription médicale. Plus de 1,2 million de femmes enceintes ont été répertoriées entre 1997 et 2001, sur lesquelles 25 % étaient exposées à la métoclopramide (DCI).

La recherche a comparé le nombre de naissances présentant des malformations majeures chez le groupe de femmes ayant été exposées, versus celui des femmes n’ayant pris aucun médicament contre la nausée.

– Sur 28 486 femmes exposées, 721 naissances avec malformation ont été relevées, soit une moyenne de 25,3 naissances sur 1000.

– Parmi les naissances de femmes non exposées à la DCI, une moyenne de 26,6 naissances sur 1000 présentait des malformations congénitales.

D’autres facteurs comme le poids à la naissance, le nombre de mortinatalités et les fausses couches ont été évalués.

Aucun de ces facteurs n’a indiqué une prévalence plus marquée par l’exposition à la métoclopramide.

L’étude a été publiée dans la revue JAMA.
 
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Une approche douce pour la concentration en classe

Les premiers essais sont déjà en cours. La responsable, Karrie Swan, est une thérapeute à la Kansas State University, spécialisée chez les enfants et adolescents. L’approche utilisée se nomme Mindfulness (ou technique de l’esprit conscient). Elle est très efficace chez les adultes stressés et anxieux.

Cependant, Swan a découvert que la réponse chez les enfants et adolescents, spécialement chez ceux qui sont stressés et anxieux, est quasi miraculeuse.

« L’objectif de cette approche consiste à recentrer sa conscience sur le moment présent. On dirige ainsi toute son attention sur ses pensées et émotions, et la pleine conscience permet d’arrêter le flux des pensées automatiques et récurrentes. On élimine ainsi l’inattention et les processus inconscients. »

« En ce moment, il y a déjà quelques écoles en Californie qui ont mis en place cette pratique et qui récoltent des données », confirme Karrie Swan.

Medicalxpress rapporte qu’il s’agit d’une thérapie de rêve, tant pour les enfants que pour les professeurs. On relève déjà des informations voulant que les étudiants réussissent mieux, soient moins stressés et plus concentrés. Quant aux professeurs, on confirme que le stress diminue grandement, entrainant une diminution marquée de tempéraments dépressifs ou anxieux.

Vivement l’instauration d’un tel programme dans toutes les écoles! Une approche thérapeutique plus efficace que la médication, enfin!

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Le Ritalin : Mode d’emploi

Il est maintenant commun d’entendre que les enfants hyperactifs ou ayant des difficultés d’apprentissage sont mis sous médication.

Alors que le débat est encore bien chaud à savoir ce qui est normal ou pas, acceptable ou pas, si la médication est choisie comme solution aux troubles d’un enfant, il est impératif de savoir exactement ce à quoi votre enfant sera exposé.

En France, l’Agence nationale de sécurité du médicament (ANSM) vient de publier une brochure d’information à destination des patients et de leur entourage afin de bien comprendre les médicaments à base de méthylphénidate, utilisés pour traiter les troubles de déficit de l’attention et hyperactivité (TDAH) chez l’enfant de 6 ans et plus. Cette voie devrait être considérée uniquement lorsque les mesures psychologiques, éducatives, sociales et familiales se sont montrées inefficaces.

Un article du site Top Santé énonce les effets négatifs de la fameuse drogue. En effet, avec la prise de médicament comme le Ritalin, un enfant calme n’équivaut pas forcément à un enfant en santé.

Parmi les effets secondaires indésirables, on retrouve un risque de retard de la croissance, retard de la prise de poids, un risque pour les vaisseaux sanguins du cœur et du cerveau, d’agitation, de risques d’apparition de tics moteurs et verbaux, d’hallucinations et d’anxiété.

Un contrôle serré de la prise de ces pilules doit être observé, et un suivi auprès du médecin est recommandé tous les 6 mois. Il pourra ainsi s’assurer que l’enfant jouit des bénéfices voulus et qu’il se développe normalement.