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Jouer aux jeux vidéo pour réussir à l’école?

Les avis et les analyses scientifiques portant sur les jeux vidéo sont très souvent contradictoires. On apprend maintenant dans Proceedings of the National Academy of Sciences qu’ils pourraient aider les enfants à réussir à l’école.

Précisément, des jeux vidéo de casse-tête qui visent à améliorer la mémoire des enfants ont été reconnus pour les aider dans la résolution de problèmes et bonifier leur raisonnement abstrait.
 
De plus, ces améliorations sont demeurées effectives trois mois après que les enfants aient cessé de s’adonner à ces jeux. Il semble que certains jeux vidéo pourraient entraîner les aptitudes cognitives des enfants.
 
Les chercheurs de cette nouvelle étude soutiennent donc qu’un entraînement quotidien du cerveau peut réellement améliorer l’intelligence.

Les enfants qui ont une bonne mémoire sont par ailleurs plus enclins à retenir les consignes du professeur et à mieux se concentrer sur ce qu’il faut faire en classe.

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Nouvelle approche quant au langage

On croit généralement que le langage se développe par la répétition de mots. Or, une recherche de l’Université de la Pennsylvanie suggère plutôt qu’un nouveau mot est compris lors d’un moment de réflexion.

En fait, selon ces nouvelles théories présentées dans Proceedings of the National Academy of Sciences, les mots ne seraient pas appris à la suite d’associations de référents, car cette répétition ne serait tout simplement pas possible pour la mémoire humaine.
 
À la suite de plusieurs expérimentations avec des enfants d’âge préscolaire, lors desquelles on leur montrait des mots étiquettes, on a pu remarquer que la mémoire et la répétition ne jouaient pas un rôle prédominant dans l’apprentissage de nouveaux mots.

Il semble au contraire que la connaissance d’un nouveau mot survient lors d’un moment de réflexion. Finalement, définir un mot, même s’il est fréquemment employé, demeure difficile s’il est sorti de son contexte.

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L’amnésie infantile : de nouvelles découvertes

Tous vivent ce que l’on appelle l’amnésie infantile : il s’agit de ne plus se rappeler ses premières années de vie. Il est en effet très difficile pour un adulte d’avoir encore en mémoire des événements survenus durant la petite enfance, soit avant l’âge de trois ou quatre ans.

On apprend maintenant que les enfants d’âge scolaire vivent aussi ce type d’amnésie. C’est ce que révèle une étude parue dans Child Development et menée par l’Université Memorial de Terre-Neuve.
 
On a demandé à 140 enfants âgés de 4 à 13 ans de décrire certains souvenirs qu’ils conservaient de leurs premières années. Deux ans plus tard, on a questionné de nouveau les enfants sur ces souvenirs. Ces derniers devaient aussi évaluer quel âge ils avaient lors de chacun des événements.
 
Une plus grande différence dans les souvenirs a été remarquée chez les enfants de 4 à 7 ans que chez ceux de 10 à 13 ans. Il semble donc que les souvenirs de la petite enfance sont fragiles et peuvent être facilement oubliés.

Finalement, les plus jeunes enfants ont tendance à avoir des souvenirs en mouvance, c’est-à-dire que ceux de la tendre enfance semblent être remplacés par d’autres provenant d’un âge plus avancé.

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Effet inattendu de l’alcool sur la mémoire

Alors que l’on attribue habituellement la consommation d’alcool à une perte de mémoire, voici qu’une nouvelle étude, dirigée par le chercheur Hitoshi Morikawa de l’Université du Texas, affirme plutôt le contraire.
 
Selon le site slate.fr, la consommation d’alcool permettrait d’accroître la mémoire subconsciente, mais affecterait négativement la mémoire consciente.
 
« Notre inconscient apprend et se souvient également, et l’alcool peut en fait augmenter notre capacité à apprendre à ce niveau. Lorsque nous consommons de l’alcool (ou des drogues), notre “subconscient” apprend à consommer plus. Mais il ne s’arrête pas là. Nous devenons plus réceptifs à la formation de souvenirs et d’habitudes par rapport à la nourriture, la musique, les personnes et les situations sociales », explique M. Moritawa.
 
Donc, les alcooliques seraient plus accrocs à cet effet de l’alcool qu’à la notion de plaisir ressenti. « Les gens voient le plus souvent la dopamine comme un neurotransmetteur de plaisir, mais c’est plus précisément un neurotransmetteur d’apprentissage. Il renforce les synapses qui sont activées lorsque la dopamine est libérée », ajoute le chercheur.
 
Cette découverte pourrait donc ouvrir la voie à de nouvelles thérapies pour vaincre l’alcoolisme.
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Perdre du poids améliore la mémoire

Une étude menée sur des personnes obèses démontre qu’en réduisant leur poids corporel, celles-ci ressentent des bénéfices au niveau de leurs facultés cognitives.
 
Selon le PsychCentral, les personnes avec un surplus de poids peuvent améliorer leur mémoire et leur concentration simplement en perdant du poids.
 
Le Dr John Gunstad et son équipe ont suivi 150 personnes obèses, dont 109 ont subi une chirurgie bariatrique et 41 sont demeurées obèses.
 
Plusieurs présentaient au départ des tests cognitifs moindres. 12 semaines après avoir subi la chirurgie bariatrique, les patients ont vu leur mémoire et leur concentration être améliorées.
 
On croit également qu’en perdant du poids, en adoptant un mode de vie sain et en suivant un programme d’exercices, les capacités cognitives pourront également être accrues.
 
Ainsi, non seulement les bénéfices se font sentir au niveau de la santé physique, mais il y a également des effets considérables sur la santé cérébrale. C’est la première fois que l’on établit ce genre de preuve dans une étude.
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L’ecstasy provoquerait d’importantes pertes de mémoire

La prise à long terme d’ecstasy provoquerait une importante perte de mémoire chez les utilisateurs, rapporte le British Medical Journal.
Des experts du Centre de recherche de l’Université d’Amsterdam ont passé au scanneur le cerveau d’utilisateurs d’ecstasy.
 
On a mesuré la taille du cerveau de 10 personnes ayant pris cette drogue, à raison de plus de 250 comprimés sur six ans et demi, et on a comparé les données avec le cerveau de sept personnes n’ayant jamais pris d’ecstasy.
 
Chez les utilisateurs d’ecstasy, on a remarqué un rétrécissement de 10 % de l’hippocampe, la région de la mémoire, comparativement au groupe témoin. Ce rétrécissement se constate souvent chez des personnes ayant la maladie d’Alzheimer.
 
Les études doivent maintenant se poursuivre sur un plus grand nombre de personnes.
 
Le professeur David Nutt, autrefois conseiller du gouvernement, a rejeté cette étude justement en raison du nombre réduit de participants. Rappelons toutefois que le Pr Nutt a été congédié après avoir dit, en 2009, que l’ecstasy, le LSD et le cannabis étaient moins dommageables que l’alcool et le tabac.
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Des exercices de mémoire peuvent ralentir l’Alzheimer

Il semble que certains exercices pour entraîner la mémoire pourraient donner l’espoir aux personnes susceptibles de développer la maladie d’Alzheimer de retarder l’apparition des premiers symptômes.
 
Ceci serait possible grâce à la plasticité du cerveau. On croyait que le cerveau la perdait avec le temps. Or, des travaux d’une équipe de chercheurs de l’Université de Montréal démontrent le contraire, selon les observations faites sur 30 personnes.
 
« Il est possible de mettre en branle des processus compensatoires et qui sont visibles avec l’imagerie fonctionnelle », explique la neuropsychologue Sylvie Belleville.
 
Ce programme d’une dizaine d’heures donnerait des résultats pour le moins surprenants. Pour l’instant, il est encore trop tôt pour déterminer pendant combien de temps les symptômes de la maladie peuvent être retardés.
 
De plus, il faut également faire attention aux différents programmes informatiques pour la mémoire vendus sur le marché. « Cela ne veut cependant pas dire que tous les programmes sur le marché peuvent avoir le même effet », explique la Dre Belleville au Brain: Journal of Neurology.
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Comparaisons entre l’alcoolisme prénatal et le TDAH

Des chercheurs américains se sont penchés sur le cas d’enfants atteints d’un TDAH et d’autres souffrant d’alcoolisme prénatal. À première vue, ces deux groupes semblent vivre avec les mêmes problèmes, car ils ont tous des troubles de comportement similaires, comme l’hyperactivité et l’impulsivité.

Or, certains aspects diffèrent. Les enfants ayant un TDAH arrivent mieux à comprendre de nouveaux éléments. Ils ont toutefois de la difficulté à les retenir sur une longue période de temps; leur mémoire est donc plus touchée.

Ceux qui ont reçu un diagnostic d’alcoolisme fœtal, pour leur part, vivent avec un problème d’apprentissage à la base. Ils ont un déficit quant au décodage du langage. Toutefois, une fois le nouveau renseignement intégré, ils arrivent mieux à se le rappeler après une certaine période de temps.

Les résultats complets de cette recherche paraîtront dans l’édition de juin prochain de la revue Alcoholism: Clinical & Experimental Research.

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Un cholestérol élevé peut faire perdre la mémoire

Des chercheurs de l’Institut national de la santé et de la recherche médicale (INSERM) en France ont découvert qu’un taux de cholestérol élevé et une pression sanguine trop haute pouvaient être liés au déclin des capacités cognitives, comme la mémoire et le raisonnement.
 
4 827 personnes ayant en moyenne 55 ans au début de l’étude ont été suivies pendant 10 ans. On a évalué leurs risques cardiovasculaires et elles ont passé des tests de facultés cognitives à différents moments.
 
Celles qui avaient le plus de risques cardiovasculaires au début ont obtenu de moins bons résultats pour leurs facultés cognitives. En fait, on estime que pour une hausse de 10 % de risques cardiovasculaires, il y a entre 3 et 7 % de perte de mémoire sur 10 ans.
 
On croit donc qu’en traitant l’hypertension, on pourrait offrir une protection supplémentaire aux différentes capacités cognitives.
 
« Ces résultats tendent à confirmer l’existence d’un lien entre les facteurs de risque cardiovasculaire et les troubles précoces de la cognition. La plupart des facteurs de risque cardiovasculaire affectent l’intégrité et le bon fonctionnement des vaisseaux sanguins, notamment ceux qui sont chargés d’irriguer le cerveau. Par conséquent, ce défaut d’irrigation de certaines parties de la masse cérébrale peut entraîner des lésions conduisant à un déficit cognitif, voire à une démence précoce », explique l’auteure principale de l’étude, Sara Kaffashian.
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Le jogging améliore la mémoire

Faire de l’exercice est bon pour la santé, nous le savons. Parmi les activités de mise en forme les plus pratiquées, il y a le jogging, ou la course à pied, si vous préférez.

Outre le fait que cela a des bienfaits sur votre forme physique, saviez-vous que les avantages étaient bien plus grands, dans les faits?

MedicMagic rapporte qu’une étude menée à l’Université de Cambridge révèle que la course peut améliorer la mémoire.

Nous savions que l’exercice physique augmentait l’apport en oxygène au cerveau, mais apparemment, avec le jogging, les chercheurs ont constaté que cela déclenche la formation de centaines de milliers de nouvelles cellules reliées à la mémoire.

Ainsi, pratiquer cette activité physique régulièrement, soit quelques fois par semaine, vous permettrait de maximiser les capacités de votre cerveau.

Récemment, il a été prouvé que l’exercice en plein air était plus bénéfique que l’exercice en salle de sport. Avec le printemps qui approche à grands pas, aussi bien sortir pour courir un peu.