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Des traitements préventifs du cancer du sein accessibles aux femmes très bientôt?

Le Daily Mail (UK) annonce que des spécialistes aimeraient faire profiter les femmes de certains médicaments reconnus pour faire baisser drastiquement les risques de développer un cancer du sein, et ce, à une échelle importante.

Certains médicaments, comme le Tamoxifen déjà utilisé pour éviter les rechutes de ce terrible cancer, pourraient être offerts aux femmes qui souhaitent prévenir la maladie.

Le Tamoxifen et certains autres, comme des traitements contre l’ostéoporose, feraient baisser les risques de cancer du sein jusqu’à 40 %!

Des chiffres éloquents, qui font dire à des chercheurs britanniques spécialisés en recherche dans la lutte au cancer qu’il serait assurément bénéfique de ne pas attendre et de lancer une vaste campagne de prévention.

Certaines des plus grandes associations de la santé à travers le monde se penchent maintenant sur la question et examinent la viabilité de l’option.

On constate de façon évidente un enthousiasme marqué chez les spécialistes pour cette nouvelle façon de faire.

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Un médicament efficace contre le cancer du cerveau

TopSanté rapporte que des chercheurs ont découvert de nouvelles propriétés encourageantes à un médicament déjà connu par les spécialistes en oncologie à travers le monde.

Pour nous, l’Avastin n’est pas si familier, mais il pourrait s’agir d’un nom à retenir. Produit par l’industrie Roche (au cœur d’un possible scandale concernant le Tamiflu, cet antidote contre la grippe), le médicament avait déjà démontré de belles qualités dans le traitement de plusieurs cancers, dont celui du poumon, du sein et colorectal.

Cette fois, les chercheurs croient que l’Avastin pourrait être efficace également contre un type de cancer du cerveau très agressif. Les cas de glioblastomes sont dévastateurs, et les médecins espèrent pouvoir utiliser le médicament pour des cas similaires.

Combiné à la chimiothérapie et à la radiothérapie, l’Avastin permettrait d’abaisser les risques de mortalité de 36 %, selon les chercheurs, par rapport à groupe-test qui n’a subi que de la chimiothérapie (et placebo).

Le taux de survie global passerait ainsi à 72 %, ce qui est encourageant.

Les résultats finaux de ces études seront présentés en 2013, au congrès annuel de la Société de neuro-oncologie qui se déroule à Washington.

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La médication pour le cholestérol fonctionne

Il appert que les nouveaux médicaments qui contrôlent le taux de cholestérol dans le sang fonctionnent bien, selon les statistiques récentes.

Les chercheurs ont analysé les dossiers médicaux de plusieurs patients (près de 38 000) et, en faisant une moyenne, ont calculé les variations enregistrées entre 1988 et 2010.

Les résultats sont clairs et encourageants : les niveaux de mauvais cholestérol sont en baisse, du moins aux États-Unis. On peut déduire qu’il s’agit de statistiques similaires au Canada, puisque les traitements sont sensiblement les mêmes.

Ainsi, la moyenne des taux de cholestérol a chuté de dix points, passant de 206 à 196. Plus précisément, la moyenne du taux LDL (mauvais cholestérol) est passée de 129 à 116.

Ces chiffres permettent aux chercheurs d’affirmer, selon les conclusions rapportées par www.nlm.nih.gov, que la médication moderne prescrite aux gens qui ont des problèmes de ce type fonctionne, et bien.

Étonnamment, on suggère aussi que de diminuer sa consommation de cigarettes par jour peut contribuer à améliorer son taux de cholestérol dans le sang. Éliminer les gras trans et autres aliments nocifs peut également jouer un rôle déterminant.

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La vérité sur les médicaments

Les médicaments, s’ils sont une source de soulagement, de guérison et d’espoir, mais ils sont aussi source d’inquiétudes et de nombreux questionnements.

Topsanté s’est penché sur la question et rapporte que plusieurs médicaments sont rappelés annuellement pour cause d’effets secondaires, très graves dans certains cas, moins dans d’autres.

Si ce genre de situation est fréquent, cela ne signifie pas pour autant que les vérifications ne sont pas rigoureuses. Malheureusement, des cas de compagnies pharmaceutiques qui trichent lors des tests et examens de normes, ça arrive.

Inquiétant, il faut en convenir. De plus, les médecins semblent de plus en plus enclins à prescrire des médicaments, parfois plus d’un par patient, pour à peu près tous les symptômes présentés. Qu’elles soient utiles ou superflues, ces prescriptions à la chaîne ont de quoi laisser le public songeur.

On suggère d’éviter de changer constamment de médication et de se questionner sur le besoin réel de celle-ci. Si l’on veut poursuivre un traitement, pourquoi changer de type de médicament si le précédent fonctionnait bien et, surtout, sans effets secondaires?

Les gens ont souvent envie d’essayer le produit le plus récent sur le marché. Un comportement à éviter, tout comme voir les médicaments comme des solutions faciles, sans conséquence.

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TDAH : des changements alimentaires qui peuvent être bénéfiques

Un rapport de l’Université de Copenhague a passé en revue la plupart des études qui ont été faites jusqu’ici sur l’importance de l’alimentation pour les enfants et les jeunes atteints de TDAH.

Bien que peu de détails soient encore fournis à ce sujet, qui exigera davantage de recherches, le récent document confirme qu’il y aurait de potentiels avantages à modifier le régime alimentaire de ces enfants.

Par exemple, des études antérieures ont mis en lumière des effets positifs des acides gras provenant de poissons sur les symptômes de la maladie. Les aliments donnant des effets indésirables chez les enfants ont également été analysés.

Les spécialistes croient même que certains changements santé permettraient de réduire ou d’éliminer la médication donnée à ces jeunes.

Il reste par contre à démontrer l’effet bénéfique à long terme d’un nouveau régime sur la santé et le comportement des enfants. Plusieurs éléments doivent être pris en considération, car il existe plusieurs types de TDAH.

Tous les enfants réagissent différemment à la médication et aux régimes alimentaires, c’est ce qui rend la tâche ardue pour les chercheurs qui tentent de faire un lien avec les facteurs génétiques et environnementaux également.

Les experts rappellent aux parents d’être prudents et de toujours contacter un professionnel de la santé avant de changer le régime alimentaire chez un enfant.

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TDAH : des changements alimentaires qui peuvent être bénéfiques

Un rapport de l’Université de Copenhague a passé en revue la plupart des études qui ont été faites jusqu’ici sur l’importance de l’alimentation pour les enfants et les jeunes atteints de TDAH.

Bien que peu de détails soient encore fournis à ce sujet, qui exigera davantage de recherches, le récent document confirme qu’il y aurait de potentiels avantages à modifier le régime alimentaire de ces enfants.

Par exemple, des études antérieures ont mis en lumière des effets positifs des acides gras provenant de poissons sur les symptômes de la maladie. Les aliments donnant des effets indésirables chez les enfants ont également été analysés.

Les spécialistes croient même que certains changements santé permettraient de réduire ou d’éliminer la médication donnée à ces jeunes.

Il reste par contre à démontrer l’effet bénéfique à long terme d’un nouveau régime sur la santé et le comportement des enfants. Plusieurs éléments doivent être pris en considération, car il existe plusieurs types de TDAH.

Tous les enfants réagissent différemment à la médication et aux régimes alimentaires, c’est ce qui rend la tâche ardue pour les chercheurs qui tentent de faire un lien avec les facteurs génétiques et environnementaux également.

Les experts rappellent aux parents d’être prudents et de toujours contacter un professionnel de la santé avant de changer le régime alimentaire chez un enfant.

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Les parents sous-estiment les symptômes de l’asthme chez l’enfant

Il s’agit des résultats d’une étude commanditée par Nycomed, une compagnie suisse qui distribue de la médication pour traiter l’asthme. Selon Canada.com, les informations ont été publiées dans le journal European Respiratory.
 
La recherche a été menée auprès de 1 284 familles habitant notamment dans les pays suivants : Canada, Grèce, Hongrie, Afrique du Sud et Royaume-Uni. Les parents étaient interrogés à partir d’un questionnaire en 25 points intitulé Childhood-Asthma Control Test (C-ACT).
 
Par la suite, les réponses des parents ont été comparées à celles des enfants atteints d’asthme. Alors que 7 parents sur 10 qualifiaient l’asthme de leur enfant de « moyen » ou « intermittent », il s’est avéré que seulement 6 enfants sur 10 étaient traités adéquatement.
 
Les spécialistes recommandent fortement qu’un enfant atteint d’asthme soit vu au moins 3 fois par année par son pédiatre, pour effectuer un suivi et réajuster la médication si nécessaire.
 
Les parents semblent sous-estimer les symptômes de cette maladie et bien que plusieurs affirment avoir passé des nuits blanches ou manqué une journée de travail, aucun ne réalisait l’importance du traitement régulier par médication.
 
La plupart des parents ont peur des effets secondaires entraînés par les pompes d’asthme. Or, c’est par manque d’information qu’ils sont craintifs, puisque si elle est ajustée selon les besoins de l’enfant, bien au contraire, il gagnera rapidement en qualité de vie.

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La médication pour les problèmes cardiaques, un traitement pour la prééclampsie chez la femme enceinte

La prééclampsie consiste en une hypertension et un taux élevé de protéines dans les urines. Ses conséquences, tant sur la femme enceinte que sur le bébé à naître, engendrent des problèmes de reins et de foie, ce qui peut mener au décès. 

Une étude récente affirme que le traitement par médication pour les problèmes cardiaques pourrait s’avérer efficace pour réduire la sévérité des symptômes chez la femme enceinte.

Le professeur Asif Ahmed, de l’Université d’Édimbourg, dirige les recherches. « Si nous obtenons le succès escompté, et je suis très optimiste, le traitement transformera complètement la prise en charge des femmes atteintes de prééclampsie ».

Il s’agira du premier test clinique du genre à être déployé mondialement. Dans l’éventualité d’une réussite, c’est 70 000 femmes enceintes affectées annuellement en Angleterre qui profiteraient de ce traitement préventif. Chaque année, 10 femmes et plus de 1000 fœtus meurent des causes de prééclampsie dans ce pays.

Selon les prévisions des scientifiques, ce type de médication pourrait être prescrit d’ici 5 à 7 ans. Une percée dans le giron médical qui sauverait de nombreuses femmes enceintes ainsi qu’un nombre incalculable de bébés à naître, et ce, mondialement.

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Augmentation du risque de trouble de déficit d’attention chez les nouveau-nés prématurés

Une étude de longue haleine menée à l’Institut Karolinska en Suède, sous la tutelle du Dr Anders Hjern, rapporte de nouvelles informations quant à l’apparition du trouble de déficit d’attention (TDA).

Les nouveau-nés prématurés seraient plus à risque de développer les symptômes, et ce, dans une proportion significative.
 
Medical News Today rapporte que même à 36 ou 37 semaines de grossesse, les risques sont plus élevés de 20 % par rapport à une grossesse menée à terme. Les résultats les plus probants se situent néanmoins chez les nouveau-nés ayant vu le jour entre la 23e et 28e semaine de grossesse, dont 15 sur 1000 prennent de la médication dès l’âge scolaire. Les probabilités s’accroissent considérablement pour les bébés prématurés qui ont survécu à l’unité néonatale de soins intensifs.
 
Les variables considérées dans cette étude sont entre autres l’historique familial (génétique), le statut de fumeuse pendant la grossesse, les facteurs périnataux ainsi que les facteurs socioéconomiques.

Les données ont été relevées auprès de plus d’un million d’enfants âgés de 6 à 19 ans. Parmi eux, plus de 7 500 ont reçu de la médication reliée au trouble de déficit d’attention.

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Surcharge pondérale et asthme

Une récente étude publiée dans le Journal of Allergy and Clinical Immunology prétend que les patients obèses répondent moins bien aux corticostéroïdes utilisés pour traiter l’asthme.

« Ces résultats inquiétants démontrent que les patients obèses et asthmatiques ne répondent pas aussi bien que les recommandations de base. Si les médecins ne revoient pas leurs patients après avoir entrepris des traitements de corticoïdes et ne revoient pas les dosages éventuellement, cela signifie que l’asthme de ces patients risque d’être moins bien traité », a déploré l’auteur de cette recherche, le Dr E. Rand Sutherland de l’Université du Colorado à Denver.

M. Sutherland a travaillé avec 1 256 asthmatiques en comparant leur indice de masse corporelle et leur médication prise pour traiter la maladie respiratoire.