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La propagation du cancer de la peau mieux comprise

La propagation du mélanome malin est maintenant mieux comprise, grâce à des chercheurs de l’Institut Curie.

Selon le Journal of the National Cancer Institute, les scientifiques ont observé un mécanisme moléculaire qui serait impliqué dans le développement et la dispersion des métastases du mélanome. Cette découverte pourrait mener à un suivi plus rigoureux de l’évolution de la maladie et à la création de traitements mieux ciblés.

C’est la protéine GLI2 qui favoriserait la propagation du cancer. On a déjà noté que cette protéine est très présente dans les tumeurs les plus agressives et les métastases.

Le mélanome cutané représente 4 % des cancers de la peau, et est responsable de 80 % des décès de cancers cutanés. Les rayons du soleil sont les principaux responsables du développement des cancers de la peau.

Des études plus approfondies seront faites sur le sujet.

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Les cancers de la peau seraient-ils génétiques?

Selon de nouvelles études, les gènes joueraient un rôle dans le développement des cancers de la peau. Non seulement le soleil serait l’un des facteurs pour le développement de la maladie, mais avoir des cas dans sa famille augmenterait les risques, surtout si vous avez un vrai jumeau.

Des chercheurs de l’Université de Queensland, en Australie, se sont penchés sur la question des jumeaux. Ils ont constaté que si l’un des vrais jumeaux avait un mélanome, le deuxième avait environ 10 fois plus de risques de développer ce type de cancer. Chez les jumeaux non identiques, ce risque était seulement deux fois plus élevé.

De leur côté, des chercheurs californiens ont observés des cas de cancers de la peau, mais pas de type mélanome, dans les familles. Les résultats de leur recherche démontrent que les gens ont plus de chance de développer divers types de cancer de la peau s’ils ont un parent qui est atteint de la maladie.

On en conclut donc que les gênes auraient un rôle dans le développement des cancers cutanés.

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Du vin contre les lymphomes

Ceux qui adoraient boire un verre de vin avant de recevoir un diagnostic de lymphome non hodgkinien ont moins de chance de voir la maladie réapparaître ou d’en mourir, selon des chercheurs de l’École de santé publique de l’Université Yale.

Ces derniers ont travaillé avec plus de 500 femmes n’ayant pas de lymphome et ont découvert que celles qui consommaient du vin avaient 76 % de chance d’avoir un taux de survie de 5 ans, contre 68 % pour les participantes n’en consommant pas.

Ce constat est particulièrement vrai lorsqu’on a bu du vin pendant 25 ans avant le diagnostic de lymphome non hodgkinien. Le risque passe alors de 25 à 35 %.

Malgré ces résultats, les chercheurs n’envisagent pas de modifier les recommandations en matière de consommation d’alcool et suggèrent de s’en tenir à une quantité modérée.

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Un gène associé au cancer de la peau

Des chercheurs oeuvrant pour l’Institut de recherche sur le cancer de l’Angleterre affirment que plus de 70 % des mélanomes sont dus à une mutation génétique qui rend cancéreuses les cellules après une exposition aux rayons du soleil.

Les scientifiques ont remarqué que les patients souffrant de la forme la plus maligne de ce cancer de la peau présentaient un gène, appelé BRAF, qui était endommagé.

« Notre étude montre que le gène BRAF endommagé est le premier pas vers le cancer de la peau. Mieux comprendre ce phénomène nous aidera à développer de meilleurs traitements contre la maladie », a mentionné l’auteur principal, le Dr Richard Marais.

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Les risques associés au mélanome

Le risque d’être frappé par un autre type de cancer est doublé lorsque les patients ont déjà souffert de mélanome, la forme la plus virulente du cancer de la peau, nous apprend une étude publiée dans le British Journal of Cancer.

Afin d’identifier le risque d’être touché par une autre forme de cancer, les scientifiques de l’Université Queen de Belfast ont analysé 21 000 sujets ayant été traités pour des cancers non mélaniques de la peau et 1 800 ayant reçu un diagnostic de mélanome malin.

Dans le premier groupe de participants, ce risque était 57 % plus élevé que dans le reste de la population, alors qu’il doublait chez les patients traités pour un mélanome.

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L’effet domino du cancer de la peau

Le Dr Anthony Alberg, de la faculté de médecine de l’Université de Caroline du Sud, affirme que le cancer bénin de la peau, donc sans mélanome, double l’incidence de souffrir d’autres types de cancer.

769 patients ayant souffert de cancer de la peau sans mélanome ont participé à cette recherche qui a duré 16 ans.

Le taux de cancer chez ces sujets était de 293,5 pour 10 000 personnes, comparativement à 77,8 pour 10 000 chez le groupe test.

Le risque semble plus élevé chez les patients âgés de 25 à 44 ans et le Dr Alberg n’a pas émis d’hypothèse pour expliquer ce phénomène.

Selon la Société américaine du cancer, environ un million d’Américains reçoivent un diagnostic de cancer de la peau chaque année, ce qui en fait le cancer le plus fréquent.

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Percée médicale pour le traitement du mélanome

Une recherche dont les résultats sont publiés dans le New England Journal of Medicine nous en apprend davantage sur une nouvelle technique médicale à base de lymphocytes T de type CD4+.

Cette méthode, qui s’avère très prometteuse en matière de traitement du mélanome, consiste à reproduire en laboratoire cinq milliards de cellules de ce type pour ensuite les transplanter dans l’organisme.

Le sujet de cette expérimentation menée par le Dr Cassian Yee et son équipe était un homme de 52 ans atteint d’un mélanome, dont les cellules cancéreuses s’étaient propagées dans une des glandes lymphatiques de l’aine et dans un poumon.

Deux mois après cette transplantation, toute trace de tumeur avait complètement disparu. « Nous avons été surpris par les effets antitumeur de ces cellules T CD4 et de la durée de leur réponse contre le cancer. Nous avons eu un succès avec ce malade, mais il faut encore confirmer l’efficacité de cette thérapie en effectuant une étude plus étendue », a mentionné le Dr Yee.

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Un nouveau traitement contre le mélanome ?

Dans le cadre du colloque organisé par l’American Society of Clinical Oncology, les premiers résultats des tests cliniques sur l’ipilimumab sont dévoilés. Cette immunothérapie expérimentale du cancer améliore le taux de survie des patients atteints d’un mélanome métastatique.

« Les données des études sur l’ipilimumab sont importantes, car les chercheurs ont pu observer une amélioration du taux de survie d’un an. Historiquement, seulement de 25 à 30 % des patients atteints d’un mélanome métastatique sont vivants un an après le diagnostic. Ipilimumab a la capacité d’accroître la réponse immunitaire contre les tumeurs, qui est vitale dans le cas du mélanome, puisque ce genre de traitements peut être associé avec des rémissions de longue durée. Avec ipilimumab, le système immunitaire est mieux équipé pour combattre le cancer de façon énergique », a souligné le Dr Michael Smylie du Cross Cancer Institute, en Alberta.

Ce type de cancer se caractérise par une croissance non contrôlée des cellules responsables de la pigmentation situées dans la peau.

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Encore beaucoup à faire en matière de cancer de la peau

Dans le cadre de la 20e édition de la Semaine de prudence au soleil, qui se tient du 26 mai au 1er juin, l’Association canadienne de dermatologie organise plusieurs campagnes de sensibilisation auprès de la population afin d’inciter les gens à consulter plus rapidement des professionnels de la santé pour détecter ce type de cancer.

Selon le dermatologue Joël Claveau, les Québécois ont encore bien du chemin à faire pour se protéger adéquatement des rayons UV.

On avance que dans la seule région de Québec, environ 100 personnes meurent chaque année du cancer de la peau et 500 nouveaux cas de mélanome, la forme la plus virulente de ce cancer, s’ajoutent année après année.

Parmi les personnes les plus à risque, notons celles ayant un teint clair et les yeux pâles, les travailleurs à l’extérieur ainsi que les hommes âgés de 40 à 60 ans, qui sont plus réticents à consulter un médecin à ce sujet.

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Vers un dépistage plus rapide des mélanomes

Une découverte médicale réalisée par l’École de médecine de l’Université Harvard a permis d’identifier des cellules souches qui favorisent le développement des mélanomes, une tumeur maligne caractérisée par des taches brunes et noires sur la peau.

La présence du marqueur ABCB5 caractérise ces cellules à l’origine de ce type de cancer de la peau et qui représentent 1,6 à 20 % des cellules chez les souris analysées.

L’équipe du docteur Markus Frank explique aussi pourquoi ces cellules souches, également responsables de la progression rapide de la maladie, résistent à la chimiothérapie.

Grâce à cette découverte, les scientifiques espèrent détecter plus rapidement cette tumeur maligne et empêcher sa croissance fulgurante.

Tous les détails de cette étude sont publiés dans le magazine Nature