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La noirceur aide les femmes à guérir du cancer du sein

La mélatonine est une hormone qui aide à réguler le sommeil chez les humains. Exposée à la lumière durant la nuit, la mélatonine devient moins productive, rend moins efficace le traitement par tamoxifène et dérange le rythme circadien, affirment des chercheurs de l’Université de Tulane (Nouvelle-Orléans).

Les veilleuses, lampes de chevet, écrans d’ordinateur, télévisions et autres sources de lumières électriques suppriment dans le cerveau la production de mélatonine, qui a aussi un rôle important dans la croissance des tumeurs cancéreuses. 

En d’autres termes, la mélatonine est essentielle pour « favoriser l’action du tamoxifène en retardant la formation de tumeurs et en ralentissant leur croissance », résume Santé Log. On spécifie que lorsque « les lumières restent allumées la nuit, la mélatonine est supprimée, les cellules cancéreuses se réveillent et ignorent le tamoxifène ».

L’obscurité totale la nuit serait donc fortement suggérée aux femmes qui tentent de guérir d’un cancer du sein, révèle cette nouvelle étude parue dans la revue Cancer Research. La noirceur complète durant la nuit pourrait aider l’organisme des femmes malades à ne pas devenir résistant au traitement par tamoxifène.

L’effet de la lumière artificielle et électrique durant la nuit pourrait expliquer pourquoi « les femmes qui font des quarts de nuit présentent un taux de cancer du sein plus élevé et qu’il y a cinq fois plus de risques de cancer du sein dans les pays industrialisés que dans les pays sous-développés », mentionnent des études antérieures.

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La mélatonine pour aider au sommeil

Tel qu’expliqué sur TopSanté, la mélatonine est une hormone que sécrète notre cerveau quand la nuit tombe. Elle nous fait signe qu’il est temps de prendre du sommeil et nous fait ressentir un effet d’endormissement.

Malheureusement, ce n’est pas le type de substance que l’on retrouve dans la nature, en fait, à peine. On en retrouve de toutes petites quantités dans le riz, les pommes de terre et les tomates. En cas de troubles de sommeil, il est donc impossible de simplement ajuster notre régime alimentaire.

Reconnue depuis longtemps pour ses bienfaits sur le sommeil, la mélatonine est maintenant offerte en complément alimentaire et aussi sous forme de médicament.

L’effet calmant que nous procure cette hormone peut parfois être déséquilibré; voilà pourquoi certaines personnes peuvent souffrir d’insomnie. Le décalage horaire est une source bien connue. Il s’agit de l’effet qu’on ressent souvent après un voyage vers un autre fuseau horaire.

L’exposition à la lumière artificielle et l’âge sont les deux autres facteurs communs. En effet, plus on vieillit, plus l’hormone diminue en efficacité.

La mélatonine à libération progressive, comme le Circadin®, ne se contente pas de faciliter l’endormissement, elle permet aussi à celui qui la prend de jouir de nuits plus réparatrices.

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L’hormone du sommeil mieux comprise

Des chercheurs québécois et italiens ont découvert le mécanisme de la mélatonine, appelée l’hormone du sommeil.
 
Les équipes des universités McGill au Québec et de Milan en Italie ont découvert le rôle clé d’un récepteur de la mélatonine dans le cerveau, qui nous fait plonger dans un sommeil profond.
 
Ce type de sommeil est régénérateur; il augmente la mémoire, active le métabolisme, diminue la pression sanguine et ralentit le rythme cardiaque. Cette phase du sommeil est donc très importante et, malheureusement, les médicaments ne sont pas assez efficaces et peuvent créer une dépendance.
 
La découverte du récepteur a permis à l’équipe montréalaise de créer une molécule, la UCM765, qui active le récepteur favorisant le sommeil réparateur.
 
« Nous avons passé plusieurs années à développer des médicaments qui agissent de manière sélective sur un seul récepteur de la mélatonine afin de favoriser uniquement le sommeil profond qui, selon nous, est la clé dans le traitement de l’insomnie », explique la Dre Gabriella Gobbi qui a dirigé les travaux.
 
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L’hormone du sommeil pour lutter contre l’obésité?

Le Journal of Pineal Research dévoile que la mélatonine, l’hormone du sommeil, comporterait des bienfaits autres que ceux déjà connus, comme ses propriétés antioxydantes et son efficacité contre la dépression, les troubles du sommeil et les problèmes de libido.
 
En effet, si les résultats de la présente recherche espagnole se confirment, cela pourrait mener à de nouveaux traitements contre l’obésité, car la mélatonine aide à gérer le poids et les lipides dans le sang.
 
L’étude a été faite sur un modèle expérimental de rats auxquels on a injecté de la mélatonine. Les effets bénéfiques ont été notés avant même que ne se développent des complications métaboliques et vasculaires liées au syndrome.
 
La mélatonine pourrait donc aider à prévenir certains problèmes liés à l’obésité et la dyslipidémie, comme le diabète et les maladies cardiaques.
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Soigner l’Alzheimer avec des somnifères?

Selon The Telegraph, une entreprise de recherche du Royaume-Uni, CPS Research, dirigera de prochains essais cliniques quant à un médicament comprenant de la mélatonine. Cette hormone du sommeil pourrait réduire les symptômes de démence.

Toute personne ayant reçu un diagnostic d’Alzheimer et qui reçoit déjà un traitement pourrait faire partie de cette recherche.
 
Le Melatonine in Alzheimer’s Disease Project espère ainsi trouver 50 patients pour mener à bien la recherche. Le projet sera d’une durée de six mois.
 
Rappelons que la principale cause de la démence est la maladie d’Alzheimer, mais d’autres conditions affectant le cerveau pourraient aussi en être la source.
 
La mélatonine est habituellement employée pour traiter les problèmes de sommeil. Elle est reconnue pour ne pas avoir d’effets secondaires. Dans le présent projet de recherche, on administrera un médicament portant le nom de Circadin.

On espère, en diminuant les symptômes de patients atteints de démence, améliorer leur qualité de vie ainsi que celle de leur famille.

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Moins du tiers des enfants se réveillent lors d’un feu

La plus vaste étude jusqu’ici à avoir porté sur la détection d’un feu domestique nous apprend que seulement un enfant sur trois se réveillera au son du détecteur.

En effet, la recherche publiée dans le journal Fire and Materials a porté sur un échantillon de 123 enfants issus de 79 familles. Les participants étaient âgés de 5 à 15 ans, pour un âge moyen de 8,82 ans, alors que 70 % étaient âgés de 5 à 10 ans.
 
Le groupe a été divisé en deux, car la mélatonine chute durant la puberté. Cette hormone est reconnue pour inciter au sommeil
 
Le détecteur de fumée de la maison devait être enclenché pendant 30 secondes, après que les enfants aient été endormis depuis 1 à 3 heures. Les résultats ont été alarmants : 78 % des participants ont continué à dormir malgré le son du détecteur.

Ces résultats ne sont en rien rassurants, car nous savons maintenant que plus de la moitié des enfants continueront à dormir si un incendie se déclenche dans leur maison en pleine nuit.

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Les lumières nocturnes des villes augmentent les risques de cancers

Il semble que l’on produit moins de mélatonine (hormone du sommeil) avec les lumières artificielles des villes la nuit et ce phénomène favoriserait la croissance des cellules cancéreuses.
 
Quatre groupes de souris ont été étudiés par une équipe du Centre de recherche chronobiologique interdisciplinaire de l’Université d’Haifa en Israël.
 
À noter que la lumière qui servait de lumière du jour était artificielle et que ces souris avaient toutes reçu des cellules cancéreuses.
 
Ainsi, un premier groupe a été exposé à de longues journées de 16 heures et des nuits de 8 heures. Le deuxième groupe avait le même rythme, mais il recevait de la mélatonine. On a soumis les rongeurs du troisième groupe à 8 heures de jour et 16 heures de nuit et finalement, le dernier groupe avait une exposition à la lumière toutes les 30 minutes durant la journée.
 
Les souris avec une exposition à la lumière du jour moins longue et celles ayant reçu de la mélatonine ont vu leurs cellules cancéreuses connaître une croissance moins importante. Par contre, les animaux ayant eu des nuits entrecoupées de lumière ont vu leur cancer croître de 1,8 cm cube, alors que le groupe ayant eu les plus longues journées avait une évolution de 5,92 cm cube.
 
Avec les lumières artificielles des villes durant la nuit, on produit moins de mélatonine et c’est ce qui favorise donc le développement du cancer.