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La méditation en échange du Ritalin?

Le livre Calme et attentif comme une grenouille d’Eline Snel vient de débarquer dans les librairies françaises, et c’est la folie.

Aux Pays-Bas, la superbe grand-maman de 58 ans est acclamée de tous. Que fait-elle de spécial? Elle a décidé de transposer une méthode de méditation initialement prévue pour les adultes chez les enfants de 4 à 12 ans qui, en toute conscience, réussissent en quelques minutes à tomber dans un calme et une détente bienfaisante, et ce, malgré leur surexcitation.

Pensées positives, respiration profonde, sensation de bien-être, histoires d’araignées, grenouilles et spaghettis sont au rendez-vous dans son nouveau livre et dans ces ateliers charmants qu’elles donnent depuis trois ans.

De plus en plus, il n’est plus rare de voir des ateliers « méthode Snel » se donner au Canada, aux États-Unis et en Belgique.

Les parents d’enfants hyperactifs n’hésitent pas à se tourner vers la douceur de la grande dame, qui a pour but d’apprendre tranquillement aux petits à découvrir, accepter et maîtriser.

Accompagné d’un CD, le livre vendu contient des conseils du célèbre psychiatre français Christophe André et des exercices à pratiquer en famille.

Entre les jeux vidéo et une pratique de hockey, le livre de Snel est un autre moyen de s’amuser pour les jeunes. Celui-ci est une belle initiation à un autre monde. C’est une « formidable école de gestion des impulsions et fait en sorte de faire ressortir les gamins apaisés et confiants », explique l’auteure.

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Fablus Yoga : de l’exercice et des contes pour enfants

Apprivoiser son monde intérieur pour trouver la paix, le calme et la créativité, voilà ce que propose Nicole Lebel, professeure de hatha yoga, mère de trois enfants et créatrice de ces activités.

Pour ce faire, elle suggère d’unir les techniques de gymnastique douce, de méditation et de relaxation du yoga à celles du pouvoir imaginatif des contes.

Ces ateliers permettent aux jeunes de 5 à 12 ans de s’envoler dans leur imagination. Pendant la séance de yoga, ils retournent dans leur mémoire pour revivre chaque détail.

Améliorant la qualité du sommeil, la santé et la condition physique, cette méditation enfantine a pour autres avantages d’améliorer les relations avec autrui et la culture générale chez l’enfant du primaire.

Un conte-yoga a d’ailleurs été spécialement conçu par Mme Lebel pour ses ateliers. Il s’agit de Petit trésor sous les mers de Tahiti.

Outre les postures de méditation à pratiquer, on retrouve dans ce livre des jeux plaisants, une morale enrichissante et des informations sur d’autres pays.

Pour en savoir davantage sur Fablus Yoga et ses contes, cliquez ici.

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La méditation améliore les connexions au cerveau

Des chercheurs américains ont constaté que la méditation augmentait les connexions entre différentes parties du cerveau.
 
Ils ont comparé l’activité cérébrale de personnes adeptes de la méditation et d’autres qui n’en faisaient pas.
 
La différence notée est au niveau de la matière blanche du cerveau. Selon Neuroimage, celle-ci est composée de faisceaux qui font la connexion entre les parties du cerveau et envoient les signaux nerveux.
 
Chez les personnes qui sont des adeptes de la méditation, il y a plus de faisceaux dans la matière blanche et en plus, ils sont plus denses. Cela réduit l’atrophie cérébrale, notamment liée à la maladie d’Alzheimer, ainsi que le déclin normal lié à l’âge, qui est beaucoup moins important.
 
On croit que la méditation renforce le système immunitaire, ce qui aide à conserver la matière blanche, ou encore que les personnes qui méditent ont un cerveau différent composé de plus de connexions.
 
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Méditer pour réduire les risques d’attaques cardiaques

Les personnes qui pratiquent la méditation transcendantale, une méthode pour réduire le stress, et qui souffrent de maladies cardiaques réduisent de 47 % leurs risques d’attaques mortelles ou non.
 
Les Archives of Internal Medicine rapportent une étude effectuée sur neuf ans auprès de 201 personnes âgées en moyenne de 59 ans présentant un rétrécissement des artères coronaires. Toutes prenaient des anticholestérols et des antihypertenseurs.
 
La moitié du groupe a pratiqué la méditation et l’autre moitié a reçu des séances d’information traditionnelles sur les bienfaits de saines habitudes de vie sur le cœur.
 
Les personnes qui ont eu les séances de méditation ont réduit leur risque de mortalité de 47 %. De plus, on a noté que leur tension artérielle et leur niveau de stress et de colère avaient chuté de façon significative.

Toutefois, la méditation ne doit pas remplacer les traitements médicaux, mais plutôt être pratiquée en complément de ces derniers. Plus d’études se pencheront sur le sujet prochainement.

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La méditation contre le syndrome de l’intestin irritable

Une étude effectuée sur 75 femmes de 19 à 71 ans a comparé les effets de la méditation sur le syndrome de l’intestin irritable et la participation à un groupe de soutien.
 
La méditation pleine conscience a permis de soulager la douleur des personnes qui souffraient de la maladie, notamment les douleurs abdominales et les ballonnements.
 
La méditation pleine conscience se concentre sur le moment présent, les sensations corporelles et les émotions, sans porter de jugement.
 
Après huit semaines, les personnes qui avaient médité ont noté une diminution de la gravité des symptômes de 26,4 %, alors que ceux qui avaient participé au groupe de soutien ont noté une amélioration de 6,2 %.
 
Trois mois après l’étude, on remarque que le premier groupe a une diminution des symptômes de l’ordre de 38,2 %, comparativement à 11,8 % chez le deuxième groupe.
 
Attention toutefois, la méditation n’est pas un traitement contre la maladie, mais elle aide à mieux la gérer.
 
Des études sur un plus grand nombre de personnes seront effectuées pour confirmer les résultats.
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Le mari de Katy Perry l’initie à la méditation

C’est l’époux de la populaire chanteuse, Russell Brand, qui lui a transmis ses connaissances en méditation. Starpulse rapporte que Katy Perry utilise désormais la méditation pour relaxer et pour se recentrer.

Brand s’est converti à l’hindouisme pour mettre son passé tumultueux aux oubliettes et utilise régulièrement la méditation. Perry, née d’un couple de pasteurs et élevée au sein de cette famille chrétienne très stricte, a choisi de ne pas suivre son époux dans cette religion. Elle avoue néanmoins que la méditation lui permet de s’accorder du temps et de ralentir le flux de ses pensées.
 
Elle s’est confiée au magazine Vanity Fair : « Je viens d’une famille fermée d’esprit et au contraire, personnellement, je suis très ouverte. Je laisse mon mari être ce qu’il est et il me laisse être qui je suis. »
 
Les parents de Katy Perry ont appris à être plus indulgents et acceptent maintenant leur fille et le monde dans lequel elle évolue. 

La chanteuse, qui fêtera ses 27 ans en octobre prochain, affirme : « Je crois que parfois, lorsque les enfants grandissent intérieurement, les parents évoluent aussi. Les miens ont évolué avec moi. Je ne cherche plus à les changer et je ne pense pas qu’ils tentent de me changer non plus ».

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La méditation plus efficace que la morphine contre la douleur

Méditer, même au niveau débutant, permettrait de réduire considérablement la douleur et l’inconfort. En fait, les chercheurs croient que la méditation serait même plus efficace que la morphine et d’autres analgésiques.
 
Alors que la morphine réduirait l’intensité de la douleur de 25 %, la méditation ferait mieux en l’abaissant de 40 % et en réduisant l’inconfort de 57 %, selon l’étude publiée dans le Journal of Neuroscience.
 
« Il s’agit de la première recherche montrant qu’un peu plus d’une heure d’entraînement peut fortement réduire la douleur ainsi que l’activation des centres cérébraux qui en sont responsables. Nous avons constaté un important effet de la méditation sur les sujets de l’étude avec une diminution d’environ 40 % de l’intensité de la douleur et de 57 % de l’inconfort lié à la douleur », explique l’auteur principal de l’étude Fadel Zeidan.
 
Même les débutants peuvent pleinement profiter des bienfaits de la méditation. Les 15 participants de la recherche n’avaient jamais médité auparavant. Ils ont eu quatre séances de 20 minutes et on leur a placé un élément chauffant sur la jambe.
 
Habituellement, après cinq minutes, les personnes ressentent de la douleur. Durant l’exercice, on a toutefois remarqué que l’activité cérébrale était moindre dans leur cortex somatosensoriel primaire, qui localise la douleur dans le corps et en mesure son intensité. Cela a donné comme résultat que la douleur était beaucoup moins ressentie.
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La méditation influence la mémoire et l’empathie

Le Psychiatry Research rapporte que la méditation aurait des effets notables sur la mémoire, la conscience de soi et l’empathie.
 
Les chercheurs ont suivi 16 personnes qui s’adonnaient à un programme de réduction du stress basé sur des mouvements de yoga et sur la méditation pleine conscience, qui consiste à porter volontairement attention aux sentiments, sensations et états d’esprit sans porter de jugement. Ce programme durait huit semaines.
 
On a effectué des imageries cérébrales des participants en les comparant à un groupe témoin également. On a remarqué que ceux qui pratiquaient la méditation avaient plus de matières grises dans l’hippocampe, la zone du cerveau qui gère l’apprentissage et la mémoire, ainsi que dans trois autres zones liées à la conscience de soi, l’empathie et l’introspection.
 
Toutefois, il s’agit encore de résultats préliminaires et les chercheurs demeurent prudents. Ils souhaitent approfondir les recherches avant de se prononcer davantage.
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La méditation serait aussi efficace que les antidépresseurs

Les chercheurs du Centre de toxicomanie et de santé mentale (CTSM) de Toronto ont découvert que la thérapie cognitive basée sur la méditation était aussi efficace que les antidépresseurs pour diminuer les chances de récidives de dépression chez un patient.
 
Les scientifiques ont comparé les effets des médicaments et la thérapie cognitive chez 84 patients en rémission d’une dépression, âgés de 18 à 65 ans. Tous étaient sous médication et ne présentaient aucun signe de dépression depuis sept mois, rapportent les Archives of General Psychiatry.
 
Un premier groupe a suivi une thérapie cognitive basée sur la méditation qui préconise de reconnaître ses émotions et les éléments déclencheurs qui pourraient mener à une rechute. Un deuxième groupe a reçu des antidépresseurs et un troisième groupe a finalement reçu un simple placebo.
 
Après 18 mois, on note que le taux de récidives de dépression chez le premier groupe avec la thérapie était de 28 %. Chez ceux ayant eu les antidépresseurs, le taux était de 27 %, alors que pour le placebo, les récidives étaient de 71 %. 
 
Cela démontre que la thérapie basée sur la méditation et les antidépresseurs ont le même effet. « Le fait de suivre une thérapie cognitive basée sur la méditation de pleine conscience a le même degré de protection que celui des médicaments. Il ne s’agit pas ici d’un traitement contre la dépression, mais d’une alternative intéressante pour éviter une rechute et retrouver une vie normale », explique Zindel Segal du CTSM.
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La méditation pour soulager la sclérose en plaques

Des chercheurs suisses ont évalué les effets de la méditation sur les personnes souffrant de sclérose en plaques.
 
150 patients ont participé à l’étude. Tous recevaient les soins médicaux habituels pour leur maladie, mais 76 d’entre eux ont suivi des séances de méditation pendant huit semaines.
 
Les résultats, publiés dans la revue Neurology, démontrent que les personnes ayant médité souffraient moins de dépression que les autres. De plus, leur perception de leur qualité de vie était plus positive. Même si les effets obtenus se dissipaient au fil des semaines, on a constaté le bénéfice de la méditation jusqu’à six mois après l’étude.
 
Toutefois, la méditation ne soulage pas les symptômes physiques qui sont demeurés les mêmes chez les deux groupes de participants.